Œuvres de Molière, Volume 2H. Nicolle, 1812 |
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Page 13
... vois à vaincre un obstacle plus fort . D. GARCIE . Oui , madame , j'entends ce que vous voulez dire . Je sais bien que pour vous mon cœur en vain soupire ; Et l'obstacle puissant qui s'oppose à mes feux , Sans que vous le nommiez , n ...
... vois à vaincre un obstacle plus fort . D. GARCIE . Oui , madame , j'entends ce que vous voulez dire . Je sais bien que pour vous mon cœur en vain soupire ; Et l'obstacle puissant qui s'oppose à mes feux , Sans que vous le nommiez , n ...
Page 16
... vois heureux plus que je ne mérite . C'en est fait , je renonce à mes soupçons jaloux ; L'arrêt qui les condamne est un arrêt bien doux , Et je reçois la loi qu'il daigne me prescrire Pour affranchir mon coeur de leur injuste empire ...
... vois heureux plus que je ne mérite . C'en est fait , je renonce à mes soupçons jaloux ; L'arrêt qui les condamne est un arrêt bien doux , Et je reçois la loi qu'il daigne me prescrire Pour affranchir mon coeur de leur injuste empire ...
Page 17
... Vois - je pas que déjà cet écrit l'inquiète ? Prodigieux effet de son tempérament ! ( haut . ) Qui vous arrête , prince , au milieu du serment ? D. GARCIE . J'ai cru que vous aviez quelque secret ensemble , Et je ne voulois pas l ...
... Vois - je pas que déjà cet écrit l'inquiète ? Prodigieux effet de son tempérament ! ( haut . ) Qui vous arrête , prince , au milieu du serment ? D. GARCIE . J'ai cru que vous aviez quelque secret ensemble , Et je ne voulois pas l ...
Page 18
... vois votre pensée , et de quoi l'on m'accuse . Si ... DONE ELVIRE . Lisez - le , vous dis - je , et satisfaites - vous . D. GARCIE . Pour me traiter après de foible , de jaloux ? Non , non je dois ici vous rendre un témoignage Qu'à mon ...
... vois votre pensée , et de quoi l'on m'accuse . Si ... DONE ELVIRE . Lisez - le , vous dis - je , et satisfaites - vous . D. GARCIE . Pour me traiter après de foible , de jaloux ? Non , non je dois ici vous rendre un témoignage Qu'à mon ...
Page 23
... 'une nouvelle , Donner à son repos une atteinte mortelle , C'est lors que plus il m'aime , et je vois sa raison D'une audience avide avaler ce poison , Et m'en remercier comme d'une victoire Qui combleroit ses jours ACTE II , SCÈNE I. 23.
... 'une nouvelle , Donner à son repos une atteinte mortelle , C'est lors que plus il m'aime , et je vois sa raison D'une audience avide avaler ce poison , Et m'en remercier comme d'une victoire Qui combleroit ses jours ACTE II , SCÈNE I. 23.
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Expressions et termes fréquents
ACTE AGNÈS ALAIN ALCIPPE amant âme amour ARISTE ARNOLPHE assez auroit avez avoit belle BRÉCOURT chose CHRYSALDE ciel CLIMÈNE cœur comédie comique connoître courroux crois croyant seul d'Arnolphe dame dessein Dieu dire discours doit don Alvar don Garcie don Sylve DONE ELVIRE DORANTE éclater ÉLISE ELVIRE enfin ÉRASTE ERGASTE êtes étoit fâcheux feux FILINTE frère galant GALOPIN gens GEORGETTE GRANGE homme HORACE IGNÈS ISABELLE j'ai j'aurois j'avois j'en jaloux jamais L'ÉCOLE DES FEMMES L'ÉCOLE DES MARIS L'IMPROMPTU DE VERSAILLES Léonor Lope m'en madame MADEMOISELLE BÉJART MADEMOISELLE DE BRIE MADEMOISELLE DU PARC MADEMOISELLE MOLIÈRE MARQUIS monde monsieur Lysidas MONTAGNE NOTAIRE ORANTE ORONTE ORPHISE Parbleu parler paroître pense personne pièce plaisir poëte pourroit prendre prince promptement puisse raison ridicule rien sais SCENE VII secret seigneur sentiments seroit SGANARELLE soins sort souffrir théâtre théâtre du Palais-Royal THORILLIÈRE trouve URANIE VALÈRE veux vœux voilà vois voudrois voulez-vous vrai yeux
Fréquemment cités
Page 271 - Je sais un paysan qu'on appelait Gros-Pierre, Qui, n'ayant pour tout bien qu'un seul quartier de terre, Y fit tout à l'entour faire un fossé bourbeux, Et de monsieur de L'Isle en prit le nom pompeux.
Page 307 - L'une en tout est soumise à l'autre qui gouverne; Et ce que le soldat, dans son devoir instruit, Montre d'obéissance au chef qui le conduit, Le valet à son maître, un enfant à son père, A son supérieur le moindre petit frère, N'approche point encor de la docilité, Et de l'obéissance, et de l'humilité, Et du profond respect où la femme doit être '° Pour son mari , son chef, son seigneur, et son maître.
Page 421 - ... les gens de votre siècle. En un mot dans les pièces sérieuses, il suffit, pour n'être point blâmé, de dire des choses qui soient de bon sens, et bien écrites. Mais ce n'est pas assez dans les autres, il y faut plaisanter; et c'est une étrange entreprise que celle de faire rire les honnêtes gens.
Page 420 - Lorsque vous peignez des héros, vous faites ce que vous voulez. Ce sont des portraits à plaisir, où l'on ne cherche point de ressemblance; et vous n'avez qu'à suivre les traits d'une imagination qui se donne l'essor et qui souvent laisse le vrai pour attraper le merveilleux. Mais lorsque vous peignez les hommes (hier wird der alte Gedanke sichtbar!), il faut peindre d'après nature.
Page 445 - N'oubliez rien de l'air ni des habits; Arborez un chapeau chargé de trente plumes Sur une perruque de prix; Que le rabat soit des plus grands volumes, Et le pourpoint des plus petits.
Page 424 - Je voudrais bien savoir si la grande règle de toutes les règles n'est pas de plaire, et si une pièce de théâtre qui a attrapé son but n'a pas suivi un bon chemin.
Page 103 - Toujours au plus grand nombre on doit s'accommoder, Et jamais il ne faut se faire regarder. L'un et l'autre excès choque , et tout homme bien sage Doit faire des habits ainsi que du langage , N'y rien trop affecter, et, sans empressement, Suivre ce que l'usage y fait de changement.
Page 424 - Vous êtes de plaisantes gens avec vos règles, dont vous embarrassez les ignorants et nous étourdissez tous les jours. Il semble, à vous ouïr parler, que ces règles de l'art soient les plus grands mystères du monde ; et cependant ce ne sont que quelques...
Page 325 - Quoi? j'aurai dirigé son éducation Avec tant de tendresse et de précaution, Je l'aurai fait passer chez moi dès son enfance, Et j'en aurai chéri la plus tendre espérance, MOn cœur aura bâti sur ses attraits naissans Et cru la mitonner pour moi durant treize ans, Afin qu'un jeune fou dont elle s'amourache Me la vienne enlever jusque sur la moustache...
Page 102 - M'obliger à porter de ces petits chapeaux Qui laissent éventer leurs débiles cerveaux, Et de ces blonds cheveux de qui la vaste enflure Des visages humains offusque la figure...