Lycée, Ou Cours de Littérature Ancienne Et Moderne, Volume 11Chez Depelafol, 1825 |
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Lycée, ou, Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 11 Jean-François de La Harpe Affichage du livre entier - 1813 |
Lycée, Ou Cours De Littérature Ancienne Et Moderne, Volume 11 Jean-François de La Harpe Affichage du livre entier - 1800 |
Lycée: ou Cours de littérature ancienne et moderne Jean-François de la Harpe Affichage du livre entier - 1818 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 567 - Parce que vous êtes un grand seigneur, vous vous croyez un grand génie!... Noblesse, fortune, un rang, des places, tout cela rend si fier! Qu'avez-vous fait pour tant de biens? Vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus.
Page 61 - États conquis enchaînait les images, Le Bosphore m'a vu , par de nouveaux apprêts , Ramener la terreur du fond de ses marais, Et chassant les Romains de l'Asie étonnée, Renverser en un jour l'ouvrage d'une année. D'autres temps, d'autres soins. L'Orient accablé Ne peut plus soutenir leur effort redoublé.
Page 579 - Comment cela m'est-il arrivé? Pourquoi ces choses et non pas d'autres? Qui les a fixées sur ma tête ? Forcé de parcourir la route où je suis entré sans le savoir, comme j'en sortirai sans le vouloir, je l'ai jonchée d'autant de fleurs que ma gaieté me l'a permis ; encore je dis ma gaieté, sans savoir si elle est à.
Page 36 - Suis-moi ! m'at-elle dit, infortuné Thyeste. » Le spectre, à la lueur d'un triste et noir flambeau, A ces mots, m'a traîné jusque sur son tombeau. J'ai frémi d'y trouver le redoutable Atrée, Le geste menaçant et la vue égarée, Plus terrible pour moi, dans ces cruels moments, Que le tombeau, le spectre et ses gémissements. J'ai cru voir le barbare entouré de Furies ; Un glaive encor fumant...
Page 17 - D'où naissent à la fois des troubles si puissants ? Quelle soudaine horreur s'empare de mes sens ! Toi qui poursuis le crime avec un soin extrême, Ciel , rends vrais mes soupçons , et que ce soit lui-même ! Je ne me trompe point, j'ai reconnu sa voix; Voilà ses traits encore.
Page 69 - Juste ciel! se peut-il que des nœuds légitimes Avec tant de vertus unissent tant de crimes ! Que l'hymen associe au sort d'un furieux Ce que de plus parfait firent naître les dieux! Quoi! tu peux me revoir sans que la mort d'un...
Page 180 - D'un œil compatissant regardez l'un et l'autre ; N'y voyez pas mon sang, n'y voyez que le vôtre. Pourriez-vous refuser à leurs pleurs, à leurs cris, La grâce d'un héros, leur père et votre fils? Puisque la loi trahie exige une victime , Mon sang est prêt, seigneur, pour expier mon crime. Épuisez sur moi seule un sévère courroux ; Mais cachez quelque temps mon sort à mon époux.
Page 317 - On reçoit et l'on rend ; on est à peu près quitte : Parlez-vous des propos? comme il n'est ni mérite, Ni goût, ni jugement qui ne soit contredit, Que rien n'est vrai sur rien, qu'importé ce qu'on dit?
Page 66 - D'ailleurs, pour l'enlever, ne me suffit-il pas Que mon père cruel brûle pour ses appas? C'est un garant pour moi : je veux ici l'attendre. Daigne observer des lieux où l'on peut nous surprendre.
Page 578 - ... Plus on battait des mains, plus j'étais stupéfait et rêveur. Enfin, je conclus à part moi que ce n'était pas l'auteur qui avait tort; qu'à la vérité le morceau, là où il était placé, était une absurdité incompréhensible, mais que la tolérance d'un gouvernement qui se laissait avilir à ce point sur la scène l'était encore bien plus, et qu'après tout Beaumarchais avait raison de parler ainsi sur le théâtre, n'importe à quel propos, puisqu'on trouvait à propos de le laisser...