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Beaucoup des plus grands leaders industriels, leur appréciation sur les questions de banqu et d'autres problèmes, accepté la notion de l idéal et objet des affaires.

Dans peu de cas cependant, les employe comme socialistes, dans un sens radical, qu comparées à celles de leurs prédécesseurs, lisées.

M. Fetter, après avoir reconnu que une place importante, déclara qu'i l'intérêt économique dans le sens le fond, mais près de la périphérie.

Les intérêts même individuels ne sécurité par une économie des prix; encore moins.

L'économie des prix est enfermé les prix, les échanges, les statistic tions financières. L'économie du des hommes avec leur milieu so les objets de leur choix, comm bonheur, leur bien-être.

Si les économistes et les hom tion ne réussissent pas à guider cédent des ressources matériell atteignent les besoins de la na entre les économistes commer à gauche nomic

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pelle que « Emile de Laveleye, un ie à la combattre ». Quand il a prond dans les pays de langue française, ûr, œuvre de « grand libéral »; mais la liberté d'une façon originale :

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riculteurs opprimés, s'ils ne peuvent faire à leurs concitoyens1!

déclare avec un bel aplomb :

oclame donc plus que le libéralisme consiste à vouen tout et pour tous. Cela n'a pas de sens.

re alors le commencement de législation ouvrière Belgique par Rogier et il conclut :

oment est venu de faire pénétrer cette idée dans la masse parti libéral n'est pas, par principe, hostile à l'intervention lat en matière économique. Quel libéral voterait aujourd'hui, principe, contre les lois protectrices du travail; contre les urances sociales obligatoires? Toutes ces lois sont des lois libérafices, des lois de liberté. La loi des huit heures de travail également!

Evidemment, la loi de huit heures représente un beau

1. V. Manifeste de la Ligue du libre-échange; Yves-Guyot, A B C du libreéchange: G. Schelle, le Bilan du protectionnisme.

triomphe pour les interventionnistes réduire le travail au lendemain de la guerre! Ils ont jeté ce défi à la raison la plus élémentaire, et ils l'ont emporté! Mais quel argument ils ont donné contre leurs actes et leurs projets!

M. Mahaim appelle des mesures de ce genre « le libéralisme Social »; et tous les actes de la législation, dite sociale, sont des actes de tyrannie. Accoler ces deux mots, c'est vouloir réaliser le miracle d'accorder des contradictions.

Puis, M. Ernest Mahaim s'arrête il ne veut aller ni vers le collectivisme, ni vers le communisme, pourquoi? Parce que «le communisme est l'antipode de la liberté ». Mais est-ce que tout son article n'a pas pour but de prouver que la liberté n'est qu'un vain mot et que toute mesure prise en son nom a pour résultat une oppression, comme l'oppression des agriculteurs par les libre-échangistes? Il est de ces naïfs qui poussent sur la pente des pires catastrophes, pour un succès électoral immédiat. Les interventionnistes de ce genre jouent un rôle analogue à celui de Kérinsky en 1917, qui paraît ne pas encore comprendre comment il a préparé l'avènement des soviets le 7 novembre 1917.

VII. LE CRITÉRIUM ÉCONOMIQUE

Les économistes éthico-historiques, les chrétiens sociaux, et les interventionnistes de tout genre ont accusé les économistes classiques de nier les misères humaines. M. Richard Schüller a prouvé qu'il n'en est rien 1.

Seulement, au lieu de se répandre en lamentations plus ou moins éloquentes, sur les souffrances qui en résultent, ils en ont fait Fanalyse; et ils ont démontré que ce qui importait. ce n'était pas d'essayer d'en pallier les effets, mais d'en supprimer les causes,

Malthus a prouve que la loi des pauvres, établie par la reme Flisabeth, loin de detruire le pauperisme en avait fait une institution ruinouse, dépressive et corruptrice 2: et tel est le resultat qui se produit chaque fois que l'Etat essaye par des moyens de contrainte politique d'intervenir dans les rapports donomiques

Four Lew et les Finances

Adam Smith a dit que « ce n'est pas de la bienveillance du boucher, du marchand de bière, ou du boulanger que nous attendons notre dîner, mais bien du soin qu'ils apportent à leurs intérêts ». MM. Hildebrand, Roscher, Schmöller, l'ontils jamais entendu autrement?

Adam Smith a encore déclaré que...

... tout en ne cherchant que son intérêt personnel, chaque individu travaille souvent d'une manière bien plus efficace pour l'intérêt de la société que s'il avait réellement pour but d'y travailler '.

Adam Smith dit encore :

Les grandes nations ne s'appauvrissent jamais par la prodigalité et la mauvaise conduite des particuliers, mais par celles de leur gouvernement 2.

Est-ce que depuis Adam Smith les gouvernements ont changé? Comme dans le passé, ils gaspillent et s'endettent, tandis que les individus travaillent et épargnent. Les gouvernements n'ont d'autres ressources,que celles qui résultent de ce travail et de cette épargne personnels. Tout leur crédit vient de la confiance qu'inspire la capacité des contribuables. La richesse d'un peuple est le total de la richesse des particuliers.

Le célèbre astronome américain Newcomb a, dans son remarquable ouvrage Principles of Economics 3 repris la démonstration d'Adam Smith.

Supposons, dit-il, qu'un être intelligent descendant sur la terre, mais ignorant l'esprit des hommes, voulût se rendre compte de la situation des Etats-Unis. Il trouve d'abord le mécanicien d'une locomotive. Pourquoi conduisez-vous cette locomotive? — Pour gagner de la monnaie. Pourquoi avez-vous besoin de monnaie? Pour acheter des aliments, des vêtements et me loger avec ma famille. S'adressant à un cultivateur, récoltant du blé, il obtiendrait à peu près la même réponse. Partout où il irait, chacun lui dirait qu'il travaille pour lui-même. Chacun n'aurait que son intérêt en vue. Mais en poussant cet examen plus loin, cet enquêteur intelli

1. Richesse des nations, liv. IV, chap. I.

2. Richesse des nations, liv. II, chap. ш.

3. Harper and Brothers, New-York, 1885. Voir une citation presque complète dans le Journal des Economistes, février 1913, p. 195, la Méthode et la Science économique, par Yves-Guyot.

gent verrait que sous cet apparent égoïsme universel, tous travaillent pour le bien des autres.

M. Newcomb montre comment la peau d'un bœuf tué au Texas y rapporte, à travers toutes sortes de pérégrinations et de transformations, une boîte d'etain et il conclut :

1o Les opérations sont celles d'un seul système harmonique; 2° ce système fournit à chaque individu certains objets provenant de toutes les parties du monde et utiles à son existence, à sa santé et à ses plaisirs; 3° ces opérations sont le résultat d'une infinité de forces intérieures, dont chacune opère dans une sphère très limitée.

La seule force qui maintienne chaque partie de l'organisme social en activité est le désir de chaque individu d'obtenir certains résultats du travail des autres qu'il peut acquérir seulement en travaillant lui-même pour les autres.

L'individualisme économique est l'expression même de la

réalité.

Les interventionnistes qui opposent l'économie sociale et l'économie du bien-être, à la science économique, veulent la subordonner à des conceptions politiques et morales. Or, une science ne peut avoir qu'un objet la recherche de la vérité et le rejet de l'erreur.

Maurice Block a dit avec raison:

L'économie politique, éthique ou morale, implique une regrettable confusion entre la science. Ce n'est pas le savoir, mais le vouloir qui est du domaine de la morale... Les sciences ne sont ni mo rales ni immorales, car elles n'agissent pas elles constatent et expliquent.

Est-ce qu'il y a une arithmétique morale ou immorale? C'est un instrument dont la majorité des êtres humains fait, un bon usage, mais dont certaines personnes se servent pour tromper et corrompre.

De même la science économique recherche et énonce des vérités. Elle n'est pas responsable des actes de ceux qui en font un mauvais usage.

Les Economistes n'ont qu'un objet pratique étudier et re: chercher les moyens économiques les plus efficaces pour seconder les progrès techniques vers l'économie de l'effort.

1. Les Progrès de la science économique, p. 53.

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