| Nicolas Boileau-Despréaux - 1800 - 354 pages
...sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'ent rayé du nombre des humains, On reconnnt le prix de sa muse éclipsée. L'aimable Comédie, avec lui terrassée, En vain d'un coup si rode espéra reveuir, Et sur ses brodequias ne pnt plus se tenir. Tel fnt chez nous le fort du theâtre... | |
| François Moysant - 1803 - 438 pages
...parterre. Mais sitôt que d'un trait de ses fatales mains, La parque l'eût rayé du nombre des humains, On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable...revenir, Et sur ses brodequins ne put plus se tenir. Tel fut chez lions le sort du théâtre comique. Toi donc, qui l'élevant sur la scène tragique, Suis... | |
| Quintin Craufurd - 1803 - 556 pages
...parterre. Mais sitôt que, d'un trait de ses fatales mains, La Parque l'eût rayé du nombre des humains, On reconnut le prix de sa muse éclipsée ; L'aimable...coup si rude espéra revenir, Et sur ses brodequins n'osa plus se tenir. Le célèbre Arnauld, dans une lettre à Perrault , dit : « Les guerres entre... | |
| Jean-François de La Harpe - 1804 - 450 pages
...parterre. Mais sitôt que d'un trait de ses futaies mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable...revenir , Et sur ses brodequins ne put plus se tenir. L'époque de cette épître fait autant d'honneur à Boileau , que l'épître même : elle fut adressée... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1805 - 558 pages
...Mais si-tôt que , d'un trait de ses fatales mains , La Parque l'eut taye du nombre de» humains , On reconnut le prix de sa Muse éclipsée. L'aimable...si rude espéra revenir , Et sur ses brodequins ne sut plus se tenir. Sa veuve , ( qui vécut jusqu'en 1700) se remaria au comédien Guérin , mort en... | |
| Louis Maïeul Chaudon - 1805 - 540 pages
...Mais si-tôt que , d'un trait d« ses fatales mains , La Parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de sa Muse éclipsée. L'aimable...lui terrassée , En vain d'un coup si rude espéra revenu , Et sur ses brodequins ne sut plis s* tenir. Sa veuve , ( qui vécut jusqu'en 1700) se remaria... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 658 pages
...beau. Mais sitôt que d'un trait de ses fatales mains Li Patqoe l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable...comédie avec lui terrassée , En vain d'un coup si nulc espé1 a revenir, £t Sur ses brodequins ne sut plus se tenir. Sa veuve ( qui vécut jusqu'en... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 596 pages
...le plus Mais shot que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable- comédie avec lui terrassée , Fn vain d'un coup si rude espé> a retenir , Et sur ses brodequins ne sut plus se tenir. Sa veuve... | |
| Jean-François de La Harpe - 1813 - 410 pages
...parterre. Hais sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable...revenir, Et sur ses brodequins ne put plus se tenir. L'époque de cette épître fait autant houueur à Boileau , que l'épître même : elle fut adressée... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1815 - 386 pages
...parterre. Mais , sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable...revenir, Et sur ses brodequins ne put plus se tenir. Tel fut chez nous le sort du théâtre comique. Toi donc qui, t'élevant sur la scène tragique, Suis... | |
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