The Classic French Reader: Or, Beauties of the French Writers, Ancient and ModernAppleton, 1873 - 388 pages |
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Page 26
... manger que des fruits secs . Fi donc , mon confrère , répond l'inconnu ; ah ' je voudrais voir que mon maître s'avisât de m'imposer ce régime ! Ces messieurs n'ont qu'à vivre selon leurs lois ; mais j'ai toujours à mon arçon , d'un côté ...
... manger que des fruits secs . Fi donc , mon confrère , répond l'inconnu ; ah ' je voudrais voir que mon maître s'avisât de m'imposer ce régime ! Ces messieurs n'ont qu'à vivre selon leurs lois ; mais j'ai toujours à mon arçon , d'un côté ...
Page 60
... manger la première . Il y allait pourtant d'une vitesse toujours égale , et trouvait moyen , sans perdre un coup de dent , de me donner louanges sur louanges , ce qui me rendait fort content de ma petite per- sonne . Il buvait aussi ...
... manger la première . Il y allait pourtant d'une vitesse toujours égale , et trouvait moyen , sans perdre un coup de dent , de me donner louanges sur louanges , ce qui me rendait fort content de ma petite per- sonne . Il buvait aussi ...
Page 62
... manger beaucoup , mais en récompense il nous permettait de boire de l'eau à discrétion . Bien loin de nous prescrire des bornes là - dessus , il nous disait quelquefois : " Buvez , mes enfants . Buvez de l'eau abondamment . C'est un ...
... manger beaucoup , mais en récompense il nous permettait de boire de l'eau à discrétion . Bien loin de nous prescrire des bornes là - dessus , il nous disait quelquefois : " Buvez , mes enfants . Buvez de l'eau abondamment . C'est un ...
Page 86
... manger un morceau ? Pre . Méd . Comme on ne peut guérir une maladie qu'on ne la connaisse parfaitement , vous me permettreż , monsieur , de considérer la maladie dont il s'agit , avant de toucher aux remèdes qu'il nous faudra faire pour ...
... manger un morceau ? Pre . Méd . Comme on ne peut guérir une maladie qu'on ne la connaisse parfaitement , vous me permettreż , monsieur , de considérer la maladie dont il s'agit , avant de toucher aux remèdes qu'il nous faudra faire pour ...
Page 111
... manger sa soupe ; † mais poursuivons . Après votre soupe , que mangeâtes - vous ? -Un œuf frais . - Et que fites ... mange jamais un œuf san briser la coquille ; et après votre œuf ? -Je demandai du * Chevaliers de l'ordre du Saint ...
... manger sa soupe ; † mais poursuivons . Après votre soupe , que mangeâtes - vous ? -Un œuf frais . - Et que fites ... mange jamais un œuf san briser la coquille ; et après votre œuf ? -Je demandai du * Chevaliers de l'ordre du Saint ...
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Expressions et termes fréquents
Allons avez beau Bélisaire belle c'était Carthage cent cher cheval chose Clé Cléonte cœur comte conj coup Crisp danse demande Dieu dire dit-il Doct don Quichotte écus enfants Eras est-ce êtes femme fille Flè Fros gens gentilhomme Gér Géronte Gil-Blas Grèce Harp Harpagon homme interj j'ai j'en Jacq jamais Jose Maria Jour Juan laisse m'en madame Jourdain maî main maître de danse maître Jacques make maladie manger Mart Méd médecin ment mieux mille Molière monde monsieur monsieur de Pourceaugnac Moustache one's Oron Oronte parler Pasq passer pauvre père Périclès personne petite peuple phil pistoles plaisir porte Pourc Pourceaugnac prep pron Qu'est-ce qu'un raison Régulus rien Rome s. m. pl sais Sancho Sbrig Scap SCÈNE SUIVANTE seigneur sera seul Sgan Sganarelle sorte souper take tion trouve Turc vais valet veux voilà voleur voulez voulez-vous
Fréquemment cités
Page 263 - L'âne vint à son tour, et dit : J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 224 - Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci. Les Vents me sont moins qu'à vous redoutables; Je plie , et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin.
Page 220 - De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce monde, dont la surface des eaux m'offrait l'image; mais bientôt ces impressions légères s'effaçaient dans l'uniformité du mouvement continu qui me berçait...
Page 220 - Quand le soir approchait, je descendais des cimes de l'île, et j'allais volontiers m'asseoir au bord du lac, sur la grève, dans quelque asile caché; là, le bruit des vagues et l'agitation de l'eau, fixant mes sens et chassant de mon âme toute autre agitation , la plongeaient dans une rêverie délicieuse où la nuit me surprenait souvent sans que je m'en fusse aperçu.
Page 262 - Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés. On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie ; Nul mets n'excitait leur envie. Ni loups ni renards n'épiaient La douce et l'innocente proie. Les tourterelles se fuyaient ; Plus d'amour, partant* plus de joie.
Page 141 - Mademoiselle, cousine germaine du roi ; Mademoiselle, destinée au trône ; Mademoiselle, le seul parti de France qui fût digne de MONSIEUR. Voilà un beau sujet de discourir. Si vous criez, si vous êtes hors de vousmême, si vous dites que nous avons menti, que cela est faux, qu'on se moque de vous, que voilà une belle raillerie, que cela est bien fade à imaginer; si enfin vous nous dites des injures, nous trouverons que vous avez raison ; nous en avons fait autant que vous. Adieu ; les lettres...
Page 109 - ... bonne opinion de moi, je ne me serais jamais imaginé que je dusse troubler le repos d'une grande ville où je n'étais point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan et à en endosser un à l'européenne, pour voir s'il resterait encore dans ma physionomie quelque chose d'admirable.
Page 109 - Les habitants de Paris sont d'une curiosité qui va jusqu'à l'extravagance. Lorsque j'arrivai, je fus regardé comme si j'avais été envoyé du ciel : vieillards, hommes, femmes, enfants , tous voulaient me voir. Si je sortais, tout le monde se. mettait aux fenêtres ; si j'étais aux Tuileries...
Page 93 - TRAVAILLEZ, prenez de la peine ; C'est le fonds qui manque le moins. Un riche laboureur, sentant sa mort prochaine, Fit venir ses enfants, leur parla sans témoins. Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l'héritage Que nous ont laissé nos parents : Un trésor est caché dedans. Je ne sais pas l'endroit ; mais un peu de courage Vous le fera trouver : vous en viendrez à bout. Remuez votre champ dès qu'on...
Page 142 - Monsieur le maréchal, lisez, je vous prie, ce petit madrigal, et voyez si vous en avez jamais vu un si impertinent : parce qu'on sait que depuis peu j'aime les vers, on m'en apporte de toutes les façons.