Oeuvres, Volume 6Didot, 1794 - 532 pages |
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... a sur toi l'avantage . Ah ! ce coup - là m'achève , il me perce le cœur , Je n'en puis plus souffrir les rigueurs sans égales ; Et c'est trop de surcroît à ma vive douleur , Que le plaisir de mes rivales . Mon fils , PROLOGUE . 15.
... a sur toi l'avantage . Ah ! ce coup - là m'achève , il me perce le cœur , Je n'en puis plus souffrir les rigueurs sans égales ; Et c'est trop de surcroît à ma vive douleur , Que le plaisir de mes rivales . Mon fils , PROLOGUE . 15.
Page 16
Molière. Que le plaisir de mes rivales . Mon fils , si j'eus jamais sur toi quelque crédit , Et si jamais je te fus chère , Si tu portes un cœur à sentir le dépit Qui trouble le cœur d'une mère Qui si tendrement te chérit , Emploie ...
Molière. Que le plaisir de mes rivales . Mon fils , si j'eus jamais sur toi quelque crédit , Et si jamais je te fus chère , Si tu portes un cœur à sentir le dépit Qui trouble le cœur d'une mère Qui si tendrement te chérit , Emploie ...
Page 21
... plaisir , tout repos , par - là m'est arraché ; Contre un pareil malheur ma constance est sans armes . Toujours à ce chagrin mon esprit attaché Me tient devant les yeux la honte de nos charmes , Et le triomphe de Psyché . La nuit , il m ...
... plaisir , tout repos , par - là m'est arraché ; Contre un pareil malheur ma constance est sans armes . Toujours à ce chagrin mon esprit attaché Me tient devant les yeux la honte de nos charmes , Et le triomphe de Psyché . La nuit , il m ...
Page 75
... la nature . Les rayons du soleil vous baisent trop souvent : Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent ; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez , Avec trop de plaisir ACTE III , SCÈNE III . 75.
... la nature . Les rayons du soleil vous baisent trop souvent : Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent ; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez , Avec trop de plaisir ACTE III , SCÈNE III . 75.
Page 76
Molière. L'air même que vous respirez , Avec trop de plaisir passe par votre bouche : Votre habit de trop près vous touche ; Et sitôt que vous soupirez , Je ne sais quoi qui m'effarouche Craint parmi vos soupirs des soupirs égarés . Mais ...
Molière. L'air même que vous respirez , Avec trop de plaisir passe par votre bouche : Votre habit de trop près vous touche ; Et sitôt que vous soupirez , Je ne sais quoi qui m'effarouche Craint parmi vos soupirs des soupirs égarés . Mais ...
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