Cours de code pénal: explication théorique et pratique des dispositions préliminaires et des deux premiers livres du Code pénal |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 58
Page viii
... d ' expliquer leur origine historique ou leur fondement rationnel ; ils ont bien
autre chose à faire , vraiment ! tant de controverses sérieuses , tant de difficultés
véritables , tant de problèmes ardus , tant de détails compliqués sont à éclaircir !
... d ' expliquer leur origine historique ou leur fondement rationnel ; ils ont bien
autre chose à faire , vraiment ! tant de controverses sérieuses , tant de difficultés
véritables , tant de problèmes ardus , tant de détails compliqués sont à éclaircir !
Page 13
explication théorique et pratique des dispositions préliminaires et des deux
premiers livres du Code pénal Alfred Bertauld. condition de justice et de raison ,
la règle ? A titre de force ? Mais est - ce que la force et le Droit sont la même
chose ?
explication théorique et pratique des dispositions préliminaires et des deux
premiers livres du Code pénal Alfred Bertauld. condition de justice et de raison ,
la règle ? A titre de force ? Mais est - ce que la force et le Droit sont la même
chose ?
Page 15
... la négation de la loi morale , de la loi morale qui n ' est pas la même chose que
le Droit , mais qui contient le Droit et le domine ; elles sont la meilleure
justification du despotisme , despotisme de la multitude ou despotisme plus
concentré .
... la négation de la loi morale , de la loi morale qui n ' est pas la même chose que
le Droit , mais qui contient le Droit et le domine ; elles sont la meilleure
justification du despotisme , despotisme de la multitude ou despotisme plus
concentré .
Page 19
... est incontestable : les auteurs qui ont discuté sur l ' origine et le caractère du
Droit naturel , ne se sont point , le plus souvent , entendus sur la chose , ou au
moins sur les limites de la chose , dont la définition était l ' objet de leurs débats .
... est incontestable : les auteurs qui ont discuté sur l ' origine et le caractère du
Droit naturel , ne se sont point , le plus souvent , entendus sur la chose , ou au
moins sur les limites de la chose , dont la définition était l ' objet de leurs débats .
Page 23
Il faut dire la même chose de l ' oubli de nos devoirs envers Dieu et envers nous -
mêmes , cet oubli ne saurait être considéré comme la violation d ' un droit
appartenant à un de nos semblables , c ' est - à - dire comme une atteinte à un ...
Il faut dire la même chose de l ' oubli de nos devoirs envers Dieu et envers nous -
mêmes , cet oubli ne saurait être considéré comme la violation d ' un droit
appartenant à un de nos semblables , c ' est - à - dire comme une atteinte à un ...
Avis des internautes - Rédiger un commentaire
Aucun commentaire n'a été trouvé aux emplacements habituels.
Autres éditions - Tout afficher
Cours de code pénal: explication théorique et pratique des dispositions ... Alfred Bertauld Affichage du livre entier - 1854 |
Cours de code pénal: explication théorique et pratique des dispositions ... Alfred Bertauld Affichage du livre entier - 1854 |
Cours de code pénal: explication théorique et pratique des dispositions ... Alfred Bertauld Affichage du livre entier - 1854 |
Expressions et termes fréquents
accessoire actes aggravation ancienne applicable appliquée arrêt attachée atténuantes aurait auteurs avant avril c'est-à-dire caractère cause chose circonstances Code pénal commencement commun complice complicité condamné condition conséquence considéré contrat social correctionnelle Cour crime criminelle déclaration délit déportation détention déterminer devait dire disposition doit donne doute durée effet est-elle excuse faculté fond général idées infractions jour juge juridiction justice l'agent l'application l'art l'étranger l'exécution l'homme l'idée l'infraction l'intérêt LEÇON législation légitimité liberté lieu limites loi pénale lois matière maximum ment mesure morale mort civile moyen n'était nature nouvelle parler peine peine de mort pendant pensée période police portée pourrait pouvait pouvoir première prescription principal principe prononcée public publique punir punissable qu'une question raison rapport récidive règle résultant s'est s'il sanction seconde semble sens serait seulement siècle simple social société solution souveraineté spéciale subir suivant suppose surveillance système tentative théorie tion titre travaux forcés vengeance véritable volonté
Fréquemment cités
Page 107 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 98 - Il est expédient à l'État que tu meures», il doit mourir, puisque ce n'est qu'à cette condition qu'il a vécu en sûreté jusqu'alors, et que sa vie n'est plus seulement un bienfait de la nature, mais un don conditionnel de l'État.
Page 399 - Les peines prononcées par la loi contre celui ou ceux des accusés reconnus coupables, en faveur de qui le jury aura déclaré les circonstances atténuantes, seront modifiées ainsi qu'il suit : « Si la peine prononcée par la loi est la mort, la cour appliquera la peine des travaux forcés à perpétuité ou celle des travaux forcés à temps...
Page 388 - S'il s'agit d'un crime emportant la peine de mort, ou celle des travaux forcés à perpétuité, ou celle dt la déportation, la peine sera réduite à un emprisonnement d'un an à cinq ans ; S'il s'agit de tout autre crime, elle sera réduite à un emprisonnement de six mois à deux ans. Dans ces deux premiers cas, les coupables...
Page 342 - II n'ya ni crime ni délit, lorsque le prévenu était en état de démence au temps de l'action , ou lorsqu'il a été contraint par une force à laquelle il n'a pu résister.
Page 388 - Lorsque les faits punis par l'article précédent auront été commis par suite d'un plan concerté, les coupables pourront être mis, par l'arrêt ou le jugement, sous la surveillance de la haute police pendant deux ans au moins et cinq ans au plus.
Page 501 - Où tout le monde veut faire ce qu'il veut , nul ne fait ce qu'il veut; où il n'ya point de maître, tout le monde est maître ; où tout le monde est maître , tout le monde est esclave.
Page 98 - Qui veut la fin veut aussi les moyens, et ces moyens sont inséparables de quelques risques ; même de quelques pertes. Qui veut conserver sa vie aux dépens des autres doit la donner aussi pour eux quand il faut. Or le citoyen n'est plus juge du péril auquel la loi veut qu'il s'expose; et quand le prince lui a dit, II est expédient à l'état que tu meures...
Page 107 - Les délits et les crimes étant personnels, le supplice du coupable et les condamnations infamantes quelconques n'impriment aucune flétrissure à sa famille. L'honneur de ceux qui lui appartiennent n'est nullement entaché, et tous continueront d'être admissibles à toutes sortes de professions, d'emplois et de dignités.
Page 89 - Quelle est l'origine de l'opinion qui étend sur tous les individus d'une même famille une partie de la honte attachée aux peines infamantes que subit un coupable? Cette opinion est-elle plus nuisible qu'utile? Et dans le cas où l'on se déciderait pour l'affirmative, quels seraient les moyens de parer aux inconvénients qui en résultent?