Correspondance avec madame d'Ėpinay--madame Necker--madame Geoffrin, etc.--: Diderot--Grimm--d'Alembert--de Sartine--d'Holbach, etc, Volume 1Calmann Lévy, 1881 - 681 pages |
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Correspondance avec madame d'Épinay, madame Necker, madame ..., Volume 1 Ferdinando Galiani Affichage du livre entier - 1881 |
Expressions et termes fréquents
abbé Terray Adieu affaires Aimez-moi Aliano ambassadeur amis aura avez Badot baron d'Holbach beau belle dame blés bronze Cantillana cause chagrin charmante cher abbé chevalier Zanobi cœur commerce comte crois Croismare d'Ennery diable Dialogues Diderot Dieu dire donner duc de Choiseul ducats économistes écrire écrit écrivait Enfin envoyé esprit éventails Fréron gages Gatti Gênes Gleichen Grimm homme J'ai reçu j'aime j'aurais j'avais j'en jamais l'abbé Galiani l'abbé Morellet l'abbé Terray l'Appendice l'argent l'exportation laissé lettres de Galiani livre m'avez m'écrire m'en MADAME D'ÉPINAY Naples madame Geoffrin madame Necker mademoiselle Mademoiselle Clairon mademoiselle Dumesnil mandé Marmontel marquis Tanucci médailles ment Merlin mieux ministre monde Monsieur Monts-de-Piété n'ai n'en napolitain Nicolaï ouvrage Panurge parler passer payer personne philosophes plaisir poste prince répondre reste rien Rome Russes s'il sais Sartine Sassinoro Schomberg secrétaire semaine sera seul soir Suard Tanucci tête tion trouve Trudaine veux voilà Voltaire voulez Zarillo
Fréquemment cités
Page xxx - L'abbé, dit-il, était, de sa personne, le plus joli petit arlequin qu'eut produit l'Italie, mais sur les épaules de cet arlequin était la tête de Machiavel.
Page xxviii - ... portière; il attend que son moine vienne se placer. Il ne l'avait point vu ce moine ; il vient enfin. Imaginez un colosse en longueur, largeur et profondeur. A peine toute la place de la chaise y suffisait-elle.
Page 519 - On écrivit des choses utiles sur l'agriculture; tout le monde les lut, excepté les laboureurs. On supposa, au sortir de l'Opéra-Comique, que la France avait prodigieusement de blé à vendre. Enfin, le cri de la nation obtint du gouvernement, en 1764, la liberté de l'exportation.
Page 57 - Zanobi1 ne croit ni ne pense un mot de tout ce qu'il dit ; qu'il est le plus grand sceptique et le plus grand académique du monde ; qu'il ne croit rien, en rien, sur rien, de rien.
Page 510 - Ma juste modestie, madame, et ma raison me faisaient croire d'abord que l'idée d'une statue était une bonne plaisanterie; mais, puisque la chose est sérieuse, souffrez que je vous parle sérieusement. J'ai...
Page 135 - J'y serais à merveille au milieu des farines et des filles de Paris. J'aurais tout ce qu'il me faut pour la nourriture et pour la population, et les nouveaux philosophes n'en demanderaient pas davantage. Je la veux colossale pour cacher à la postérité ma taille.
Page xlvii - Je vous fais, mon cher d'Alembert, mes adieux ; je n'ai pas eu le courage de prendre congé de vous; ce sont des moments terribles pour un cœur sensible de se séparer pour toujours de ses amis et des personnes qu'on aime et qu'on estime et honore, et qui ont fait le bonheur de ma vie pendant mon séjour dans ce pays-ci.
Page 42 - ... enfant qui n'est ni contraint ni gêné. Ce sera le premier exemple dans Paris. Imaginez que je suis la seule qui ne lui fait pas peur; elle me sourit, l'abbé, voyez-vous cela?
Page 476 - Un mauvais tableau enfante une bonne brochure ; ainsi vous parlerez mieux des arts que vous ne les cultiverez jamais. Il se trouvera au bout du compte, dans quelques siècles, que vous aurez le mieux raisonné, le mieux discuté ce que toutes les autres nations auront fait de mieux. Chérissez donc l'imprimerie, c'est votre lot dans ce bas monde. Mais vous avez mis un impôt sur le papier. Quelle sottise ! Plaisanterie à part, un impôt sur le papier est la faute en politique la plus forte qui se...
Page 443 - Il avait une si grande habitude à s'aliéner la tête que les objets extérieurs n'existaient pas pour lui. Il se démenait comme un énergumène en parlant sur sa chaise, se renversait, se cognait, donnait des coups de pied à son voisin , lui déchirait ses manchettes sans en rien savoir. Un jour, se trouvant dans un cercle où il y avait plusieurs dames, et parlant avec sa vivacité ordinaire, il défait sa jarretière, tire son bas sur son soulier, se gratte la jambe pendant quelque temps de...