Recueil de lettres choisies, pour servir de suite aux lettres de madame de Sévigné à madame de Grignan, Volume 1Par la compagnie des libraires, 1774 |
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Recueil de lettres choisies, pour servir de suite aux lettres de ..., Volume 8 Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné Affichage du livre entier - 1774 |
Recueil de lettres choisies, pour servir de suite aux lettres de ..., Volume 2 Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné Affichage du livre entier - 1774 |
Recueil de lettres choisies, pour servir de suite aux lettres de ..., Volume 3 Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné Affichage du livre entier - 1774 |
Expressions et termes fréquents
abbé Adieu affez affure aife aime ainfi amitié auffi avez avoit beau befoin belle c'eft c'eſt c'étoit caufe Charles-Maurice le Tellier chere enfant chofe Coadjuteur cœur complimens comte conferver confolation Coulanges crois d'Hacqueville Dieu dimanche dire efprit eft vrai embraffe eſt êtes étoit faifoit fans fanté favez favoir Fayette femble fens fenti fentimens fera feroit fervir feule fille foin foir foit fommes fonge font fouffrir fouhaite fouper fouvenir fuis fujet Gourville groffe j'ai j'avois j'en fuis j'étois joie jolie jufte l'abbé l'autre jour l'efprit là-deffus laiffe Lavardin lettre m'en Madame de Chaulnes Madame de Coulanges Madame de Grignan Madame de Sévigné Mademoiſelle mande maniere Marſeille ment mercredi mille Monfieur Mouffe n'ai n'eft n'eſt paffer parler penfe penſée perfonne perfuadée petite plaifir plufieurs Pomenars préfentement Provence puiffe raifon refte réponſe rien Rochers s'eft tems tendreffe trifte trouve Vatel vendredi veux Vitré voilà vois voudrois دو
Fréquemment cités
Page 18 - Hé bien! il faut donc vous la dire: M. de Lauzun épouse dimanche au Louvre, devinez qui? Je vous le donne en quatre, je vous le donne en dix, je vous le donne en cent.
Page 18 - Vous n'y êtes pas. Il faut donc à la fin vous le dire: il épouse, dimanche au Louvre, avec la permission du roi, mademoiselle, mademoiselle de .... mademoiselle: devinez le nom; il épouse Mademoiselle, ma foi!
Page 164 - Point du tout, dit M. le Prince ; ne vous fâchez point : tout va bien.» Minuit vint, le feu d'artifice ne réussit pas, il fut couvert d'un nuage ; il coûtait seize mille francs. A quatre heures du matin, Vatel s'en va partout, il trouve tout endormi, il rencontre un petit pourvoyeur qui lui apportait seulement deux charges de marée ; il lui demande : «Est-ce là tout ? — Oui, monsieur.
Page 165 - ... mortels; il tombe mort. La marée cependant arrive de tous côtés : on cherche Vatel pour la distribuer , on va à sa chambre, on heurte, on enfonce la porte, on le trouve noyé dans son sang; on court à M.
Page 68 - ... moi. Il n'ya lieu dans cette maison qui ne me blesse le cœur; toute votre chambre me tue; j'y ai fait mettre un paravent tout au milieu, pour rompre un peu la vue...
Page 164 - Je suis perdu d'honneur ; voici un affront que je ne supporterai pas.» Il dit à Gourville* : «La tête me tourne, il ya douze nuits que je n'ai dormi ; aidez-moi à donner des ordres.
Page 33 - ... des injures, ou que vous êtes malade, ou qu'il vous est arrivé quelque accident, et c'est tout le contraire ; vous m'aimez, ma chère enfant, et vous me le dites d'une manière que je ne puis soutenir...
Page 18 - Rohan et madame d'Hauterive ; une chose enfin qui se fera dimanche, où ceux qui la verront croiront avoir la berlue ; une chose qui se fera dimanche, et qui ne sera peut-être pas faite lundi. Je ne puis me résoudre à la dire, devinez-la, je vous le donne en trois ; jetez-vous votre langue aux chiens ? Hé bien ! il faut donc vous la dire : M.
Page 345 - Molinistes , et tout le monde enfin : ce qui s'appelle chercher dans le fond du cœur avec une lanterne , c'est ce qu'il fait ; il nous découvre ce que nous sentons tous les jours , et que nous n'avons pas l'esprit de démêler , ou la sincérité d'avouer ; en un mot , je n'ai jamais vu écrire comme ces Messieurs-là.
Page 247 - ... J'écrivis l'autre jour à mon fils une lettre de ce style, qui était fort plaisante. Je trouve donc que celui de La Calprenède est détestable, et cependant je ne laisse pas de m'y prendre comme à de la glu : la beauté des sentiments, la violence des passions, la grandeur des événements et le succès miraculeux de leurs redoutables épées, tout cela m'entraîne comme une petite fille : j'entre dans leurs desseins ; et si je n'avais M.