cède comme lui, VIII, 424. S'est trouvé prêt pour le régime nouveau en 1814, IX, 302. Sur les environs de Paris, 409; XI, 358. Remet en honneur quelques vieilles locutions populaires, XII, 111. Sa manière dans le genre épistolaire, XIV, Sur l'histoire, PL, I,

322.

304.

396.

- La Bruyère, de son avis, Restitue le dire et le faire des vieux maîtres, 494. Le jugement de Joubert sur les anciens, conforme au sien, PL, II, 324. - Topffer suit son procédé, PL, III, 199. COURIER (Mme). Chez Armand Carrel, VI, 100. Lettres que lui écrit Paul-Louis, 341-343, 345, 350-352. Absente au moment de l'assassinat de son mari, 358. COURNAND (l'abbé de). Anecdote sur lui et sur Delille, rapportée par Michaud, PL, II, 88. Vers

de Delille sur lui, 89. Cours de littérature dramatique, par Saint-Marc-Girardin (article sur le), I, 7 et suiv. COURTENAY. Tué au siège de Mons, XI, 322.

COURTENAY (Anne de). Est celle que Sully doit épouser, VIII, Il l'épouse, 152.

151-152.

Son portrait, sa mort, 153.

OEuvres littéraires, I, 108-120.

Sur Mme de Sablé, 122-123.

Goethe l'interroge sur Manzoni, II, 342-343. Donne une valeur historique au Grand Cyrus de Me de Scudéry, IV, 142-143. - Opinion de Retz sur la métaphysique, V, 253. Provoque la restitution des Pensées de Pascal, 525. De la retraite de MM. Cousin et Villemain, VI, 146-164. Loge Courier chez lui, 351. Lance M. de Rémusat en pleine philosophie, 361. Son école prend le mot philosophie dans le sens moderne, VIII, 295. Suivi par un petit groupe de disciples de Royer-Collard, 296. Appelle, malgré lui, Royer-Collard son maître, 298. Jouffroy se sépare de lui, 305. Dépouille

501.

-

-

avec sa philosophie, 425. Notes et Pensées sur lui, 469473. Comment qualifié par Villemain, 476. Sur le livre de de Maistre contre Bacon, 479. D'une probité philosophique peu scrupuleuse à l'égard de ses adversaires, 488. S'est Sur Villemain, 491. couvert du nom de Royer-Collard, 498. — La dissidence entre lui et Royer-Collard, réelle et profonde, 499. - Guizot, Thiers, Pasquier, jugés par lui, 500Mot en montrant sa bibliothèque, 501. A du comédien en lui, 502. Jugé par Thiers, 504. Dans l'Essai sur les philosophes du dix-neuvième siècle de M. Taine, XIII, 283. Fréquente le cercle philosophique de Maine de Biran, 318, et PL, I, 357. Réponse que le père Gratry fait aux philosophes de son école, XIII, 322. — Maine de Biran lui est opposé comme fondateur d'une doctrine philosophique, 323. Adopte d'abord le jargon de l'école, XV, 58. Traite les auteurs du siècle de Louis XIV comme des anciens, PL, I, 3. Maître et ami de George Farcy, 212, 213, 232. Dédie à Farcy sa traduction des Lois de Platon, 234. Comparé avec Jouffroy, 301. Fonde l'enseignement philosophique à l'École normale, 306.

Le retour de l'île d'Elbe le jette, lui et ses disciples, aux rangs des volontaires royaux, 307. Engagé dans le carbonarisme, 313. Sa sévérité pour le Globe, 317. Comment juge la philosophie de Maine de Biran, 353. Réponse que lui fait Armand Carrel sur son opposition à la monarchie légiti

-

Homme

me, PL, II, 143-144. d'esprit, PL, III, 348. Envoie Ch. Labitte à la faculté de Rennes, 376. Préfère les femmes du dix-septième siècle à celles du dix-huitième, 440. Article sur son Cours de l'histoire de la philosophie moderne, 468-479. Mémoire sur Pascal, 505. Reproche que lui fait SainteBeuve, PF, 308. Maxime qui lui est applicable, 319. Fait de Me de Longueville un esprit supérieur à Mme de La Fayette, 344. Continue le duel de la Place-Royale, 345. SainteBeuve lui communique son idée d'instituer l'École d'Athènes, dans le présent volume, 41. COUTEL Mme Des Houlières accusée d'avoir pillé ses Moutons dans son recueil, PF, 377. COUTURE (l'abbé), censeur. Donne l'approbation au livre de Gâcon contre l'abbé de Pons, XIII, 158160.

Coux (de). Ouvre une école avec Montalembert, I, 81.

COWLEY (lord). Cité, I, 168. — Mar

mont et le duc de Reichstadt à un bal donné par lui, VI, 49. CowPER (le révérend John), frère de William. Contribue à la guérison de son frère, XI, 146. COWPER (William). Poète aimé de Franklin, VII, 177. Nous a manqué jusqu'ici, VIII, 77. Sa terreur devant la chambre des lords, X, 242. Apprécié, XI, 122, 134-138. Articles sur lui: William Cowper, ou de la Poésie domestique, 139–158; 159177; 178-197. - Passage de Madame Bovary qui rappelle sa Promenade d'hiver à midi, XIII, 351. N'a jamais mieux rendu la félicité domestique que Maurice de Guérin, XV, 25. Sa

définition des Français, PF, 107. COXE (William), ministre anglican. Ses Lettres sur la Suisse traduites et augmentées par Ramond, V, 454.

COYER (l'abbé). Article du marquis d'Argenson sur la Noblesse commerçante, XII, 148.

COYPEL. Portrait d'Adrienne Lecouvreur, I, 203.

COYSEVOX. Auteur d'un buste de Bossuet, X, 197.

CRAMAIL (le comte de). Conspire avec le cardinal de Retz contre Richelieu, V, 44.

CRAMER (les), de Genève. Marchent dans la même voie que Turretin, XV, 135. CRAPELET (M.). Publie le Combat de trente Bretons contre trente Anglais, VIII, 317. Sa querelle avec l'abbé Prompsault pour Villon, XIV, 280. CRASSOT, professeur de philosophie de l'abbé Marolles, XIV, 113.

CRAUFURD (M.). Achète différents manuscrits de Sénac de Meilhan, X, 126. Publie les Mémoires de Mme du Hausset, 127 et PL, III, 440. Sur Mlle Aïssé, PL, III, 141. CRÉBILLON, le père. Mme de Pompadour lui croit du génie, II, 495, 496. Portalis emprunte

tiennent de son genre, VII, 50,

57. Jugé par le prince de Ligne, VIII, 267. - Les Romans de Duclos sont bien contemporains des siens, IX, 216. Marivaux n'est qu'un peu au-dessus de lui, 356. Critique et parodie Marivaux, qui lui donne une leçon, 368-369. - Ami de Besen

val, XII, 502. Lu par La Beaumelle, XIV, 89. Ses ouvrages critiqués dans le Pour et Contre de l'abbé Prévost, PL, I, 283.

CRÉCY. Dans les Mémoires de SaintSimon, XV, 437.

CRÉMIEU (M. Édouard). Son poème

Poussin et son monument, V, 388. CRÉQUI (le maréchal de). Villars se distingue sous lui, XIII, 51. CRÉQUI-HÉMOND (le marquis de). Sa mort, XII, 435, 444. CRÉQUI (Renée-Caroline de FROULLAY, marquise de). Article sur elle, XII, 433. Que les Souvenirs dits de la marquise de Créqui ne sont pas et ne sauraient être d'elle, 434-442. - Première vie de Mme de Créqui; devoir, régularité, religion; expérience et désabusement, 443-453. Ce qu'a été M. de Meilhan pour Mme de Créqui; ses qualités, ses idées, son brillant; le point gâté; Meilhan - Longueil et Meilhan-Saint-Alban, 454-475.

Les lettres de Mme de Créqui; ses jugements sur les auteurs, excès dans la justesse; de l'atticisme en France et de ses variations depuis deux siècles; de la bonne compagnie qui ne meurt pas, 475-491. Ses lettres à Sénac de Meilhan sur les Mémoi res de Saint-Simon, XV, 456. Lettre à Jean-Jacques sur la mort du chevalier d'Aydie, PL, III, 181.

Son indiffé

précédents. Réponse que lui fait Chamfort sur l'importance du nom, IV, 540. Élevé par sa mère, XII, 444. rence et son ingratitude pour elle, 445-446. Sa mort, 491. CRÉQUI (la marquise de), née DU MUY, femme du précédent. Son union avec le marquis est malheureuse, XII, 445. CRETET, ministre de l'intérieur

sous le premier Empire. Jugé par Roederer dans une conversation avec Bonaparte, VIII, 361365. Provoque une note de l'empereur sur la nécessité de continuer Velly et le président Hénault, PL, II, 268-270. CRÉTINEAU-JOLY. Sur Bernis, dans Clément XIV et les Jésuites, VIII, 58.

CREUTZ (le baron de). Habitué de Mme Geoffrin, II, 316. Mme de Krüdner dans son monde à Paris, PF, 386.

CREUZÉ DE LESSER. Correspondant de Daru, IX, 426. Sa Ninon de Lenclos, ibid. A rimé le Dernier Homme de Granville, PL, I, 455.

CRÉVIER. Gibbon en correspondance avec lui, VIII, 442. CRILLON. Est d'avis de réprimer l'émeute, le jour des Barricades, VIII, 221.

CRILLON (le comte de). Sur Nec

ker, VII, 344. Critique (du Génie) et de Bayle, PL, I, 364-388. Critique littéraire sous l'Empire (article sur la), I, 371-391. CROFT (Sir Herbert). Nodier, son secrétaire, PL, I, 466. Peint par Nodier dans Amélie, ibid. - Publie Horace éclairci par la ponctuation, 467. Jaloux de Nodier, 468.

de Galiani à Mme d'Épinay sur sa mort, II, 438-439. CROMWELL. Avantage qu'il garde dans l'histoire sur Napoléon, I, 150. N'a rien fondé, 326. Cause de son malheur, ibid. Son portrait, 329.- Le cardinal de Retz repousse ses avances, V, 241-242. Armand Carrel sur lui, VI, 97. Vicq d'Azyr comparé à lui, X, 288. Jugé par d'Argenson, XII, 142. Mot à son peintre, 156. rait été le moraliste le plus sévère s'il n'eût été le plus habile des gouvernants, XV, 109.

Au

CROUSAZ (de). Son influence sur l'art poétique de J.-B. Rousseau, PL, I, 135.

CROUSAZ (Mme de). - Voyez MON

TOLIEU (Mme de).

CROUY (Antoine de). Veut faire gouverner la France par un conseil, VIII, 217.

CRYSTÈDE (Henri), écuyer anglais. Entretien de Froissart avec lui, IX, 101-103. CUBIÈRES (le marquis de). Au dîner grec de Mae Vigée-Lebrun, V, 159. Rigueur avec laquelle il est traité après sa condamnation par la cour des pairs, XI, 498.

CUJAS. Étienne Pasquier étudie le droit sous lui, III, 252. Le président Jeannin, son élève, X, 134.

CUMBERLAND (le duc de). Conclut avec le duc de Richelieu la convention de Kloster-Zeven, VIII, 25. CUMBERLAND (le duc de). Dans la correspondance du duc de Nivernais sur l'état des partis et de l'opinion en Angleterre, XIII, 400.

205.

Son

Venge

XV, CUVIER (Georges). Sur les Éloges académiques, I, 406. Éloge de Corvisart, 407, 408. Son Eloge de Pinel, 408. Son Éloge de Hallé, ibid. Pinel contre Broussais, ibid. Éloge de Cuvier par Pariset, 409. Ses reproches à Pline, II, 53. Son jugement sur Pline, 57, 58. M. Flourens publie une Étude sur lui, III, 314. Cuvier n'a pas craint d'écrire en vue des ignorants, 329. Sur Buffon, IV, 347. Aide à l'application du système d'éducation de Roederer, VIII, 376.

Beyle chez lui, IX, 328. Appréciation de Daru, 437. Ses éloges académiques, X, 12. Est des savants philosophes qui rendent justice à Buffon, Son jugement sur Buffon

64.

DABIN. Imprime la Napoleone de | Nodier, et est arrêté, PL, I, 463. DABURON (l'abbé). Enseigne les mathématiques à Ampère enfant, PL, I, 328.

Mme de Duras, PF, 68. CUVILLIER-FLEURY (M.). Son article sur Camille Desmoulins dans le Journal des Débats, III, 98. Sur Saint-Just, V, 340. pond à l'article sur les Regrets, VI, 413. Loué à contre-sens dans le Moniteur, XI, 521. Son procédé à l'égard de SainteBeuve, XV, 346.

CYRANO DE BERGERAC. Condisciple de Molière, PL, II, 13. - Molière lui emprunte deux scènes pour ses Fourberies de Scapin,

14.

CZARTORYSKA (la princesse). Dans les Mémoires de Lauzun, IV, 293. CZARTORYSKI (le prince). Dans la correspondance de Bernardin de Saint-Pierre avec Duval, VI,

521.