... lampe éternelle pour éclairer l'univers; que la terre lui paraisse comme un point, au prix du vaste tour que cet astre décrit, et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'une pointe très délicate à l'égard de celui que les... Théorie de l'Homme intellectuel et morale - Page 229de Simon Charles Henri Cros - 1842Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Charles Bossut - 1802 - 886 pages
...trèsdélicat, à Végardi » de celui q n'embrassent les astres qui roulent dans >> le firmament. Mais si notre vue s'arrête là, que » l'imagination passe outre: elle se lassera plutôt de » concevoir que la nature de fournir. Tout ce que » nous voyons du monde n'est qn'un trait... | |
| Charles Bossut - 1802 - 438 pages
...point très.délicat, à l'égard # de celui qu'embrassent les astres qui roulent dans « le firmament. Mais si notre vue s'arrête là, que » l'imagination passe outre : elle se lassera pi utôt de » concevoir que la nature de fournir. Tout ce que » nous voyons du monde n'est qu'un... | |
| Charles Rollin - 1805 - 796 pages
...qu'un point très-délicat à l'«gard de celui que tes astres qui roui entdansle firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre. Elle se lassera pi u tôt de concevoir , que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait... | |
| Jean François Michel Noël - 1808 - 624 pages
...très délicat , à l'égard de celui que les astres qui i. 18 roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là , que l'imagination passe outre ; elle se lassera plutôt de concevoir , que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait... | |
| Charles Rollin - 1810 - 576 pages
...point très délicat à l'égard do celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là , que l'imagination passe outre. Elle se lassera plutôt de concevoir, que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait... | |
| Blaise Pascal - 1812 - 706 pages
...point très délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre. Elle se lassera plutôt de concevoir, que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait... | |
| Blaise Pascal - 1814 - 448 pages
...phrase : « et connaissant quelle proportion il ya » qu'il a interrompu pour barrer tout le paragraphe. si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre : elle se lassera plutôt de concevoir ' que la nature de fournir. Tout ce monde visible 2 n'est qu'un trait imperceptible... | |
| Pierre Gourju - 1816 - 470 pages
...point très délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là , que l'imagination passe outre. Elle se lassera plutôt de concevoir, que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait... | |
| Charles Rollin - 1819 - 572 pages
...point très- délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre. Elle se lassera plutôt de concevoir , que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait... | |
| Charles Rollin - 1819 - 742 pages
...point très -délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là , que l'imagination passe outre. Elle se lassera plutôt de concevoir que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible... | |
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