MM. LEMEUNIER, 18, rue de l'Ancien-Évêché, au Mans. LEMEUNIER (l'abbé B.), doyen de la Chartre (Sarthe). LEMEUNIER (l'abbé François), curé de Saint-Célerin (Sarthe). LEROUX, architecte, 25, rue du Mouton, au Mans. LEROUX, rue Dumas, au Mans. LETESSIER, directeur de l'Usine à Gaz, à Vendôme (Loir-et-Cher). LEVEAU (l'abbé Maurice), curé de Pincé (Sarthe). LHOMMEAU, Sculpteur, 83, boulevard Montparnasse, Paris. LIGOT (l'abbé Georges), pro-secrétaire de l'Évêché du Mans. LORIOT (l'abbé Auguste), curé de Nouans, par Beaumont-sur- LOUVEL (Mme), rue Denfert-Rochereau, au Mans. LUART (le marquis du), au château du Luart (Sarthe), 284, boulevard Saint-Germain, à Paris. MAISONNEUVE (Mme de), place de l'Étoile, au Mans, et château MALOISEAU (l'abbé), curé de Saint-Remy-de-Sillé (Sarthe). MAUREY (l'abbé), secrétaire de l'évêché, chanoine honoraire de MEMIN (Mlle Marguerite), 38, rue Prémartine, au Mans. MÉNAGE, 96, rue de Flore, au Mans. MÉTAYER, 43, rue Prémartine, au Mans. MICHEL (Mme veuve), 31, rue de Ballon, au Mans. MIGNON (l'abbé), chanoine honoraire, curé de N.-D. du Pré, au MOITÉ (l'abbé L.), vicaire à la Cathédrale, rue de Ballon, Le Mans. MOUFLE, président de la Société d'encouragement, rue Marchande, au Mans. MM. MUSSARD (l'abbé Jean), aumônier du Bon-Pasteur, au Mans. PALLU DU BELLAY (Mlle), 13, rue Saint-Vincent, au Mans. PÉARD (l'abbé A.), chanoine honoraire, sous-supérieur du Petit- PELLERIN (l'abbé), curé de Courdemanche (Sarthe). PERRIN, rue Saint-Ouen, au Mans. PINEAU DE BEAUREPAIRE (Mme veuve), château de la Grange, à PRALON (l'abbé M.), chanoine honoraire, curé de Saint-Benoit, PRUD'HOMME, 14, rue des Ursulines, au Mans. PUYSÉGUR (Mme la comtesse de), 5, rue de Marignan, Paris. QUERUAU-LAMERIE (E.), 6 bis, rue des Arènes, à Angers. QUÉRUEL, 121, avenue d'Orléans, à Paris. RENAULT (l'abbé), chanoine honoraire, doyen de Conlie (Sarthe). RENUSSON (de), au château des Ligneries, par Charentilly (Indreet-Loire). REVUE DE L'ANJOU, rue Saint-Laud, Angers. REVUE D'HISTOIRE ECCLÉSIASTIQUE, au collège du Saint-Esprit, 40, rue de Namur, à Louvain (Belgique). RICHER (Mme veuve), 91, boulevard Négrier, au Mans. RICHER, négociant, rue Courthardy, au Mans. RICORDEAU, architecte, place du Château, au Mans. ROLAND, rue de l'Étoile, au Mans. ROQUET (Henri), à Laigné-en-Belin (Sarthe). ROMANET (le vicomte de), au château des Guillets, par Mor tagne. ROULLEAU, 20, rue Champgarreau, au Mans. ROUSSEAU (l'abbé Henri), curé de Précigné (Sarthe). RUPÉ, ancien notaire, 16, rue de la Motte, au Mans. SALMON, rue Hémon, au Mans. SAVARE (J.), *, chef d'escadron à l'état-mojor du IVe corps SELLIER (l'abbé), professeur au collège de Felletin (Creuse). SIONNEAU (l'abbé), curé de La Bruère (Sarthe). MM. SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU VENDÔMOIS, au musée archéologique, à Vendôme (Loir-et-Cher). SOUAVIN-LEGO, rue de l'Ancien-Évêché, au Mans. SURMONT (Georges), , aux Hattonnières, à Moncé-en-Belin (Sarthe). TABOUET, à Saint-Désiré, par la Palisse (Allier). TALHOUET-ROy (le marquis de), au château du Lude (Sarthe). TÉZÉ, 36. rue de Quatre-Roues, au Mans. THORÉ (Mme), 9, rue Montauban, au Mans. THORÉ (Mme et Mlle), rue des Plantes, et aux Cerisiers, au Mans. TIRONNEAU (Mme veuve), 21, rue des Arènes, au Mans. TOUCHET, place du Hallais, au Mans. TRICONNET, 3, rue de l'Étoile, au Mans. TRIGER (Mme veuve), à Saint-Vincent-des-Prés, par Mamers. UZUREAU (l'abbé), aumônier de la maison d'arrêt, 103, rue du VADUNTUN, 20, rue Sainte-Croix, au Mans. VAVASSEUR (l'abbé Joseph), curé de Contilly (Sarthe). VÉTILLART (Mlle), 18 bis, rue Magenta, à Versailles. LES ORIGINES DE L'ÉGLISE DU MANS SAINT JULIEN (Suite). J. Havet, persuadé que l'auteur des Actus Pontificum, selon lui le chorévêque David, était un faussaire et saint Aldric un honnête homme qui n'aurait pas fermé les yeux sur les pratiques de son coadjuteur, veut que l'ouvrage ait été composé pendant les dernières années de l'évêque, réduit à l'inaction par la maladie. J'ai montré dans l'Introduction aux Actus la faiblesse de ses raisons, et fait voir déjà que le contenu du livre, les indications positives qu'il fournit, les circonstances, indiquent au contraire le commencement de l'épiscopat de saint Aldric, entre les années 833-836 certainement, et probablement, presque sûrement, entre les années 833, 835. Sans tenir aucun compte de mes preuves et de mes réfutations, en homme qui a son siège fait, M. P. Fournier, dans un assez long compte rendu qu'il nous a fait l'honneur de donner de notre édition des Actus dans le Bulletin critique (1), s'en tient aux conclusions de J. Havet « Il est certain, dit-il, que les notices biographiques contenues dans les Actus ne contiennent aucune allusion à aucune translation. Mais, est-ce bien parce qu'elles ont été écrites antérieurement à l'époque (1) II Série, t. X, p. 126, 15 juillet 1904 (3 article). de ces translations? Cette explication ne s'impose pas; en effet, il y en a une autre qui semble pouvoir être admise. L'auteur des Actus et de la série de biographies qui se rattachent à ce recueil se garde bien de découvrir sa personnalité; il tient, en effet, à faire passer ses écrits comme l'œuvre de contemporains de leurs héros, et laisse entendre que les Actus n'ont pas été composés tout d'une pièce, mais progressivement, en allant; c'est un livre conscriptus et conscribendus, comme le dit la Vie de saint Julien, qui est l'œuvre de notre auteur. Que telle soit sa tendance, c'est aussi ce que prouvent deux passages de la notice de l'évêque Principius dans les Actus. Principius est un évêque du commencement du vi° siècle; et cependant l'auteur des Actus « a puisé ses informations dans les entretiens des personnes, qui cum eo conversare solebant et suis studiis instruebantur. » Je me permets d'interrompre ici M. P. Fournier, pour lui faire remarquer qu'il faut voir, dans une phrase latine, ce qu'elle contient réellement; l'auteur des Actus écrit : Sicut ab ipsis didicimus qui, etc. Cela ne veut pas dire <«< nous avons puisé dans les entretiens de ceux qui, etc, » mais << nous avons appris de ceux qui, etc. » Et nous avons pu apprendre en puisant dans leurs entretiens ou dans les écrits qu'ils nous ont laissés. M. Fournier ajoute: « Il raconte d'après eux : Ut prædicti sui discipuli nobis retulerunt. » Je suis un peu confus de rappeler à mon honorable contradicteur qu'on peut rapporter (retulerunt) par écrit, non moins bien que de vive voix. J'avais dit tout cela et même ajouté que l'auteur des Actus, à cet endroit, reproduit sans doute les expressions des récits auxquels il fait allusion, par exemple le mot causa, signifiant chose, que l'on retrouve seulement dans un autre morceau, le récit de la découverte des reliques de saint Benoit et de sainte Scolastique, inséré dans la Notice de saint Béraire. Quant à ce qu'ajoute M. Fournier au sujet des biographies qui se rattachent à ce recueil (les Actus) nous y |