'Ann'quin Bredouille, ou le petit cousin de Tristram Shandy: Œuvre posthume de Jacqueline Lycurgues, actuellement fifre-major au greffe des menus derviches..Chez Louis, Libraire et Commissionaire, rue Saint-Severin, N0. 29., 1792 |
Expressions et termes fréquents
Adule avoit Altidors arriva assez atqui attendoit auroit avez tort avions avoient batu bonheur c'étoit caresses Carguez Cateau CHAPITRE cher oncle chose cœur étoit connoissance cuisine d'Adule d'échasses d'en haut Dame de Liesse de-là déja Dieu din din din dire disoit dit-il échasses encens enfans ergo vous avez esca étions étoient étonné faisoient faisoit falloit fausse Villageoise gens goute en plein habitans homme huitres j'ai raison jamais jusqu'à L'ALTIDOR lageoise Locandier long-tems Madame Jer Madame Jer'nifle mal-adresse manquoit Marquis de Tufière ment Messieurs mieux Minon Monsieur montagne moyen n'avoit n'y voit goute Néomanie nifle oncle Bredouille pain pain bis pan pan pauvre oncle pays peine petit Adule petite Pilote plein midi plumaliers pompes pouvoit pré premier prenoit qu'Adule qu'l'on regard rien roit s'écria sais seroit seul sottises Surtalons Tamar tems terre-à-terre tion Tout-à-coup trouvoit vallains venoit village vîte voilà voudrois vouloit
Fréquemment cités
Page 179 - ... L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d'écume, un monstre furieux. Son front large est armé de cornes menaçantes ; Tout son corps est couvert d'écailles jaunissantes. Indomptable taureau, dragon impétueux, Sa croupe se recourbe en replis tortueux ; Ses longs mugissements font trembler le rivage, Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage.
Page 166 - Ainsi la véritable humanité ne connoît ni les classes , ni les distinctions , et rapproche par un échange de bienfaits, les êtres les plus opposés. Je ne répéterai point ce qui se dit dans cette scène intéressante. Il faudroit y joindre cette pantomime d'admiration , d'hilarité , de noble orgueil , d'épanouissement , un ensemble , enfin , dont aucune expression ne pourroit approcher. Madame Jer'niSe elle-même , la froide Madame Jer'nifle ne cessoit de répéter du ton de la plus vive...
Page 70 - Adule l'avoit accosté plusieurs fois, et n'avoitrien négligépour le se" duire comme les autres: mab il n'y a pire sourd que celui qui ne veut pas entendre; et Adule- eut beau prendre tous les tons possibles, si musique fut également perdue. Mon oncle, assourdi par le tapage, fatigué, glacé de frayeur , et surpri...
Page 2 - Ann'quin Bredouille • • • • C'est tout ce qu'il m'est permis d'en dire , pour le moment. Vous pourrez savoir dans la suite , et vous approuverez sûrement les raisons pnissantes qui me condamrient au silence.
Page 7 - Cocagne ; mais je vous assure que ce n'étoit pas lui. Si vous voulez les croire , ils vous diront encore qu'Adule et Madame Jer'nifle sont des êtres moraux ; que l'un est l'amour-propre ,. et l'autre la raison ; mais vous savez bien vous en savez assez , pour que je ne vous en dise pas davantage. CHAPITRE XXXIX. 'Description historique du pays de mon oncle.
Page 163 - Surtalons ; . . * . remarquez ique le moment d'auparavant j'avois , dans ma marche précipitée , foulé une partie son jardin , sans aucun égard pour ses cris Eh bien ! des qu'il voit mon danger , il Oublie mes torts , quitte sa bêche , se prosterne à genoux pour demander l'assistance de l'Etre Suprême , s'élance dans le torrent ; et , après avoir luté quelque tems contre les flots , parvient à m'arracher à leur fureur.
Page 6 - M• .ON oncle Bredouille étoit du pays des Néomanes Bon ! ne voilà-t-il pas que les pédans Grecs du pays Latin vont trouver , à l'aide de leurs Racines Grecques , que cela veut dire amateurs de nouveautés , et même amateurs jusqu'à la folie ! Delà les interprétations , les applications , les intentions, les finesses , par conséquent, pâture pflur ces Messieurs au petit crochet.
Page 45 - ... surtout aux grandes fêtes , comme au réveillon de Noël , aux dragées du nouvel an, au gâteau des Rois, aux attrapes du mardi gras, aux œufs de Pâques , aux poissons d'avril , aux manages,aux baptêmes.
Page 7 - BREDOUILLE. f n'y entends pas malice , et suis trop .modeste pour vouloir être plus élevé que je ne me place moimême. Tel s'appeloit le pays de mon oncle Jean-Claude Bredouille , tel je vous le nomme ici. Il m'eût été tout...
Page 84 - Mon oncle ne l'entendit pas cette fois-ci , plus que tant d'autres , et persista , suivant son usag;e. Heureusement pour lui , il étoit d'une taille ordinaire : car il y avoit une singulière cérémonie préparatoire à cette conquête. Il...