Abhandlungen der Königlichen Akademie der Wissenschaften zu Berlin |
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Expressions et termes fréquents
ainſi allemand anciens aſſez aura auſſi avoient avoit baſe c'eſt calcul caractère Carex changé choſe commune connues continue corps côté cours d'autres degré dernière Dieu différentes dire doit donne doute également équations espèce eſt état étoient étoit Euler exemple fans fera fils fond font force forme formule forte fraction général génie genre grec hommes idées j'ai jour l'Académie l'équation l'hiſtoire l'homme l'un langue latin lettres lieu manière Marche matière Mém mémoire ment méthode mots moyen n'eſt n'ont nations nature naturelle nombre nouvelles objets parler particulier pays penſée petite peuple peut-être pile place pluſieurs porte première prince probabilité propre qu'une qualités raiſon rapport reſte rien Romains Rome ſans ſe trouve ſens ſera ſes ſiècle ſoit ſon ſont ſous ſouvent ſuite ſur terme tire traits trouve valeur vérité vrai
Fréquemment cités
Page 8 - Le prix qui confifte en une Médaille d'or du poids de cinquante ducats , fera donné à celui qui , au jugement de l'Académie , aura le mieux réuflî.
Page 138 - ... & de leur gé,,nie leur a procurée non feulement dans les affaires de l'Empire, mais ,,encore dans celles de l'Europe en général, & particulièrement dans cel,,les de la...
Page 139 - L'Académie fouliaitoit que cette vérité fût développée dans ,,un tableau général, où fans entrer dans un détail minucieux de la vie ,,de ces princes, on ne mît en ufage que les circonftances, les faits & ,,les anecdotes les plus propres à les...
Page 179 - C'eft donc calomnier fa mémoire que de dire, comme Voltaire, ,,que la réputation de Charlemagne eft ,,une des plus grandes preuves que les fuccès juftifient l'injufUce & don,,nent la gloire.".
Page 121 - Ces fables anciennes (f) font abfùrdes, dira-t-on, & j'en conviens ; mais accoutumés à trouver dans ces fables, des vérités cachées, & des faits qu'on n'a pu mieux connoître, nous devons être fobres à porter ce jugement trop facile à la vanité , & trop naturel à l'ignorance; nous aimons mieux croire que quelques particularités...
Page 115 - ... l'abbé le Beuf, dit-il, nous apprend à cette occafion une anecdote fingulière; on ne s'amufa pas à ,,tirer des boulets contre la place, mais il y avoit i ix pièces de canon «lancées dans un jour"*).
Page 134 - I. chap. 46.) ,,Je fais bon gré, dn-;7, ,,à Jaques Amyot, d'avoir laifle dans le cours d'une oraifon françoife ,,les noms latins tout entiers, fans les bigarrer & changer pour leur don,,ner une cadence françoife. Cela fembloit un peu rude au commence,,ment, mais déjà l'ufage par le crédit de fon Plutarque nous en a ôté ,,toute l'étrangeté.
Page 184 - Wittekind fût le feul d'entr'eux qui ne s'y trouvât pas; ,,à l'arrivée de Charles il s'étoit retiré in partibus Normaniae^ ce qui »peut s'entendre de la Saxe au nord de l'Elbe, appelée Nordalbingie.
Page 44 - L'éclat dont cette ville a brillé pendant près de deux fiècles, paroît faire une grande exception aux obfervations que nous avons faites fur l'avantage des pays finies fur le penchant des montagnes ou fur des collines. Mais, voici en peu de mots des faits qui viennent à l'appui de ce que nous avons avancé fut ce fujet.
Page 43 - Parmi ces médecinsBolonois du moyen âge il en fut un qui unit l'étude & la pratique de la médecine à celle de l'agriculture. Pierre Crescenzi de Bologne, après les anciens Romains, fut le premier qui donna un ouvrage confidérable dans cet art, aufli néceflaire que la médecine, & même bien davantage.