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esquisse une véritable épître d'Horace, VII, 7. - Grimm a sa susceptibilité, 310. Racan se montre son émule, VIII, 77. Sur l'ode Beatus ille qui procul negotiis, ibid, 78. Son style, quand il célèbre la campagne, 79. Comparé avec Racan, 8081.- Racan imite son Quid bellicosus Cantaber, ibid. Maynard imite son linquenda tellus, 86. - A tracé un jardin anglais, 248. Ses satires traduites par Daru, IX, 416, 418. - Daru dédie sa traduction à Petiet, 425. Remis en circulation et rendu plus accessible par Daru, 430432. Cité sans cesse par Fénelon, X, 185. Imité par Maucroix, 225, 232, 234. Son Voyage à Brindes, XI, 50. Cowper se souvient de lui, 185. Ronsard se modèle sur lui, XII, 66. Saint-Amand n'était pas un de ses disciples, 181. Voiture comparé à lui, 205. Pourquoi traduit par les vieillards, 277. Horace dans la poche du maréchal de Villars, XIII, 125. - Le duc de Nivernais auteur de Réflexions sur Horace, Traduit par l'abbé de Pas

391.

-

Marolles, XIV, 127, 136. sage de l'Art poétique dont Marolles était le vivant commentaire, 134. Gagne à être relu sans cesse, 282. - A quelque échappée de paysage dans ses poésies, 295. Comment Bonstetten le lit, 424. Vers que l'on oppose à toute réforme de l'orthographe, XV, 263. n'en sommes plus à Horace en fait de goût, 287. Se contente d'un simple paysage pour rêver, PL, I, 13. Mal imité par JeanBaptiste Rousseau, 128. dré Chénier rapproché de lui par

Nous

An

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par la ponctuation, 467. Type châtié et achevé, PL, II, Imité par Fontanes, 277 et Sur la mort, PL,

2.

suiv., 280. III, 436. IIORAIN (le chef de bataillon). Meurt de ses blessures, et est remplacé par Saint-Arnaud, XIII, 423.

HORN (le comte de). Le Régent lui refuse sa grâce, IX, 74. HOTOMAN. Étienne Pasquier étudie le droit sous lui, III, 252. HOUAY (d'), frère de Mézeray. Habile chirurgien; sa réponse à M. de Grancey, VIII, 197. HOUDETOT (d'). Saint-Lambert, à la fin de sa vie, lui exprime ses regrets, XI, 130. HOUDETOT (Mme de). Son salon I, 123. Son cercle, 167, et PF, 466. Franklin lui rend visite, VII, 176. Idéal de l'amour français, IX, 336.

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Sa liaison avec Saint-Lambert, XI, 124 et 487. Lettres que lui adresse Jean-Jacques sur la Vertu et le Bonheur, XV, 224-228. Auteur d'un quatrain sur Eugène de Rothelin, PF, 53. - Liée avec Mme de Vergennes, 462. Son portrait par Mme de Rémusat, 463-466. Vers cités dans lesquels elle imite Marot, 466. HOUDETOT (la vicomtesse d'), belle-fille de la précédente. Ses vers publiés après sa mort sous le titre de Poésies de la vicomtesse d'Houdetot, XV, 229. HOUDON (le sculpteur). Buste de

l'abbé Barthélemy, VII, 191. Fait le buste du prince Henri de Prusse, XII, 390. HOULLIER, grand-père maternel du marquis d'Argenson, XII, 109.

HOUSSAYE (Arsène). Son opinion sur Raphaël, de Lamartine, I, 65. Ses portraits littéraires au point de vue du goût Pompadour, II, 503. Chef des poètes bergers, V, 386. HOUTTEVILLE (l'abbé). Marivaux nommé de l'Académie à sa place, IX, 375. Secrétaire perpétuel

de l'Académie, XIV, 204. HOUZEL (M.), maire de Hesdin. Arrière-neveu de l'abbé Prévost, IX, 123.

Howe (lord). Laisse entrevoir à Franklin l'espérance de la réconciliation avec l'Angleterre, VII, 139. Lettre que lui écrit Franklin, 152.

HUBER. Succès de sa traduction des Idylles de Gessner, PL, II, 328.

HUBER (Mme). Lettre que lui écrit Joseph de Maistre, IV, 209. Sa mort, 210. Promesse que lui fait Joseph de Maistre, PL, II, 436. HUBERT (le Père), oratorien. Prédicateur en réputation, IX, 38.

Mis par Vuillart au-dessus de Massillon, 39. HUET, évêque d'Avranches. Article sur lui, II, 163-186. Fait imprimer les Romans de Mademoiselle, III, 516. Ne brille point par un goût sain et judicieux, IV, 139. Querelle des anciens et des modernes, V, 266 et suiv.

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--

A chanté la fontaine de Boileau, PL, I, 13, 23. La Fontaine lui adresse une épître en faveur des anciens contre les modernes, 64, 500.-- Ses jugements sur Boileau et Corneille, 501. Le dernier des sceptiques érudits de la race de Naudé, PL, II, 473. Fervent adorateur de Théocrite, PL, III, 48, 454. Conseiller littéraire de Me de La Fayette, PF, 253. — Attribue Zayde à Me de La Fayette, 262. Sur la Rochefoucauld, 298, 305.

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Visité

ployée depuis, IX, 535.
aux Roches par Lamennais et
Montalembert, XI, 453.

Sur

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132. Vers qu'Aloïsius Bertrand lui adresse, 346-347. - Sa réponse, 348. Fixe l'attention Inde M. Vinet, PL, III, 501. fluence particulière de son monde

un sonnet que Musset lui a
adressé, 468. Fascine Ville-
main, 491.
sur Sainte-Beuve, 545.
- Sur l'origine de
ses relations avec Sainte-Beuve,
530-533. - Article du Globe sur
sa pièce de vers à la jeune
France,533-535. — Voit plus d'un
groupe d'imitateurs se rattacher
à lui et s'en détacher, XII, 4.
Théophile Gautier chef d'une
subdivision importante de son
école, 5. Sur le qualificatif |
d'homme fort de notre race que
lui donne Maxime Du Camp,
6-8. Imité par Georges de
Guerin, 234.-Musset faisant son
entrée dans son cercle intime,
XIII, 364.
L'expression de
romantique concentrée sur son
école poétique, XIV, 72.
Loué
lestement par M. de Sacy, 75.
- Théodore de Banville procède
de lui, 80. Bonstetten goûte
Hernani à sa naissance, 476.
Les vers de Parny sur la Mort
d'une jeune fille comparés avec
ceux des Fantômes, XV, 298-299.

Sa voix se fait encore entendre quand toutes celles de son école se taisent, 352. — Attitude de la rédaction du Globe à l'occasion d'Hernani, PL, I, 318. Le Brun, son précurseur, 414. - Reçu avec Nodier par Lamartine à Saint-Point, 439. Lié de bonne heure avec Nodier, Gringoire fils de SganaRéflexions sur les grands génies dramatiques au lendemain de la représentation des Burgraves, 53-54. - Combat toujours, 103. pièce de La Cloche, 116. pas la délicatesse et la sensibilité de Bernardin de Saint-Pierre,

476.

relle, PL, II, 22.

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Ac

cents que lui inspire le désaccord de la nature glorieuse avec les souffrances de l'homme, PF, 99. Allusion à lui, dans le Sainteprésent volume, 14. Beuve auteur d'un prospectus de ses œuvres, 40. Charles X lui donne une audience, ibid. HUGUES (le comte). Drame historique de Ramond, X, 463. HULLIN, un des vainqueurs de la Bailly Bastille. Accompagne jusqu'à Notre-Dame, X, 375. HUMANN, ministre des finances. Veut réduire l'intérêt de la rente, II, 396. HUMBOLDT (Alexandre de). N'a pas craint d'écrire en vue des ignorants, III, 329. Reconnaît la vérité intime des observations de Bernardin de Saint-Pierre, VI, 414-415. Traite du sentiment de la nature physique et du genre descriptif, VIII, 414. Mot sur la théologie après avoir traversé les forêts de l'Amérique centrale, IX, 462. Son introduction dans les OEuvres de François Arago, X, 1. Offre son amitié à Arago, 8. Comment il juge Buffon, 305. Sa soif de parler en société, XI, 413-414. M. Maxime Du Camp imagine un Cosmos plus clair que le sien, XII, 14. donné réalité scientifique aux vues attrayantes de Bernardin de Saint-Pierre, PL, II, 127. Chez Mme de Duras,

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relations avec

Jean-Jacques | HURAULT DU FAY. Rousseau, II, 78-82. Habitué FAY.

Voyez Du de Mme Geoffrin, 316. - Billet HUSSITES de Bohême (les). Som

-

que celle-ci lui écrit, 324. Lettre qu'il écrit à Morellet sur Galiani, 432. - Sur Buffon, IV, 355. Franklin se lie avec lui, VII, 153. Lettre à Franklin, et réponse de celui-ci, 153-154. - Trouve en Franklin un coin de l'esprit de faction, 162. Rappelle Gibbon à la langue anglaise, VIII, 431. Gibbon parlant de Hume, 445. - Lettre à Gibbon sur son ouvrage, 454. Est à la mode à Paris, 461. HUMIÈRES (le marquis d'). Gourville soupe à son quartier, V, 369-370.

I

mation que leur fait Jeanne d'Arc de rentrer au sein de l'Église, II, 412.

HUTCHINSON, gouverneur de Massachussets. Conseille à l'Angleterre des mesures violentes contre l'Amérique, VII, 163. HUTCHINSON (mistress). Comparée avec Mme Roland, PF, 191. HUYGHENS. Demande à Mme de La Fayette ce que c'est qu'un ïambe, PF, 254. HYPATIE,

célèbre mathématicienne. Lapidée à Alexandrie, II, 269.

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INCARVILLE (d'), contrôleur géné- | Interprétation des Institutes de

ral. Essaye de tromper Henri IV, VIII, 176.

INGRES. Est de son temps, I, 15. |

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Date où il marque ses toiles du style antique, X, 387. - Admiré par Léopold Robert, 423. - En quoi ces deux peintres diffèrent, ibid. - Jugé par Léopold Robert, 424. Léopold Robert pénétré de sa théorie du beau, 437. N'est pas d'une autre époque, XI, 495. Effet produit lorsqu'on passe des tableaux de Rubens aux siens, PL, I, 109. Cherubini peint par lui, 492. Met en tableau l'amour d'Antiochus pour Stratonice, PL, III, 31, 38. Instruction générale sur l'exécution du plan d'études des lycées, adressée MM. les recteurs par

Justinien, d'Étienne Pasquier (article sur l'), III, 267-269. INTIERI (l'abbé). Galiani écrit pour lui un traité sur la conservation des grains, II, 422. Intrigue académique au XVIIIe siècle: Voltaire et le président de Brosses (article sur), VII, 105126.

ISAAC L'ANGE. Rétabli sur le trône par les croisés, IX, 403. ISABELLE DE HAINAUT. Grand’mère de saint Louis, VIII, 516. ISABELLE (l'archiduchesse). Fait des ouvertures pacifiques aux Hollandais, X, 162, 163. ISABEY (Jean-Baptiste). Critique d'un de ses dessins par Latouche, III, 488. ISAMBERT. Défenseur d'Armand Carrel, VI, 91.

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caractère de Bayle, PL, I, 373. IVAN IV, le Terrible. N'a pas laissé un souvenir trop odieux, VII, 372. Boris Godounof poursuit son œuvre civilisatrice, 374. IVERNOIS (d'). Genevois de la belle époque, XIII, 231.

J

JACQUES Ier, roi d'Angleterre. Sa naissance, IV, 418. Sully envoyé auprès de lui, VIII, 190. Ne joue pas franc jeu avec Henri IV, X, 165. Donne Ro

han pour parrain à son fils,

XII, 202.

Travaux de Casaubon auprès de lui, XIV, 394-395. Casaubon rencontre un bon et flatteur accueil auprès de lui, 401. Pousse Casaubon à écrire contre Baronius, 402. Sa critique de Tacite, de Plutarque et de Commynes, ibid. Pourquoi il était naturel qu'il estimât Commynes léger et malicieux, 403.

JACQUES II, roi d'Angleterre. Résultat de son émigration, I, 95.

IVES. Savant anglais dont Chateaubriand devient le secrétaire, II, 148.

Fait

Continue les fautes de Marie Stuart, IV, 409. En France, XI, 32. Aidé dans son expédition d'Irlande, 34. complimenter Louis XIV lors de la mort de Louvois, 325. - Son faible à la vue d'une épée nue, XII, 398. JADIN, le peintre d'animaux. A peint la petite meute de la princesse Mathilde Bonaparte, XI, 400.

JAFFA (le comte de). Au débarquement de saint Louis devant Damiette, VIII, 511-512. — Opposé à l'avis du roi sur la question de savoir si l'on doit rentrer en JAL (M.). Sur Latouche, son ami, France, 525.

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III, 491. Lettre que celui-ci JALABERT (le syndic). Enseigne lui écrit, 498. la physique à Bonstetten, XIV,

425.

JANET (M.). Plaidant pour la mo

ralité de Cousin, XI, 472. JANIN (Jules). Article sur La Religieuse de Toulouse, II, 103-120.

La Relation d'une grande bataille, de Fréron, est presque du Janin, 523. Sur Latouche, III, 491. Article sur ses Gaie

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