Cours de code pénal: explication théorique et pratique des dispositions préliminaires et des deux premiers livres du Code pénal |
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Page 89
Mais l ' auteur était mort en 1554 . ( 1 ) Un recueil de Droit canon , approuvé par
une bulle de Grégoire XIII , du 1er juillet 1580 , le recueil que l ' Eglise tient pour
officiel , fut publié en 1582 . 2° La Pratique judiciaire tant civile que criminelle ...
Mais l ' auteur était mort en 1554 . ( 1 ) Un recueil de Droit canon , approuvé par
une bulle de Grégoire XIII , du 1er juillet 1580 , le recueil que l ' Eglise tient pour
officiel , fut publié en 1582 . 2° La Pratique judiciaire tant civile que criminelle ...
Page 258
PEINES ACCESSOIRES EN MATIÈRE CRIMINELLE . - Définition . - Mort civile ,
Dégradation civique . - Interdiction légale . - Renvoi sous la surveillance de la
haute police . - - Historique de la mort civile . — La mort civile existait - elle dans
le ...
PEINES ACCESSOIRES EN MATIÈRE CRIMINELLE . - Définition . - Mort civile ,
Dégradation civique . - Interdiction légale . - Renvoi sous la surveillance de la
haute police . - - Historique de la mort civile . — La mort civile existait - elle dans
le ...
Page 260
Les peines accessoires , en matière criminelle , sont au nombre de quatre : la
mort civile , la dégradation civique , l ' interdiction légale et le renvoi sous la
surveillance de la haute police : 1° La mort civile est un legs du Droit romain .
Les peines accessoires , en matière criminelle , sont au nombre de quatre : la
mort civile , la dégradation civique , l ' interdiction légale et le renvoi sous la
surveillance de la haute police : 1° La mort civile est un legs du Droit romain .
Page 261
La Cour de cassation , le 2 avril 1844 ( 1 ) a jugé que la condamnation à la mort
naturelle entraînait la mort civile . Le Code de 1791 et le Code de l ' an IV ne
prononçaient pas d ' autres peines perpétuelles que la mort . La question semble
...
La Cour de cassation , le 2 avril 1844 ( 1 ) a jugé que la condamnation à la mort
naturelle entraînait la mort civile . Le Code de 1791 et le Code de l ' an IV ne
prononçaient pas d ' autres peines perpétuelles que la mort . La question semble
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Page 262
peines temporaires ; donc ils règlent un élat d ' incapacité qui n ' équivaut pas à
la mort civile . L ' art . 482 en est la preuve surabondante , puisqu ' il n ' ouvre la
succession du contumax qu ' au moment de sa mort naturelle , ou que cinquante
...
peines temporaires ; donc ils règlent un élat d ' incapacité qui n ' équivaut pas à
la mort civile . L ' art . 482 en est la preuve surabondante , puisqu ' il n ' ouvre la
succession du contumax qu ' au moment de sa mort naturelle , ou que cinquante
...
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Cours de code pénal: explication théorique et pratique des dispositions ... Alfred Bertauld Affichage du livre entier - 1854 |
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Expressions et termes fréquents
accessoire actes aggravation ancienne applicable appliquée arrêt attachée atténuantes aurait auteurs avant avril c'est-à-dire caractère cause chose circonstances Code pénal commencement commun complice complicité condamné condition conséquence considéré contrat social correctionnelle Cour crime criminelle déclaration délit déportation détention déterminer devait dire disposition doit donne doute durée effet est-elle excuse faculté fond général idées infractions jour juge juridiction justice l'agent l'application l'art l'étranger l'exécution l'homme l'idée l'infraction l'intérêt LEÇON législation légitimité liberté lieu limites loi pénale lois matière maximum ment mesure morale mort civile moyen n'était nature nouvelle parler peine peine de mort pendant pensée période police portée pourrait pouvait pouvoir première prescription principal principe prononcée public publique punir punissable qu'une question raison rapport récidive règle résultant s'est s'il sanction seconde semble sens serait seulement siècle simple social société solution souveraineté spéciale subir suivant suppose surveillance système tentative théorie tion titre travaux forcés vengeance véritable volonté
Fréquemment cités
Page 107 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 98 - Il est expédient à l'État que tu meures», il doit mourir, puisque ce n'est qu'à cette condition qu'il a vécu en sûreté jusqu'alors, et que sa vie n'est plus seulement un bienfait de la nature, mais un don conditionnel de l'État.
Page 399 - Les peines prononcées par la loi contre celui ou ceux des accusés reconnus coupables, en faveur de qui le jury aura déclaré les circonstances atténuantes, seront modifiées ainsi qu'il suit : « Si la peine prononcée par la loi est la mort, la cour appliquera la peine des travaux forcés à perpétuité ou celle des travaux forcés à temps...
Page 388 - S'il s'agit d'un crime emportant la peine de mort, ou celle des travaux forcés à perpétuité, ou celle dt la déportation, la peine sera réduite à un emprisonnement d'un an à cinq ans ; S'il s'agit de tout autre crime, elle sera réduite à un emprisonnement de six mois à deux ans. Dans ces deux premiers cas, les coupables...
Page 342 - II n'ya ni crime ni délit, lorsque le prévenu était en état de démence au temps de l'action , ou lorsqu'il a été contraint par une force à laquelle il n'a pu résister.
Page 388 - Lorsque les faits punis par l'article précédent auront été commis par suite d'un plan concerté, les coupables pourront être mis, par l'arrêt ou le jugement, sous la surveillance de la haute police pendant deux ans au moins et cinq ans au plus.
Page 501 - Où tout le monde veut faire ce qu'il veut , nul ne fait ce qu'il veut; où il n'ya point de maître, tout le monde est maître ; où tout le monde est maître , tout le monde est esclave.
Page 98 - Qui veut la fin veut aussi les moyens, et ces moyens sont inséparables de quelques risques ; même de quelques pertes. Qui veut conserver sa vie aux dépens des autres doit la donner aussi pour eux quand il faut. Or le citoyen n'est plus juge du péril auquel la loi veut qu'il s'expose; et quand le prince lui a dit, II est expédient à l'état que tu meures...
Page 107 - Les délits et les crimes étant personnels, le supplice du coupable et les condamnations infamantes quelconques n'impriment aucune flétrissure à sa famille. L'honneur de ceux qui lui appartiennent n'est nullement entaché, et tous continueront d'être admissibles à toutes sortes de professions, d'emplois et de dignités.
Page 89 - Quelle est l'origine de l'opinion qui étend sur tous les individus d'une même famille une partie de la honte attachée aux peines infamantes que subit un coupable? Cette opinion est-elle plus nuisible qu'utile? Et dans le cas où l'on se déciderait pour l'affirmative, quels seraient les moyens de parer aux inconvénients qui en résultent?