Prosateurs et poètes français, or selections from the best French authors: with an introduction of easy pieces, arranged in chronological order, from the age of Louis XIV. to the present day; with biographical sketchesLongmans, Green, and Company, 1862 - 544 pages |
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Page 9
... soleil n'en pouvait , avec ses rayons , percer la sombre verdure . L'enfant de Sémélé , pour étudier la langue des dieux , s'assit dans un coin au pied d'un vieux chêne , du tronc duquel plusieurs hommes de l'âge d'or étaient nés . Il ...
... soleil n'en pouvait , avec ses rayons , percer la sombre verdure . L'enfant de Sémélé , pour étudier la langue des dieux , s'assit dans un coin au pied d'un vieux chêne , du tronc duquel plusieurs hommes de l'âge d'or étaient nés . Il ...
Page 10
... soleil couchant semblait revêtir , dans ses adieux , d'une robe de pourpre . Ils furent distraits de leur douce rêverie par les chants joyeux d'un berger qui ramenait son troupeau bêlant de la prairie voisine . Des deux côtés du chemin ...
... soleil couchant semblait revêtir , dans ses adieux , d'une robe de pourpre . Ils furent distraits de leur douce rêverie par les chants joyeux d'un berger qui ramenait son troupeau bêlant de la prairie voisine . Des deux côtés du chemin ...
Page 35
... soleil , et des amis de son âge . Jules Janin . MORT D'ÉPAMINONDAS . Les deux armées furent bientôt en présence près de la ville de Mantinée . Celle des Lacédémoniens et de leurs alliés était de plus de vingt mille hommes de pied , et ...
... soleil , et des amis de son âge . Jules Janin . MORT D'ÉPAMINONDAS . Les deux armées furent bientôt en présence près de la ville de Mantinée . Celle des Lacédémoniens et de leurs alliés était de plus de vingt mille hommes de pied , et ...
Page 49
... les corps les plus épais , que les rayons du soleil ne pénètrent le plus pur cristal : elle n'éblouit jamais au contraire , elle fortifie les yeux et porte D FÉNELON . 49 profitant de votre imprudence, les attirent chez eux, ...
... les corps les plus épais , que les rayons du soleil ne pénètrent le plus pur cristal : elle n'éblouit jamais au contraire , elle fortifie les yeux et porte D FÉNELON . 49 profitant de votre imprudence, les attirent chez eux, ...
Page 55
... soleil : Sortez du néant , et prési- dez au jour ? et à la lune : Paraissez , et soyez le flam- beau de la nuit ? Qui a donné l'être et le nom à cette multitude d'étoiles qui décorent avec tant de splendeur le firmament , et qui sont ...
... soleil : Sortez du néant , et prési- dez au jour ? et à la lune : Paraissez , et soyez le flam- beau de la nuit ? Qui a donné l'être et le nom à cette multitude d'étoiles qui décorent avec tant de splendeur le firmament , et qui sont ...
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Prosateurs Et Poètes Français, Or Selections From The Best French Authors ... Leon Contanseau Aucun aperçu disponible - 2017 |
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Expressions et termes fréquents
ADDISCOMBE âme armée armes ATHALIE avaient avez barque Bataille des Pyramides beau bientôt bruit c'était camp canons chants Charles château cheval chose ciel cœur combat Contanseau côté coup devant Dieu dit-il ÉMILE DE GIRARDIN enfants ennemis Épaminondas êtes femme fille fils Flè flots foule French Fros garde gens Gesler glaces gloire Guillaume Harp HARPAGON heures hommes j'ai Jacq jamais janissaires jeune JOAD JOSABETH jour Jourd Jourdain Kremlin l'armée l'homme laisser LOUIS RACINE Louis XIV Louis XVI madame main maison maître maître à danser Marmatie ment mère milieu mille monde monsieur montagnes mort n'avait Napoléon neige Notice nuit officiers palais passer pauvre pensée père peuple phil pieds pont du Gard porte qu'un regards reste rien s'avance Saint sang semble sentiment seul siècle silence soldats soleil sortir speronare Spitzberg Suédois temple terre tête tombe tout-à-coup troupes trouve venait veux voilà voix work yeux
Fréquemment cités
Page 484 - Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois. » A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie ; Et, pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Page 449 - JOURDAIN. Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien ' ; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 28 - Monsieur le maréchal, lisez, je vous prie, ce petit madrigal, et voyez si vous en avez jamais vu un si impertinent ; parce qu'on sait que depuis peu j'aime les vers, on m'en apporte de toutes les façons. » Le maréchal, après avoir lu, dit au roi : « Sire, Votre Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu.
Page 49 - Le jour n'y finit point , et la nuit , avec ses sombres voiles , y est inconnue ; une lumière pure et douce se répand autour des corps de ces hommes justes, et les environne de ses rayons comme d'un vêtement.
Page 85 - Alors, l'esprit perdu dans cette immensité, je ne pensais pas, je ne raisonnais pas, je ne philosophais pas: je me sentais, avec une sorte de volupté, accablé du poids de cet univers, je me livrais avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j'aimais à me perdre en imagination dans l'espace; mon cœur resserré dans les bornes des êtres s'y trouvait trop à l'étroit, j'étouffais dans l'univers, j'aurais voulu m'élancer dans l'infini.
Page 485 - Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. 'Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'août, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 471 - Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi; Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille » En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser ; Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chairs meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 474 - Dieu laissa-t-il jamais ses enfants au besoin ? Aux petits des oiseaux il donne leur pâture, Et sa bonté s'étend sur toute la nature.
Page 84 - Mon imagination ne laissait pas longtemps déserte la terre ainsi parée. Je la peuplais bientôt d'êtres selon mon cœur, et, chassant bien loin l'opinion, les préjugés, toutes les passions factices, je transportais dans les asiles de la nature des hommes dignes de les habiter. Je m'en formais une société charmante dont je ne nie sentais pas indigne, je me faisais un siècle d'or à ma fantaisie...
Page 449 - Non, monsieur. Tout ce qui n'est point prose est vers, et tout ce qui n'est point vers est prose.