Les vertus qu'on nous y montre sont toujours moins ce que l'on doit aux autres, que ce que l'on se doit à soimême : elles ne sont pas tant ce qui nous appelle vers nos concitoyens, que ce qui nous en distingue. Esprit des lois - Page 28de Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1851 - 600 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1748 - 566 pages
...toujours moins ce que l'on doit aux autres , que ce que l'on fe doit à foi -même-, elles ne font pas tant ce qui nous appelle vers nos Concitoyens, que ce qui nous en diftingue. On n'y juge pas les actions des hommes comme bonnes, mais comme belles; non comme juftes,... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1749 - 392 pages
...font toujours moins ce que l'on doit aux autres , que ce que l'on fe doit à foi-même ; elles ne font pas tant ce qui nous appelle vers nos concitoyens , que ce qui nous en diftingue. On n'y juge pas les adions des hommes comme bonnes , mais corn-^ me belles ; comme juftes... | |
| Elie-Catherine Fréron - 1753 - 452 pages
...inonde que l'éducation commence î c'eft-là l'école de l'honneur : les vertus qu'il enfeigne ne font pas tant ce qui nous appelle vers nos concitoyens, que ce qui nous en diflingup ; .il nepige pas des actions comme bonnes , mais comme belles : il veut de la vérité dans... | |
| Gabriel Gauchat - 1757 - 402 pages
...fout touiours moins ce que l'on doit aux autres, que os: qu'on fe doit à foi- même : elles ne ' font pas tant ce qui nous appelle vers nos concitoyens,. que ce qui nous en diftingue. On n'y iuge pas les aftions des tommes comme bonnes , mais comme belles ; comme juftes ,... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1759 - 868 pages
...font toujours moins ce que l'on doit aux autres, que ce que l'on fe doit à foi-même : elles ne font pas tant ce qui nous appelle vers nos concitoyens, que ce qui nous en diitingue. On n'y juge pas les aftions des hommes comme bonnes, mais comme belles; comme juftes, mais... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1764 - 470 pages
...font toujours moins ce que l'on doit aux autres , que ce que l'on fe doit à foi-même ; elles ne font pas tant ce qui nous appelle vers nos concitoyens , que ce qui nous en dif* lingue. On n'y juge pas les aftions des hommes comme bonnes , mais comme belles ; comme juftes... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1767 - 662 pages
...font toujours moins ce que Ton doit aux autres, que ce que Ton fe doit à foi-même: elles ne font pas tant ce qui nous appelle vers nos concitoyens , que ce qui nous en diftingue. On n'y juge pas les avions des hommes comme bonnes , mais comme belles ; comme juftes ,... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1771 - 528 pages
...font toujours moins ce que l'on doit aux autres , que ce que l'on fe doit à foi-même : elles ne font pas tant ce qui nous appelle vers nos concitoyens , que ce qui nous en diftingue. On n'y juge pas les actions des hommes comme bonnes , mais comme belles ; comme juftes ,... | |
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1772 - 614 pages
...font toujours moins ce que l'on doit aux autres , que ce que l'on fe doit à foi-même : elles ne font pas tant ce qui nous appelle vers nos concitoyens , que ce qui nous en diftingue. On n'y juge pas les actions des hommes comme bonnes , mais comme belles; comme juftes, mais... | |
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