Enfin il n'y eût rien eu de plus remarquable en notre siècle que le succès d'une évasion comme la mienne, s'il se fût terminé à me rendre maître de la capitale du royaume, en brisant mes fers. Mémoires de Retz (cont'd) - Page 354de Jean François Paul de Gondi de Retz - 1820Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jean François Paul de Gondi de Retz - 1779 - 494 pages
...rien eu de pTus remarquable en notre Siecle que le fuccès d'une évafion comme la mienne, s'il fe fût terminé à me rendre Maître de la Capitale du Royaume, en brifent mes fers. Caumartin me donna cette penfée. Je l'embraflai avec ardeur. M. le Préfident de... | |
| Pierre Jean-Baptiste Chaussard - 1806 - 532 pages
...l'est , ne paroît possible qu'après l'exécution, à ceux qui ne sont capables que de l'ordinaire Enfin il n'y eût rien eu de plus remarquable en notre...terminé à me rendre maître de la Capitale du Royaume. — Je vous reconnois. — Caumartin me donna cette pensée que j'embrassai avec ardeur. M. le président... | |
| 1825 - 544 pages
...semble que Longin, ce fameux chancelier de Zénobie , l'a observé avant moi dans son livre De sublimi genere. Enfin il n'y eût rien eu de plus remarquable...et aussitôt que M. le chancelier et Servien, qui étoientà Paris, surent que je marchois, ils ne pensèrent qu'à me quitter la place et à se sauver.... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1825 - 550 pages
...Longin , ce fameux chan'celier de Zénobie, l'a observé avant moi dans son livré De sublimi genère. Enfin il n'y eût rien eu de plus remarquable en notre...et aussitôt que M. le chancelier et Servien, qui étoientà Paris, surent que je marchois, ils ne pensèrent qu'à me quitter la place et à se sauver.... | |
| Jean François Paul de Gondi de Retz - 1879 - 382 pages
...Longin , ce fameux chancelier de Zénobie, l'a observé avant moi dans son livre De sublimi génère. Enfin il n'y eût rien eu de plus remarquable en notre...le succès d'une évasion comme la mienne, s'il se fut terminé à me rendre maître de la capitale du royaume, en brisant mes fers. Gaumartin me donna... | |
| Jean François Paul de Gondi de Retz - 1891 - 504 pages
...extraordinaire, dans notre siècle, que le succès d'une évasion comme la mienne, si elle se fût terminée à me rendre maître de la capitale du royaume en brisant mes fers. Je ne me dus pas cette pensée, ce fut Caumartin qui •me la donna. Je l'embrassai avec ardeur; et... | |
| 1902 - 346 pages
...extraordinaire dans notre siècle que le succès d'une évasion comme la mienne, si elle se fût terminée à me rendre maître de la capitale du royaume, en brisant mes fers- Tout ce plan fut renversé en un moment, quoique aucune des machines sur lesquelles il était bâti... | |
| Jean François Paul de Gondi de Retz - 1909 - 348 pages
...eu de plus extraordinaire, dans notre siècle, que le succès d'une évasion comme la mienne, si il se fût terminé à me rendre maître de la capitale du royaume en brisant mes fers. Je ne me dus pas cette pensée. Ce fut Caumartin qui me la donna. Je l'embrassai avec ardeur; et ce... | |
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