 | Claude-Pierre Goujet - 1744 - 562 pages
...de la Cour jufqu'aux » femmes de chambre & aux valets. » Cette fureur de burlefque étoit ve*> nue fi avant , que les Libraires ne » vouloient rien qui ne portât ce nom ; * & que par ignorance , ou pour mieux » débiter leur marchafidife , ils le don» noient aux chofes... | |
 | Scarron (Monsieur) - 1786 - 366 pages
...valets. Cette » fureur de burlesque dont; k la fin nous. j? commençons à guérir , étoit venue si » avant, que les libraires ne vouloient rien » qui ne portât ce nom : que par ignoran» ce, ou pour mieux débiter leur marchan>; dise , ils le donnoient aux choses les plus »... | |
 | Johann Georg Sulzer - 1794 - 840 pages
...aux valets. Cette Cette fureur duburlcfquedonri fa lin nous commençons à guérir, eftoit venue ii avant, que les libraires ne vouloient rien qui ne portât ce nom i que par ignorance, ou pour mieux débiter leur marchandée, ils le donnuiciuaux choies les plus ierieufci... | |
 | Christian Friedrich von Blankenburg - 1798 - 532 pages
...du franc. Arch ¡er de Bagnolet unb Dialogue entre Malepaye et Baille vent.) — '€1 " vouloien t rien qui ne portât ce nom; que par ignorance , ou pour mieux débiter leur marchàndife, ils je donnoient aux chofes les1 plu« ftrieufes da monde, pourv eu feulement qu'elles... | |
 | 1798 - 434 pages
...femmes de » chambre et aux valets, s'occupoient à cela. Cette fureur » de burlesque étoit venue si avant , que les libraires ne » vouloient rien qui ne portât ce nom ». On imprima, l'an i64g, durant la guerre de Paris, une pièce ridicule, intitulée : La Passion... | |
 | Scarron (Monsieur) - 1825 - 512 pages
...« à la fin nous commençons à guérir, était venue si avant. « que les liîjraircs ne voulaient rien qui ne portât ce nom : « que par ignorance, ou pour mieux débiter leur mar« chandise, ils le donnaient aux choses les plus sérieuses « du monde, pourvu seulement qu'elles... | |
 | L. Lafaist, Félix Danjou - 1838 - 504 pages
...aux valets. Cette fureur de burlesque , dont à la fin nous commen cons à guérir, étoit venue si avant que les libraires ne vouloient rien qui ne portât...nom; que, par ignorance ou pour mieux débiter leur marchandise, ils le donnoient aux choses les plus sérieuses du monde , pourvu seulement qu'elles fussent... | |
 | 1838 - 486 pages
...aux valets. Cette fureur de burlesque , dont à la fin nous commençons à guérir, étoit venue si avant que les libraires ne vouloient rien qui ne portât...nom; que, par ignorance ou pour mieux débiter leur marchandise, ils le donnoient aux choses les plus sérieuses du monde , pourvu seulement qu'elles fussent... | |
 | Ludovic Lalanne - 1845 - 492 pages
...burlesque, dont à la fin nous commençons à guérir, était venue si avant, que les libraires ne voulaient rien qui ne portât ce nom, que, par ignorance ou pour mieux débiter leur marchandise, ils donnaient aux choses les plus sérieuses du monde, pourvu seulement qu'elles fussent... | |
 | Paul Pellisson-Fontanier, Pierre-Joseph Thoulier Olivet - 1858 - 570 pages
...aux valets. Cette fureur de burlesqve, dont à la fin nous commençons à guérir, étoit venue si avant, que les libraires ne vouloient rien qui ne...nom; que par ignorance, ou pour mieux débiter leur marchandise, ils le donnoient aux choses les plus sérieuses du monde, pourvu seulement qu'elles fussent... | |
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Cette fureur de burlesque, dont à la fin nous commençons à guérir, était venue si avant que les libraires ne voulaient rien qui ne portât ce nom ; que par ignorance, ou pour mieux débiter leur marchandise, ils le donnaient aux choses les plus sérieuses... 
