La prise des Annonciades. Épître sur la Révolution. Prospectus d'un Journal en vaudevillesImprimé à Wolfenbuttel, chez la veuve Bindseil et fils, 1796 - 199 pages |
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La prise des Annonciades. Épître sur la Révolution. Prospectus d'un Journal ... Charles-François marquis de Bonnay Affichage du livre entier - 1796 |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 59 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur? Ces flambeaux, ce bûcher", cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple...
Page 116 - Des assassins trop lents il veut hâter les coups : Aux pieds de ce Héros il les voit trembler tous. A cet objet touchant lui seul est inflexible ; Lui seul, à la pitié toujours inaccessible, Aurait cru faire un crime, et trahir Médicis, Si du moindre remords il se sentait surpris.
Page 115 - Le héros malheureux, sans armes, sans défense, Voyant qu'il faut périr et périr sans vengeance, Voulut mourir du moins comme il avait vécu, Avec toute sa gloire et toute sa vertu.
Page 83 - N'écoutons plus ce penser suborneur Qui ne sert qu'à ma peine : Allons, mon bras, sauvons du moins l'honneur, Puisqu'après tout il faut perdre Chimène. Oui, mon esprit s'était déçu : Je dois tout à mon père avant qu'à ma maîtresse ; Que je meure au combat, ou meure de tristesse, Je rendrai mon sang pur, comme je l'ai reçu. Je m'accuse déjà de trop de négligence. Courons à la vengeance, Et, tout honteux d'avoir tant balancé, Ne soyons plus en peine (Puisqu'aujourd'hui mon père est...
Page 115 - Les meurtriers surpris sont saisis de respect ; Une force inconnue a suspendu leur rage. " Compagnons, leur dit-il, achevez votre ouvrage, Et de mon sang glacé souillez ces cheveux blancs, Que le sort des combats respecta quarante ans. Frappez, ne craignez rien : Coligny vous pardonne ; Ma vie est peu de chose, et je vous l'abandonne ; J'eusse aimé mieux la perdre en combattant pour vous.
Page 186 - Paris est au roi. Monsieur Guillotin Ce grand médecin, Que l'amour du prochain Occupe sans fin, Un papier en main, S'avance soudain, Prend la parole enfin, Et d'un air bénin : Air de l'Amoureux de quinze ans.
Page 114 - C'était à la faveur des ombres de la nuit. De ce mois malheureux l'inégale courière Semblait cacher d'effroi sa tremblante lumière. Coligny languissait dans les bras du repos, Et le sommeil trompeur lui versait ses pavots. Soudain de mille cris le bruit épouvantable Vient arracher ses sens à ce calme agréable • II se lève, il regarde, il voit de tous côtés Courir des assassins à pas précipités : II voit briller par-tout les flambeaux et les armes, Son palais embrasé, tout un peuple...
Page 115 - A cet air vénérable, à cet auguste aspect, Les meurtriers surpris sont saisis de respect; Une force inconnue a suspendu leur rage. « Compagnons, leur dit-il, achevez votre ouvrage, Et de mon sang glacé souillez ces cheveux blancs Que le sort des combats respecta quarante ans; Frappez, ne craignez rien : Coligny vous pardonne ; Ma vie est peu de chose, et je vous l'abandonne.
Page 187 - A la façon de Barbari, mon ami C'est un mécanisme nouveau, D'un effet admirable, Je l'ai tiré de mon cerveau Sans me donner au diable. Un décollé de ma façon, La faridondaine, La faridondon, Me dira : Monsieur, grand merci, Biribi.
Page 78 - Percé jusques au fond du cœur D'une atteinte imprévue aussi bien que mortelle, Misérable vengeur d'une juste querelle, Et malheureux objet d'une injuste rigueur, Je demeure immobile, et mon âme abattue Cède au coup qui me tue.