Murs, ville Et port, Asile De mort, Mer grise Où brise La brise, Tout dort. Dans la plaine Naît un bruit : C'est l'haleine De la nuit. Elle brame Comme une âme Qu'une flamme Toujours suit. La voix plus haute Semble un grelot. D'un nain qui saute C'est... Oeuvres illustrées de Victor Hugo - Page 27de Victor Hugo - 1853Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Victor Hugo - 1829 - 456 pages
...ainsi je vis venir traînant des gémisseinens les ombres emportées par cette tempête. XXVIII. MCBS, ville, Et port, Asile De mort, Mer grise Où brise...bruit. C'est l'haleine De la nuit. Elle brame Comme une âme Qu'une flamme Toujours suit. La voix plus haute Semble un grelot. — D'un nain qui saute C'est... | |
| M. J. Janin - 1829 - 326 pages
...doigt qui la fixe est si vite ternie , Essaim doré qui n'a qu'un jour dans tous nos jours \ Ali «s , ville , Et port Asile De mort, Mer grise Où brise La brise ; Tout dort. Dans la plaine iNaît un bruit, ("est l'Iialeine De la nuit. Eltc brame Comme une âuic Qu'une; flauime Toujours suit.... | |
| Emmanuel J. Chételat - 1829 - 154 pages
...éclaircie tant bien que mal, je parcours les tons de cette gamme et les degrés de cette pyramide. Mer, ville, et port, asile de mort, mer grise, où brise la brise ; tout dori. J'aurais préféré , pour moins de bruit encore, ne pas mettre du tout de syllabes ; qu'aurait-on... | |
| Victor Hugo - 1832 - 342 pages
...plainte, ainsi je vis venir traînant des gémissemens les ombres emportées par cette tempête. s Murs, ville Et port , Asile De mort, . Mer grise • Où brise La brise : Tout dort. C'est l'haleine Oe la nuit. Elle brame Comme une ame Qu'une flamme ' Toujours suit. La voix plus haute... | |
| Victor Hugo - 1832 - 242 pages
...files vont chantant leur plainte, ainei je TÎS venir traînant des gémissemens les ombres empor tées par cette tempête. Murs, ville, Et port , Asile De mort, Mer grise Où brîse La brise; Tout dort. Dans la plaine Naît un bruit. C'est l'haleine De la nuit. Elle In iiniiComme... | |
| Victor Hugo - 1834 - 384 pages
...vis venir traînant des gémissements les ombres emportées par cette tempête. XXVIII. LES DJINNS. Murs, ville, Et port, Asile De mort. Mer grise Où...bruit. C'est l'haleine De la nuit. Elle brame Comme une âme Qu'une flamme Toujours suit. La voix plus haute Semble un grelot. — D'un nain qui saute C'est... | |
| 1837 - 332 pages
...souriait pourtant, trouva la réalité moins royale que son rêve. JU'* Murs, ville, Et port, Asyle De mort, Mer grise Où brise La brise; Tout dort....bruit. C'est l'haleine De la nuit. Elle brame Comme une âme Qu'une flamme Toujours suit. La voix plus haute Semble un grelot. — D'un nain qui saute C'est... | |
| Paul Ackermann - 1843 - 116 pages
...C'est également une illusion de prendre cela pour des vers de deux syllabes ; il faut lire ainsi : ,,Murs, ville et port, Asile de mort, Mer grise où brise La brise; tout dort. Trisyllabe ou mètre de trois syllabes. ,,Ce bruit vagae, Qui s'endort C'est la «ogue Sur le bord;... | |
| Victor Hugo - 1843 - 830 pages
...traînant des gémissements les ombrei emportées par cette tempête. Murs, ville, Et port, Asile hi- mort, Mer grise Où brise La brise : Tout dort. Dans la plaine Yiil un bruit. C'est l'haleine De la nuit. Elle brame Comme une âme Qu'une flamme Toujours suit. La... | |
| Alfred Canel - 1867 - 380 pages
...intitulée les Djinns, deux strophes de vers bisyllabiques. Ce sont la première et la dernière du poème : Murs, ville, Et port; Asile De mort, Mer grise Où brise La brise ; Tout dort.. On doute La nuit... J'écoute : Tout fuit, Tout passe; L'espace Efface Le bruit. — C'est encore à... | |
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