Leçons de physique expérimentale, Volume 5H.L. Guerin & L.F. Delatour, 1765 |
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Leçons de physique expérimentale, Volume 5 abbé Nollet (Jean Antoine) Affichage du livre entier - 1765 |
Expressions et termes fréquents
affez aifé ainfi angles auffi bafe bleu c'eft c'eſt caiffe carton blanc caufe cercle chofe compofée conféquent confidérer convexe corps couleurs deffus dégré denfe derniére diamétre diftance diftinctement diſtance divergence effets efpace efpéce entr'eux eſt étoit Expérience fans fe font fe réfracte fe trouve feconde femblable femble fenfible fens fentir féparément feroit feul fimple fituation foient foit foleil fond de l'oeil fous fouvent fphérique fuivant fuppofe furface grandeur image inci incidence jet de lumiére jufqu'à l'eau l'image l'objet laiffe LEÇON lefquels LEGO LEGON lentille lorfque lumière lumineux maniére ment miére miroir plan n'eft Newton obfcure obferve objets oppofées paffe paroît platine plufieurs pofe pouces préfente prefque premiére prifme puiffe puifque pyramide raifon rayon folaire rayons de lumiére rayons incidens rayons paralleles rayons réfléchis réfléchiffante réflection réfringent rétine rouge télescope tems tion tranfparence trou tuyau vergens verre vifion voit vûe XVII
Fréquemment cités
Page 532 - Jacje affis fur fon lit , fe procure la vue de ce qui fe pafle dans une longue rue ou dans une place publique, par le moyen d'une glace placée au côté d'une fenêtre , avec une inclinaifon convenable ; un pareil miroir incliné à...
Page 462 - L'iris eft ce cercle coloré que l'on apperçoit fous la cornée tranfparente , & au milieu duquel il ya un trou rond qu'on nomme la prunelle ou la pupille. L'iris eft...
Page 407 - S , ménagée dans un volet de fenêtre , dans une chambre inac? ceflible d'ailleurs à la lumière du jour. (Fig. i). Il faut que l'Obfervateur , ayant le dos tourné vers le Soleil , fe place vers RV, entre la fenêtre & la Boule : à telle diftance & à telle hauteur , que les Rayons qui reviennent de la boule à l'œil...
Page 5 - ... corps peut agir fur un autre corps. Mais cet agent qui tranfmet à l'œil l'action du corps lumineux ou illuminé , doit être lui-même quelque chofe de matériel ; autrement comment pourroit-il recevoir & communiquer une modification qui ne peut convenir qu'à la...
Page 13 - Comment entendons- nous la voix d'un homme qui nous parle de loin pendant la nuit ? Eft-ce par des portions d'air rendues fonores dans fa bouche , & qui traverfent enfuite tout l'efpace qui eft entre cet homme & nous, pour venir frapper nos oreilles ? On fçait bien que cela ne fe fait point ainfi : on...
Page 509 - ( puisqu'aucun corps lumineux n'a jamais vu l'ombre » du corps qu'il éclaire); comme les endroits de cette » muraille où le soleil ne donne point...
Page 7 - ... la fphère de notre univers. Le foleil qui en occupe le centre , les étoiles fixes qui en font comme les limites , & tous les corps qui s'enflamment fur la terre & ailleurs, animent cette matiere par un mouvement qui ne la tranfporte pas d'un lieu dans un autre , mais qui l'agite par une efpèce de trémouffement , e...
Page 570 - ... main ,ne portant point une ombre, on peut prendre les traits et dessiner avec la plus grande exactitude. Ce qu'il ya de singulier, c'est que l'image de l'objet qu'on observe est distincte à toutes sortes de distances de la lentille.
Page 566 - MAGIQUE. 1035. EXPLICATION. La Lanterne magique, dont l'invention eft due au célèbre Jéfuite Kirker, eft une Machine qui fait paroître en grand , fur un Carton ou fur un Mur, des Figures peintes en petit fur des morceaux de Verre mince , & avec des couleurs bien tranfparentes. Voici le Mécanifme phyfique de cette curieufe Machine , où la grave Ignorance ne voit rien que de trivial ; & où le Phyficien éclairé voit tous les merveilleux fecrets de la Dioptrique mis en jeu & en action.
Page 4 - J'entends , dit-il , par le mot de lumiere le moyen dont la nature a coutume de fe fervir pour aflecter l'œil de cette impreffion vive & prefque toujours agréable qu'on appelle clarté , & pour nous...