PoésiesBaudouin frères, 1820 - 274 pages |
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... fille du roi des ondes ? >> Ou cette jeune Irène aux longues tresses blondes ? » Ou ne sera - ce point cette fière beauté » Dont j'entends le beau nom chaque jour répété ; >> Dont j'apprends que partout les belles sont jalouses ? >> Qu ...
... fille du roi des ondes ? >> Ou cette jeune Irène aux longues tresses blondes ? » Ou ne sera - ce point cette fière beauté » Dont j'entends le beau nom chaque jour répété ; >> Dont j'apprends que partout les belles sont jalouses ? >> Qu ...
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... . L'on me dit que je peux te guérir : >> Vis ; et formons ensemble une seule famille . » Que mon père ait un fils , et ta mère une fille . » C'ÉTAIT ' ÉTAIT quand le printemps a reverdi les prés 42 LE MALADE , IDYLLE .
... . L'on me dit que je peux te guérir : >> Vis ; et formons ensemble une seule famille . » Que mon père ait un fils , et ta mère une fille . » C'ÉTAIT ' ÉTAIT quand le printemps a reverdi les prés 42 LE MALADE , IDYLLE .
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... fille de Lycus , vierge aux cheveux dorés , Sous les monts Achéens , non loin de Cérynée , Errait à l'ombre , aux bords du faible et pur Crathis ; Car les eaux du Crathis , sous des berceaux de frêne , Entouraient de Lycus le fertile ...
... fille de Lycus , vierge aux cheveux dorés , Sous les monts Achéens , non loin de Cérynée , Errait à l'ombre , aux bords du faible et pur Crathis ; Car les eaux du Crathis , sous des berceaux de frêne , Entouraient de Lycus le fertile ...
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... fille et te destine au trône , >> Souviens - toi , jeune enfant , que le ciel quelquefois >> Venge les opprimés sur la tête des rois ... >> Belle vierge , sans doute enfant d'une déesse , >> Crains de laisser périr l'étranger en ...
... fille et te destine au trône , >> Souviens - toi , jeune enfant , que le ciel quelquefois >> Venge les opprimés sur la tête des rois ... >> Belle vierge , sans doute enfant d'une déesse , >> Crains de laisser périr l'étranger en ...
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... fille ; chacun fera ce que tu veux , » Dit l'esclave en baisaut son front et ses cheveux ; » Oui ; qu'à ton protégé ta fête soit ouverte . » Ta mère , mon élève , ( inestimable perte ! ) » Aimait à soulager les faibles abattus . >> Tu ...
... fille ; chacun fera ce que tu veux , » Dit l'esclave en baisaut son front et ses cheveux ; » Oui ; qu'à ton protégé ta fête soit ouverte . » Ta mère , mon élève , ( inestimable perte ! ) » Aimait à soulager les faibles abattus . >> Tu ...
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Expressions et termes fréquents
accens aime amans amant âme amis amour Amphitrite André Chénier antiques Apollon asile avide Bacchus baisers beau beauté belle bientôt bocage bois bords bouche bras brillant Camille caresses chansons chants charmes Chénier cher cheveux CHEVRIER ciel cieux Clinias cœur destins dieu dieux divin douce douleurs doux ÉLÉGIE encens enfans enfant épars errant Fanny feux flamme flancs flétrie fleurs flots front gémir gloire hameaux hélas Hélicon heureux Iambe image j'ai jamais jeune jeux jour Jupiter l'amour larmes lèvres loin lois long-temps Lycoris Lycus lyre main malheureux MARIE-JOSEPH CHÉNIER maux Ménade mère miel MNAZILE moisson mollement mort mortel mourir murmure Muses naïade Néere noble nuit nymphes Palès Pange Paphos partout pensée Permesse pieds plaisirs pleurs poëte presse qu'un regards respire rivage rose sainte secrets seul soins sommeil soupirs souvent talens tendre Tibulle tombeau tranquille vallons Vénus vermeil vertus veux Viens visage vivre vois voix yeux zéphyrs
Fréquemment cités
Page 227 - J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine. Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson, Et, comme le soleil, de saison en saison, Je veux achever mon année. Brillante sur ma tige, et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du matin ; Je veux achever ma journée.
Page 214 - Fanny, l'heureux mortel qui près de toi respire Sait, à te voir parler et rougir et sourire, De quels hôtes divins le ciel est habité. La grâce, la candeur, la naïve innocence Ont, depuis ton enfance, De tout ce qui peut plaire enrichi ta beauté. Sur tes traits, où ton âme imprime sa noblesse, Elles ont su mêler aux...
Page 8 - Puis, ivres des transports qui nous viennent surprendre, Parmi nous, dans nos vers, revenons les répandre ; Changeons en notre miel leurs plus antiques fleurs, Pour peindre notre idée empruntons leurs couleurs ; Allumons nos flambeaux à leurs feux poétiques; Sur des pensers nouveaux faisons des vers antiques.
Page 1 - Un langage sonore, aux douceurs souveraines, Le plus beau qui soit né sur des lèvres humaines.
Page 128 - Thétis, doux alcyons, pleurez ! Elle a vécu, Myrto, la jeune Tarentine ! Un vaisseau la portait aux bords de Camarine : Là, l'hymen, les chansons, les flûtes, lentement Devaient la reconduire au seuil de son amant.
Page 76 - FILLE du vieux pasteur, qui d'une main agile Le soir emplis de lait trente vases d'argile , Crains la génisse pourpre, au farouche regard, Qui marche toujours seule et qui paît à l'écart. Libre, elle lutte et fuit intraitable et rebelle ; Tu ne presseras point sa féconde mamelle , A moins qu'avec adresse un de ses pieds lié Sous un cuir souple et lent ne demeure plié. (TIRÉ DEMOSCHUS. ) NOUVEAU cultivateur, armé d'un aiguillon , L'Amour guide le soc et trace le sillon ; II presse sous le...
Page 26 - Attends ; il faut ici que mon affront s'expie, Traître ! » Mais avant lui, sur le centaure impie Dryas a fait tomber, avec tous ses rameaux. Un long arbre de fer hérissé de flambeaux. L'insolent quadrupède en vain s'écrie ; il tombe, Et son pied bat le sol qui doit être sa tombe. Sous l'effort de Nessus, la table du repas Roule, écrase Cymèle, Évagre, Périphas.
Page 38 - C'est toi qui me devais ces soins religieux ; « Et ma tombe attendait tes pleurs et tes adieux. «Parle, parle, mon fils: quel chagrin te consume? « Les maux qu'on dissimule en ont plus d'amertume. «Ne lèveras-tu point ces yeux appesantis?
Page 219 - Quoi ! tandis que partout, ou sincères ou feintes, Des lâches, des pervers, les larmes et les plaintes Consacrent leur Marat parmi les immortels, Et que, prêtre orgueilleux de cette idole vile, Des fanges du Parnasse un impudent reptile Vomit un hymne infâme au pied de ses autels, La vérité se tait ! Dans sa bouche glacée, Des liens de la peur sa langue embarrassée Dérobe un juste hommage aux exploits glorieux ! Vivre est-il donc si doux ? De quel prix est la vie, Quand, sous un joug honteux,...
Page 94 - N'allument dans vos flancs un pénible trépas; Que la joie en vos cœurs ignore les alarmes ; Que les peines d'autrui causent seules vos larmes; Que vos heureux destins , les délices du ciel , Coulent toujours trempés d'ambroisie et de miel , Et non sans quelque amour paisible et mutuelle; Et, quand la mort viendra, qu'une amante fidèle, Près de vous désolée, en accusant les Dieux, Pleure, et veuille vous suivre, et vous ferme les yeux!