Dictionnaire portatif des poètes franc̜ais morts depuis 1050 jusqu'à 1804: précédé d'une histoire abrégée de la poésie franc̜aiseCapelle et Renand, 1805 - 464 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 73
Page ix
... cour de tel ou tel seigneur , et qu'ils existaient dans le douzième ou le trei- zième siècle . Au reste , les personnes qui trouve- raient notre Dictionnaire défectueux à cet égard , comme il l'est sans doute sur beaucoup d'autres ...
... cour de tel ou tel seigneur , et qu'ils existaient dans le douzième ou le trei- zième siècle . Au reste , les personnes qui trouve- raient notre Dictionnaire défectueux à cet égard , comme il l'est sans doute sur beaucoup d'autres ...
Page 28
... une fatalité qui tient aux mœurs du tems , la cour de Rome et les prêtres furent plus souvent l'objet de leurs épigrammes que les seigneurs déloyaux ou tyrans ? C'est que ceux - ci les payaient , et que le clergé 28 HISTOIRE ABRÉGÉE.
... une fatalité qui tient aux mœurs du tems , la cour de Rome et les prêtres furent plus souvent l'objet de leurs épigrammes que les seigneurs déloyaux ou tyrans ? C'est que ceux - ci les payaient , et que le clergé 28 HISTOIRE ABRÉGÉE.
Page 31
... sous Philippe - Auguste , cet Hely- nand , d'abord homme de cour , puis moine de Citeaux , duquel il ne nous reste d'important que son poème sur la Mort : Tel fut encore , sous Saint - Louis , ce DE LA POÉSIE FRANÇAISE . 31.
... sous Philippe - Auguste , cet Hely- nand , d'abord homme de cour , puis moine de Citeaux , duquel il ne nous reste d'important que son poème sur la Mort : Tel fut encore , sous Saint - Louis , ce DE LA POÉSIE FRANÇAISE . 31.
Page 36
... cour d'amour , et la Picardie , sa rivale , les gieux et plaids sous l'ormel . Tout s'y passait avec l'apparence et ... cours jouirent de la plus grande célébrité furent le douzième et le trei- zième siècles . Mais de tous les rois qui ...
... cour d'amour , et la Picardie , sa rivale , les gieux et plaids sous l'ormel . Tout s'y passait avec l'apparence et ... cours jouirent de la plus grande célébrité furent le douzième et le trei- zième siècles . Mais de tous les rois qui ...
Page 37
... cour de Rome , comme autrefois , en était presque toujours l'objet . Les contes et les fabliaux se multipliaient aussi chaque jour ; on eut même quelques grands poèmes , mais ils furent en petit nom- bre , jusqu'à ce qu'on vit paraître ...
... cour de Rome , comme autrefois , en était presque toujours l'objet . Les contes et les fabliaux se multipliaient aussi chaque jour ; on eut même quelques grands poèmes , mais ils furent en petit nom- bre , jusqu'à ce qu'on vit paraître ...
Autres éditions - Tout afficher
Dictionnaire portatif des poètes franc̜ais morts depuis 1050 jusqu'à 1804 ... Louis Philipon de la Madelaine Affichage du livre entier - 1805 |
Dictionnaire portatif des poètes franc̜ais morts depuis 1050 jusqu'à 1804 ... Louis Philipon de la Madelaine Affichage du livre entier - 1805 |
Dictionnaire portatif des poètes franc̜ais morts depuis 1050 jusqu'à 1804 ... Louis Philipon de la Madelaine Affichage du livre entier - 1805 |
Expressions et termes fréquents
abbé âgé aimable aime Almanachs des Muses amour assez auteur avocat beauté beaux belle Boileau Caen çaise célèbre chansons chants Charles Charles IX charmes cœur comédies comte contes Corneille couplets dame desirer écrits épigrammes Epitre épîtres esprit fables faibles femme fit imprimer fleurs Fontaine Fontenelle François Ier genre gens goût Harpe Henri Henri IV heureux homme intitulé JEAN jésuite Jeux Floraux jolies jour L'abbé MASSIEU l'Académie fran l'Académie française l'ami l'Amour l'auteur l'esprit laissé Landine latins long-tems Louis Louis XIV Lyon madame mademoiselle madrigaux Malherbe Marot médiocres mérite mieux Molière mort mourut Muses naquit odes ouvrages parlement Parnasse patrie père pièces de théâtre PIERRE plaisir poème poésie poésie française poète poétiques prose provençal Provence quatrains Racine recueil rien rimes rimeur roman Ronsard Rouen satires seul siècle sonnets souvent stances style succès syllabes talent tems teur tion titre Toulouse tragédies Troubadours trouve versification vivait Voltaire
Fréquemment cités
Page 47 - Villon sut le premier, dans ces siècles grossiers, Débrouiller l'art confus de nos vieux romanciers.
Page 374 - Ronsard, qui le suivit, par une autre méthode, Réglant tout, brouilla tout, fit un art à sa mode, Et toutefois longtemps eut un heureux destin. Mais sa muse, en français parlant grec et latin, Vit dans l'âge suivant, par un retour grotesque, Tomber de ses grands mots le faste pédantesque.
Page 63 - La troupe de leurs nourrissons ; Tous leurs vœux seront de te plaire ; Et si ta faveur tutélaire Fait signe de les avouer, Jamais ne partit de leurs veilles Rien qui se compare aux merveilles Qu'elles feront pour te louer.
Page 342 - L'astre éclatant de l'univers. Cris impuissants ! fureurs bizarres ! Tandis que ces monstres barbares Poussaient d'insolentes clameurs, Le dieu, poursuivant sa carrière, Versait des torrents de lumière Sur ses obscurs blasphémateurs.
Page 61 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir, Et réduisit la muse aux règles du devoir.
Page 282 - Las d'espérer et de me plaindre Des muses, des grands, et du sort, C'est ici que j'attends la mort, Sans la désirer ni la craindre.
Page 20 - Qu'on parle mal ou bien du fameux Cardinal, Ma prose ni mes vers n'en diront jamais rien : II m'a fait trop de bien pour en dire du mal, II m'a fait trop de mal pour en dire du bien.
Page 401 - Pour mériter un cachet si joli, Si bien gravé, si brillant, si poli, II faudrait avoir, ce me semble, Quelque joli secret ensemble ; Car enfin les jolis cachets Demandent de jolis secrets, Ou du moins de jolis billets ; Mais comme je...
Page 61 - L'art de faire des vers, dût-on s'en indigner, Doit être à plus haut prix que celui de régner.
Page 265 - L'Aurore déployait l'or de sa tresse blonde Et semait de rubis le chemin du Soleil; Enfin ce dieu venait au plus grand appareil Qu'il soit jamais venu pour éclairer le monde : Quand la jeune Philis au visage riant, Sortant de son palais plus clair que l'Orient, Fit voir une lumière et plus vive et plus belle. Sacré flambeau du jour n'en soyez point jaloux; Vous parûtes alors aussi peu devant elle Que les feux de la nuit avaient fait devant vous.