La prise des Annonciades. Épître sur la Révolution. Prospectus d'un Journal en vaudevillesImprimé à Wolfenbuttel, chez la veuve Bindseil et fils, 1796 - 199 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 8
Page 33
... laisse que d'insuffisants moyens de ré- pression . Mais les Américains avaient fait une Déclaration des Droits , et c'était chez eux que nous avions été puiser toutes nos idées de Liberté . Mr. de la Fayette demanda une Dé- claration ...
... laisse que d'insuffisants moyens de ré- pression . Mais les Américains avaient fait une Déclaration des Droits , et c'était chez eux que nous avions été puiser toutes nos idées de Liberté . Mr. de la Fayette demanda une Dé- claration ...
Page 61
... sont morts : la fuite a sauvé tout le reste ; Et je ne dois la vie en ce commun effroi Qu'au bruit de mon trépas que je laisse après moi . faible résistance qu'on lui opposait était tou jours accompagnée d'égards CHANT II : 61.
... sont morts : la fuite a sauvé tout le reste ; Et je ne dois la vie en ce commun effroi Qu'au bruit de mon trépas que je laisse après moi . faible résistance qu'on lui opposait était tou jours accompagnée d'égards CHANT II : 61.
Page 71
... laisse à mon inquiétude . „ Ah ! Qu'aux soins de l'Empire il consacre ses jours ; J'y consens : Mais ses nuits devraient être aux amours , ,, Dans E 4 - * ) Cette garde . C'est la Garde Nationale , la- quelle se forma à Paris , aussitôt ...
... laisse à mon inquiétude . „ Ah ! Qu'aux soins de l'Empire il consacre ses jours ; J'y consens : Mais ses nuits devraient être aux amours , ,, Dans E 4 - * ) Cette garde . C'est la Garde Nationale , la- quelle se forma à Paris , aussitôt ...
Page 78
... laisse au moins , pour gage de ma foi „ Ma fille , qui déjà gentille comme toi , „ Et digue de marcher sur les pas de son pere , ,, Bégaye en souriant le mot de Réverbère . ,, Mais parle : Qu'ai - je à craindre au milieu de ces mars 80 ...
... laisse au moins , pour gage de ma foi „ Ma fille , qui déjà gentille comme toi , „ Et digue de marcher sur les pas de son pere , ,, Bégaye en souriant le mot de Réverbère . ,, Mais parle : Qu'ai - je à craindre au milieu de ces mars 80 ...
Page 115
... crédit es - tu désabusé ? b ,, Il laisse entre mes mains ta simarre et ta vie . ,, Je devrais , dans ces murs où ta sœur me défie , 135 caz ..I .. 140 I 145 H 2 ,, Te ,, Te ... Mais de ma victoire il faut me CHANT IV , and 415.
... crédit es - tu désabusé ? b ,, Il laisse entre mes mains ta simarre et ta vie . ,, Je devrais , dans ces murs où ta sœur me défie , 135 caz ..I .. 140 I 145 H 2 ,, Te ,, Te ... Mais de ma victoire il faut me CHANT IV , and 415.
Autres éditions - Tout afficher
La prise des Annonciades. Épître sur la Révolution. Prospectus d'un Journal ... Charles-François marquis de Bonnay Affichage du livre entier - 1796 |
La prise des Annonciades. Épître sur la Révolution. Prospectus d'un Journal ... Charles-François marquis de Bonnay Affichage du livre entier - 1796 |
Expressions et termes fréquents
Abbesse amour Aoust Assemblée Nationale assez aujourdhuy avaient avons Bailly Barentin Barnave Bastille bataille de Bouvines bras C'était CHANT Charles de Lameth charmes chateau Chimène Citoyen cœur Comité des Recherches connaitre connû Corny Coté courage Courtille crime crû Députés dit-il Duc d'Orléans Duport Enfin Factieux fameux Fayette fidèle FIN DES NOTES Garde Nationale Goupil gout grace guerriers Guillotin Hélas Henriade Héros heureux homme jamais Jean le Blanc jour JOURNAL EN VAUDEVILLES L'Abbesse l'air l'Amour l'Assemblée Nationale l'Hotel laisse longtems Louis Louis XVI main Maire maitre maitresse Mathieu Mathieu de Montmorency ment Messieurs Mirabeau Motion NOTES ET VARIANTES obscur paraitre parlant Parodie parû Patriotisme penser Péthion Peuple Philippe de Dreux plaisirs pluspart plustôt Poëme des Annonciades Premier Couplet Président Reubell Révolution ridicule rivaux Robespierre role Royal Séance secret seul soldats sureté talents Target tems teur trembler trône voix yeux zèle
Fréquemment cités
Page 69 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur? Ces flambeaux, ce bûcher", cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple...
Page 126 - Des assassins trop lents il veut hâter les coups : Aux pieds de ce Héros il les voit trembler tous. A cet objet touchant lui seul est inflexible ; Lui seul, à la pitié toujours inaccessible, Aurait cru faire un crime, et trahir Médicis, Si du moindre remords il se sentait surpris.
Page 125 - Le héros malheureux, sans armes, sans défense, Voyant qu'il faut périr et périr sans vengeance, Voulut mourir du moins comme il avait vécu, Avec toute sa gloire et toute sa vertu.
Page 93 - N'écoutons plus ce penser suborneur Qui ne sert qu'à ma peine : Allons, mon bras, sauvons du moins l'honneur, Puisqu'après tout il faut perdre Chimène. Oui, mon esprit s'était déçu : Je dois tout à mon père avant qu'à ma maîtresse ; Que je meure au combat, ou meure de tristesse, Je rendrai mon sang pur, comme je l'ai reçu. Je m'accuse déjà de trop de négligence. Courons à la vengeance, Et, tout honteux d'avoir tant balancé, Ne soyons plus en peine (Puisqu'aujourd'hui mon père est...
Page 125 - Les meurtriers surpris sont saisis de respect ; Une force inconnue a suspendu leur rage. " Compagnons, leur dit-il, achevez votre ouvrage, Et de mon sang glacé souillez ces cheveux blancs, Que le sort des combats respecta quarante ans. Frappez, ne craignez rien : Coligny vous pardonne ; Ma vie est peu de chose, et je vous l'abandonne ; J'eusse aimé mieux la perdre en combattant pour vous.
Page 196 - Paris est au roi. Monsieur Guillotin Ce grand médecin, Que l'amour du prochain Occupe sans fin, Un papier en main, S'avance soudain, Prend la parole enfin, Et d'un air bénin : Air de l'Amoureux de quinze ans.
Page 124 - C'était à la faveur des ombres de la nuit. De ce mois malheureux l'inégale courière Semblait cacher d'effroi sa tremblante lumière. Coligny languissait dans les bras du repos, Et le sommeil trompeur lui versait ses pavots. Soudain de mille cris le bruit épouvantable Vient arracher ses sens à ce calme agréable • II se lève, il regarde, il voit de tous côtés Courir des assassins à pas précipités : II voit briller par-tout les flambeaux et les armes, Son palais embrasé, tout un peuple...
Page 125 - A cet air vénérable, à cet auguste aspect, Les meurtriers surpris sont saisis de respect; Une force inconnue a suspendu leur rage. « Compagnons, leur dit-il, achevez votre ouvrage, Et de mon sang glacé souillez ces cheveux blancs Que le sort des combats respecta quarante ans; Frappez, ne craignez rien : Coligny vous pardonne ; Ma vie est peu de chose, et je vous l'abandonne.
Page 197 - A la façon de Barbari, mon ami C'est un mécanisme nouveau, D'un effet admirable, Je l'ai tiré de mon cerveau Sans me donner au diable. Un décollé de ma façon, La faridondaine, La faridondon, Me dira : Monsieur, grand merci, Biribi.
Page 88 - Percé jusques au fond du cœur D'une atteinte imprévue aussi bien que mortelle, Misérable vengeur d'une juste querelle, Et malheureux objet d'une injuste rigueur, Je demeure immobile, et mon âme abattue Cède au coup qui me tue.