 | Jean François Paul de Gondi de Retz - 1779 - 538 pages
...ton temps ; „ me prêcher , je fçais bien que je n< „ fuis qu'un coquin. Mais malgré to „ & tout le monde je le veux être „ parce que j'y trouve plus de plaifii » Je fçais que vous êtes trois ou qua „ tr „ tre qui me connoiflez & me mé„ prifsz... | |
 | Guy Joly - 1779 - 534 pages
...ton temps à „ me prêcher , je fçais bien que je ne „ fuis qu'un coquin. Mais malgré toi „ & tout le monde je le veux être, „ parce que j'y trouve plus de plaifir. .„ Je fçais que vous êtes trois ou qua» ire ï> EGUYJ 0 L T. 111 , tre qui me connoiflez... | |
 | Louis-Pierre Anquetil - 1819 - 460 pages
...cardinal Je Retz par cette réponse du prélat aux reproches de son confident : • Mon « pauvre ami, tu perds ton temps à me prêcher. Je sais bien que je ne « »uis qu'un coquin; mais, malgré toi et tout le monde, je le veux • être, parceque j'y trouve... | |
 | Jean François Paul de Gondi de Retz - 1820 - 634 pages
...pu arracher autre chose qu'un lâche aveu de ses infirmités. « Mon pauvre ami , lui disait-il , « tu perds ton temps à me prêcher, je sais bien »...plaisir. Je sais que » vous êtes trois ou quatre qui me connaissez » et me méprisez dans le cœur ; mais je m'en » console par la satisfaction que j'ai... | |
 | Petitot (M., Claude-Bernard) - 1825 - 566 pages
...foiblesses indignes de lui, il n'en a pu arracher autre chose qu'un lâche aveu de ses infirmités. « Mon « pauvre ami, lui disoit-il , tu perds ton temps...« êtes trois ou quatre qui me connoissez , et me mé« prisez dans le cœur ; mais je m'en console par la « satisfaction que j'ai d'en imposer à tout... | |
 | 1825 - 576 pages
...foiblesses indignes de lui, il n'en a pu arracher autre chose qu'un lâche aveu de ses infirmités. « Mon « pauvre ami, lui disoit-il, tu perds ton temps...« êtes trois ou quatre qui me connoissez, et me mé« prisez dans le cœur ; mais je m'en console par la j « satisfaction que j'ai d'en imposer à... | |
 | Claude Bernard Petitot, Alexandre Petitot, Louis Jean Nicolas Monmerqué - 1825 - 596 pages
...foiblesses indignes de lui , il n'en a pu arracher autre chose qu'un lâche aveu de ses infirmités. « Mon « pauvre ami , lui disoit-il , tu perds ton temps...parce que j'y trouve plus de plaisir. Je sais que voos « êtes trois ou quatre qui me connoissez , et me mé« prisez dans le cœur ; mais je m'en console... | |
 | Émile Colombey - 1858 - 362 pages
...Un jour, Joly, son confident, lui reprochait sa vie licencieuse : — Mon pauvre ami, répondit-il, tu perds ton temps à me prêcher. Je sais bien que...tout le monde, je le veux être, parce que j'y trouve du plaisir. — Abbé, lui dit Ninon, quelle mouche vous avait donc piqué l'autre fois, que vous vous... | |
 | Emile Colombey - 1858 - 380 pages
...vie licencieuse : — Mon pauvre ami, répondit-il, tu perds ton temps à me prêcher. Je sais-bien que je ne suis qu'un coquin; mais, malgré toi et tout le monde, je le veux êlre, parce que j'y trouve du plaisir. — Abbé, lui dit Ninon, quelle mouche vous avait donc piqué... | |
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pauvre ami, lui disoit-il , tu perds ton temps à me « prêcher ; je sais bien que je ne suis qu'un coquin. « Mais malgré toi et tout le monde je le veux être . « parce que j'y trouve plus de plaisir. Je sais que vous « êtes trois ou quatre qui... 
