Le Mercure du dix-neuvième siècle, Volume 5Baudouin frères., 1824 |
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... talent mais sur son génie . L'encensoir passe de mains en mains . « Vous êtes universel , lui dit la dame de bonnes - lettres ; vous faites des odes comme on n'en fit jamais , et la tragédie comme Voltaire . Je ne signerais pas Mérope ...
... talent mais sur son génie . L'encensoir passe de mains en mains . « Vous êtes universel , lui dit la dame de bonnes - lettres ; vous faites des odes comme on n'en fit jamais , et la tragédie comme Voltaire . Je ne signerais pas Mérope ...
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... talent rare , offre un intérêt puissant et est écrite avec un charme inexprimable . Une femme seule pouvait atteindre à cette vérité de sentimens , à cette délicatesse d'expressions , à cette justesse d'observations qui donnent tant d ...
... talent rare , offre un intérêt puissant et est écrite avec un charme inexprimable . Une femme seule pouvait atteindre à cette vérité de sentimens , à cette délicatesse d'expressions , à cette justesse d'observations qui donnent tant d ...
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... talent de l'auteur de Paul et de Virginie et de Lodoïska . Mais quoi qu'on ait pu faire pour arriver à un succès , il faut d'autres ouvrages que celui - là , pour rendre à l'Académie Royale de musique l'éclat qu'elle perd tous les jours ...
... talent de l'auteur de Paul et de Virginie et de Lodoïska . Mais quoi qu'on ait pu faire pour arriver à un succès , il faut d'autres ouvrages que celui - là , pour rendre à l'Académie Royale de musique l'éclat qu'elle perd tous les jours ...
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l'auteur . Mais il est trop jeune , il a trop de talent pour que je ne lui dise pas la vérité sans ménagement . Insulter sa patrie , c'est insulter sa mère ; outrager să nation , c'est commettre presque un sacrilége . , Que M. Hugo ...
l'auteur . Mais il est trop jeune , il a trop de talent pour que je ne lui dise pas la vérité sans ménagement . Insulter sa patrie , c'est insulter sa mère ; outrager să nation , c'est commettre presque un sacrilége . , Que M. Hugo ...
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... talent qui voudrait colorer des mensonges . Loin de moi de vous prêter l'intention de tromper vos semblables ! mais vous n'étudiez pas vos sujets avec cette conscience qui pèse les opinions , et règle les jugemens , Écrivez toujours ...
... talent qui voudrait colorer des mensonges . Loin de moi de vous prêter l'intention de tromper vos semblables ! mais vous n'étudiez pas vos sujets avec cette conscience qui pèse les opinions , et règle les jugemens , Écrivez toujours ...
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 491 - Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage : Polissez-le sans cesse et le repolissez ; Ajomtez quelquefois, et souvent effacez.
Page 221 - Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'on te fasse; » il avoit ordonné qu'elle fût gravée dans son palais et sur les murs des édifices publics.
Page 525 - Les feuilles des bois « A tes yeux jauniront encore, « Mais c'est pour la dernière fois. « L'éternel cyprès t'environne : « Plus pâle que la pâle automne, « Tu t'inclines vers le tombeau. « Ta jeunesse sera flétrie « Avant l'herbe de la prairie,
Page 103 - ... la mouche du coche, qui se passera bien de mon » bourdonnement; il va, mes chers amis, et ne cesse » d'aller. Si sa marche nous paraît lente, c'est que nous » vivons un instant ; mais que de chemin il a fait depuis » cinq ou six siècles ! A cette heure, en plaine roulant, » rien ne le peut plus arrêter.
Page 488 - Il m'enseigna comment on dépeçait Un livre entier, comme on le recousait, Comme on jugeait du tout par la préface, Comme on louait un sot auteur en place, Comme on fondait avec lourde roideur Sur l'écrivain pauvre et sans protecteur.
Page 525 - Tu m'as dit: — Les feuilles des bois A tes yeux jauniront encore, Mais c'est pour la dernière fois. L'éternel cyprès t'environne : Plus pâle que la pâle automne Tu t'inclines vers le tombeau. Ta jeunesse sera flétrie Avant l'herbe de la prairie Avant les pampres du coteau — Et je meurs!
Page 580 - L'homme est-il , sans secours, à l'erreur attaché ? Quoi ! le monde est visible, et Dieu serait caché ! Quoi! le plus grand besoin que j'aie en ma misère, Est le seul qu'en effet je ne puis satisfaire...
Page 607 - ... tantôt j'aurais voulu être avec toi la seule créature vivante sur la terre; tantôt, sentant une divinité qui m'arrêtait dans mes horribles transports, j'aurais désiré que cette divinité se fût anéantie, pourvu que serrée dans tes bras, j'eusse roulé d'abîme en abîme avec les débris de Dieu et du monde!
Page 44 - Essai historique et philosophique sur les noms d'hommes, de peuples et de lieux considérés principalement dans leurs rapports avec la civilisation, par Eusèbe Salverte.
Page 525 - Et je meurs ! De sa froide haleine Un vent funeste m'a touché, Et mon hiver s'est approché Quand mon printemps s'écoule à peine. Arbuste en un seul jour détruit, Quelques fleurs faisaient ma parure, Mais ma languissante verdure Ne laisse après elle aucun fruit.