| 1861 - 594 pages
...prononciations avaient cours de son temps : « II est plus doux et plus commun entre les biendisans de prononcer je parlais ; toutefois ce n'est pas une faute de dire je parlais, puis qu'à Paris , dans le barreau et dans les chaires de Prédicateurs , il ya beaucoup de... | |
| 1861 - 602 pages
...prononciations avaient cours de son temps : « II est plus doux et plus commun entre les biendisans de prononcer je parlais ; toutefois ce n'est pas une faute de dire je parlais, puis qu'à Paris , dans le barreau et dans les chaires de Prédicateurs , il ya beaucoup de... | |
| Pierre Corneille - 1868 - 608 pages
...prononciations avaient cours de son temps: «II est plus doux et plus commun entre les bicn-disans de prononcer Je parlais; toutefois ce n'est pas une faute de dire je parlais, puis qu'à Paris, dans le barreau et dans les chaires de prédicateurs, il ya beaucoup de... | |
| Léon Bellanger - 1876 - 368 pages
...plus sonore et plus facile à entendre. « Il est plus doux et plus commun , entre les bien disants , de prononcer : Je parlais ; toutefois , ce n'est pas une faute de dire : Je parlois , puisqu'à Paiis , dans lebarreau et dans les Chaires des Prédicateurs, il ya beaucoup de langues éloquentes... | |
| Victor Delaporte - 1898 - 252 pages
...Chifflet affirmait que la prononciation d'ai gagnait du terrain ; mais que l'autre était bonne : « II est plus doux et plus commun, entre les bien disans,...parlais ; toutefois ce n'est pas une faute de dire : je parlais, puisqu'à Paris, dans le Barreau et dans les Chaires des Prédicateurs, il ya beaucoup de... | |
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