Correspondances françaises 1515-1603.- t. 5. Correspondances espagnoles, 1562-1588

Couverture

À l'intérieur du livre

Autres éditions - Tout afficher

Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page 242 - Dieu qu'il vous ait, très haut, très excellent et très puissant prince, notre très cher et très amé bon frère et cousin en sa sainte et digne garde.
Page xxi - Il est pénible d'admettre qu'une reine, une femme jeune encore, belle, spirituelle, charmante, ait pu se rendre la complice d'un crime aussi odieux : mais il faut avant tout juger les personnages d'une époque d'après les idées de l'époque où ils ont vécu. Or, on ne se faisait pas grand scrupule, au seizième siècle, d'employer l'assassinat pour satisfaire une passion, pour se débarrasser d'un obstacle, accomplir une vengeance. Que d'exemples on en pourrait citer! L'idée d'user d'un tel...
Page 314 - et faisant cesser tous troubles, et empeschements « au contraire : Car tel est nostre plaisir; et afin « que ce soit chose ferme et stable à toujours, Nous « avons fait mettre notre scel à ces dites présentes.
Page 314 - ... collationné par l'un de nos amez et féaux notaires et secrétaires, foy soit adjoustée comme à ce présent original.
Page 99 - Philippus, Dei gratia Francorum rex, universis presentes litteras inspecturis, salutem. Notum facimus, quod cum...
Page 119 - Scotorum, universis et singulis ad quos presentes litere pervenerint, salutem in eo qui est omnium vera salus.
Page xiv - Négociations, lettres et pièces diverses relatives au règne de François H, tirées du portefeuille de Sébastien de L'Aubespine, évéque de Limoges, 1 -vol.
Page 83 - ... etpéricules, nous estions forcés et compellés, contre nostre intention et voloir, de mettre nostre person , auctorité et gouvernement de nostre royalme en ses mains et aucunes aultres ses collèges, estant avec luy par son solistation, à l'èvre desquelles le comte d'Angus, son frère et oncle, estiont principaulx, lesquelles sont et ont esté par longe temps nous (nos) rebelles évecques (avec) nous (nos) éncmys d'Engleterre, lesquelles sont la principale...
Page 183 - Dieu vous a mis en main, que je n'eschappe en vivotant et m'entretenant honneSlement, comme j'ay fayt jusques à présent pour l'honneur de la maison dont j'eStois issu à ma départie de France. Monseigneur, je me recommande très humblement à voStre bonne grâce et prie NoStre Seigneur vous donner en parfaifte santé très bonne et longue vie.
Page xxi - Bothwellhac a faict a esté sans mon commandement; de quoy je lui scay aussi bon gré et meilleur que si j'eusse esté du conseil. J'attends les mémoires qui me doivent estre envoyez de la recepte de mon douaire , pour faire mon estat , où je n'oublieray la pension dudict Bothwellhac.

Informations bibliographiques