III. 484. Sa sagesse. Ibid. Elle nous fait voir et connoître Dieu. 486. Elle nous rend semblables à J.-C. 487.- La vie chrétienne doit être une vie cachée. V, 41.- Pratique de la vie cachée dans saint Joseph. 42, 43. Vie cachée de J.-C. III, 158 et suiv., 483 et suiv. Il suit ses parents à Jérusalem, 158; -se sépare d'eux. 139. Ils le retrouvent dans le temple. Ibid. Leur plainte. 440.- Sa réponse. Ibid.- Son retour à Nazareth et sa vie obscure. 141 et suiv. - Comment imiter Jésus et Marie dans leur vie obscure? 142 et suiv. VIE PASTORALE. Sa frugalité. I, 224.
VIE RELIGIEUSE. Règles à suivre par rapport au desir d'y en- trer. XI, 307, 316, 319, 339 et suiv., 347, 558, 364, 365, 387. - Ses obligations. 392 et suiv.
VIE FUTURE. Elle est figurée et annoncée dans les Psaumes, I, 21, 22. Abus étrange que font des paroles de David ceux qui n'y croient point. 45, 44. — L'exemple de la fourmi nous enseigne à amasser des bonnes œuvres pour vivre éternelle- ment. 202. La vie future enseignée dans l'Ecclésiaste. 246, 247. Dangereuses interprétations de Grotius à ce sujet. Ibid. Il faut tout rapporter à la jouissance de cette vie. XI, 497. - Discours et sentiments du monde sur la vie future et ses pro- messes. IV, 99, 100.
VIES DES SAINTS. Manière de les lire. XI. 304.
VIENNE (concile général de) sous Clément V, qui y publie la bulle Fidei catholicæ, avec l'approbation du concile. IX, 368, 369. Voy. BEGUARDS, GUI.
VIERGE. Une vierge ne doit s'occuper que du soin des choses du Seigneur. IV, 585. — Amour de Jésus pour les vierges. 282, A quelles conditions elles deviennent ses épouses. V, 228, 238.239. Elles sont le fruit sacré de la chasteté féconde des évêques. IV, 584.-Effets de la virginité dans les vierges de J.-C., 731, 752.- Inquiétudes de celles qui le sont véritablement. V, 185.- Avec quel soin elles doivent garder tous leurs sens. 247, 250.- Extrême jalousie avec laquelle J.-C. aime les vier- ges. 233.- Combien un cœur virginal est propre à être em- Manière dont les brasé de l'amour du Sauveur. IV, 280. vierges honorent l'Eglise. XI. 348. Voy. VIRGINITÉ. VIERGE (la sainte). Voy. MARIE. VIGILANCE chrétienne; nécessité de cette vertu; ses motifs. III, 597 et suiv.
VIGILANCE. Cet hérétique combat le culte des saints. Les protestants le mettent au nombre de leurs prédécesseurs, et le préfèrent à saint Jérôme. VI, 23.-Il est réfuté par ce saint. X, 176.
VIGILE, pape, refuse d'assister au cinquième concile. IX, 332.-Il ne veut pas condamner les trois chapitres ; ce qui se passa en cette occasion. 348.
VIGNIER étoit regardé par les réformés comme le restaurateur de l'histoire. VI, 29.
VIN. Quel doit être celui qui sert à la messe. XI, 555.- Ce que c'est que le vin de la nouvelle alliance. 534, 545, VINCENT DE LERINS fut l'une des lumières du quatrième siè- cle. VI, 178. Ses règles pour connoître la foi de l'Église. II, 244. Briève récapitulation de ces règles. 270. Il enseigne que la vérité catholique est toujours la même, et partout, et que l'Eglise ne change jamais rien à ses dogmes, parceque la vérité, venue de Dieu, a d'abord toute sa perfection. 269; VI, 178 et suiv. - Il cite saint Paul pour prouver la perpétuité de la doctrine dans l'Eglise catholique. 479.
VINCENT DE PAUL (S.). Bossuet lui témoigne le desir qu'il a de seconder la mission qui devoit se faire à Metz. XI, 4 et note. - Il l'instruit des différents faits concernant cette mission. 2, 3.- Lui fait part de l'établissement de conférences à l'instar de celles de Saint-Lazare. 5. - Éloge que l'abbé de Chandenier lui fait de Bossuet. 6. Lettre de Bossuet au pape Clément XI pour demander la canonisation de saint Vincent de Paul, qui, dit-il, avoit mis dans son ame, par ses discours et ses conseils, les vrais sentiments de la piété chrétienne et de la discipline ecclésiastique. 278. Peinture qu'il y fait des conférences de Saint-Lazare, de son zèle pour le salut des ames, de sa foi, de son attachement au Saint-Siége, et de ses grands travaux pour l'Eglise. 278, 279.
VIRGILE avoue qu'il s'est engagé par une espèce de manie à composer son Énéide. III. 469. — Il étale le vrai et le faux, et ne croit pas que la vérité lui soit nécessaire, pourvu qu'il plaise. 468.
VIRGINITE. Sa définition ; son excellence. V, 232, 240, 247 et zuiv.Ses effets. 233. En quoi elle consiste principalement.
IV. 559; V, 244.- C'est un état angélique. XI, 547. - Elle est supérieure au mariage; combien chérie du ciel. V, 26, 232, 240, 248. L'ame est le siége de la virginité. 247. - Estime que J.-C. a faite de la virginité. III, 408.— Marie, modèle de cette vertu. 109. - Attachement extraordinaire de Marie pour sa virginité. IV, 280, 672. - Pourquoi sa virginité devoit-elle lui faire aimer plus tendrement son Fils. 280, 282.- La virgi- nité perpétuelle de Marie, figure de l'Église. 69.3.
VIRTEMBERG (Confession de) dressée par Brentius. L'article de l'Eucharistie y est autrement que dans celle d'Augsbourg. On y reconnoît le mérite des bonnes œuvres. V, 654.
VISAGE. Dieu a un visage pour les justes et un pour les pé- cheurs. IV, 347, 358.
VISION BÉATIFIQUE. Voy. JEAN XXII.
VISITATION de la sainte Vierge. Elévations sur ce mystère. III. 97, 98. Sermons et discours pour cette fête. IV, 680 à 702. Combien Jésus opère dans ce mystère, quoiqu'il y pa- roisse sans action. 680, 681, 695, 698, 699. Voy. ELISABETH, JEAN-BAPTISTE, MARIE.
VISITE. Fin de la visite épiscopale. IV, 564 et suiv., 596, 597. Disposition pour en profiter. 567, 568. - Fruits de la visite. 568 et suiv., 597. Compte que J.-C. en demandera, 569.-Ordonnances de visite notifiées aux Ursulines de Meaux. Force des ordonnances de visite. XI, 432. — 573 et suiv. De quoi Bossuet veut qu'on lui rende compte dans la visite des monastères. 595.
VITELLIUS, empereur romain. Sa mort. X, 167.
VITEMBERG. Accord fait dans cette ville; on y dresse six arti- cles. V, 579. — Conclusion de l'accord, 581.- Les théologiens de Vitemberg reconnoissent qu'il faut, ou renoncer à la doctrine de Luther, ou admettre le sacrifice, la transsubstantiation et l'adoration. Ils changent sa doctrine aussitôt après sa mort. Les luthériens ne peuvent répondre aux raisonnements de ces théologiens. Cependant ils reviennent bientôt après à la doc- trine de Luther. 610 et suiv.
VITIZA, roi d'Espagne, impie, défend à ses sujets d'obéir au Pape, et foule aux pieds les lois de l'Église. IX, 77.
VITRY (M. de), chantre de l'église de Meaux. Estime qu'en faisoit Bossuet. Son desir de se retirer à la Trappe improuvé par le prélat: pourquoi. XI, 108.
VOCATION. Les parents ne doivent pas s'opposer à celle de La vocation extraordinaire des pre- leurs enfants. IV, 793. miers réformateurs, donnée comme certaine dans la Confession de foi calviniste, et dans deux synodes nationaux, est aban- donnée par Claude, Jurieu et autres. VI, 240 et suiv. VOEUX monastiques, de deux sortes; leur vertu. V, 254 et suiv. Dispute des protestants conciliée sur cette matière. Elévation pour le renouvellement VII, 365, 404, 427, 458. des vœux. III, 515, 516.
VOEUX pour le roi. IV, 759, 740. VOIE ÉTROITE. Ce que c'est. III, 525,- Toutes voies sont bonnes quand elles viennent de Dieu. X1, 524.
VOILE. Pourquoi celui du temple de Jérusalem se déchira à la mort de J.-C, IV, 458.
VOL. Censure de quelques propositions relatives à ce crime par l'assemblée de 1700. II, 617.
VOLONTAIRE. Voy. LIBERTE.
VOLONTÉ. En quoi elle consiste; ses actes. X, 36 et suiv. — Elle n'est pas distinguée de l'appétit supérieur. 38. — Elle n'est attachée à aucun organe, et préside aux mouvements du corps. 67. Cet empire de la volonté la rend indirectement maitresse des passions. 68. — Comparaison de l'action libre de la volonté, avec celles qu'on attribue soit à l'ame. soit aux corps. 125. Déréglement et inconstance de la volonté. IV, 19. La loi de Dieu, remède à ses maladies. Ibid. - La sainte et immuable volonté de Dieu se déclare à nous en deux manières. 708. Quelle est celle que nous devons suivre, et qu'il y a des volontés divines sur lesquelles Dieu ne nous de- Usage qu'on doit faire mande ancun acte. VIII, 38 et suiv. des volontés de signe et de bon plaisir. 44 et suiv.- Erreur sur les volontés de Dieu inconnues. 303; sur la distinction des trois volontés. 315 et suiv.- Volonté dans Dieu de sauver tous les hommes, spéciale pour les fidèles, très spéciale pour les élus. II, 47.
VUITASSE (Charles), professeur de Sorbonne, se justifie au- près de Bossuet des erreurs dont on l'avoit accusé sur l'Eu- charistie. XII, 548. Voy. TRANSSUBSTANTIATION.
VULGATE (la), version très ancienne de l'Écriture. Son auto- rité. I, 33; VII, 362, 574, 383. Elle est préférée aux autres versions latines. 404. 427. Mots peu usités, et tournures qu'on y trouve. I, 37, 38. -La Vulgate, dans les Proverbes, s'écarte moins de l'hébreu que les Septante. 194. Elle est à peu près la version de saint Jérôme. Ibid.- Expressions inusi- tées qu'on y trouve : hébraïsmes. 195. — La version vulgate de l'Ecclésiaste diffère de l'ancienne Italique. 230.-Pourquoi elle n'est pas toujours conforme à l'hébreu. 231. — Version Vul- gate de l'Ecclésiastique; elle diffère beaucoup du grec actuel. 290. Le décret du concile de Trente sur la Vulgate est un décret de foi et non de pure discipline. II, 50.
WALEMBOURG (Adrien et Pierre de), évêques, célèbres con- troversistes, disent que les questions agitées sur la puissance du Pape n'appartiennent pas à la foi. IX, 54. — Différence qu'ils mettent entre la croyance de l'infaillibilité des conciles et celle du Pape, 55.
WALERAN, évêque de Naümbourg, écrit à saint Anselme, dans le temps de l'excommunication de l'empereur Henri IV, restant à sa cour sans communiquer à ses crimes. IX, 486, 187. WIGGERS (Jean), docteur de Louvain, tâche d'éluder l'auto- rité d'Adrien VI, sur la faillibilité des papes. IX, 23. 538. — - Il dit que l'infaillibilité est crue comme de foi par quelques théo- logiens. 547, 562.
WISSOVATS (André) fait voir comment les unitaires se sont séparés des réformés. VI, 164.
WORMS. L'empereur Henri IV y tient un concile schismati- que, où il fait déposer Grégoire VII. IX, 171. Conférence tenue dans cette ville par ordre de Charles-Quint, pour conci- lier les deux religions. V, 657. Les luthériens se divisent sur des points importants. Ils condamnent tout d'une voix la nécessité des bonnes œuvres pour le salut. On épargne la doc- trine monstrueuse d'Osiandre. Les catholiques refusent de continuer à conférer avec des gens qui ne s'accordent pas entre
mis par Bellarmin au nombre des défenseurs de la doctrine gllicane. IX, 21, 534.- Chicane de Schelstrate, qui prétend que ce cardinal refusa de lire les décrets des sess. v et vi au concile de Constance. 279.- Preuves qu'il croyoit le concile supérieur au Pape. Ibid. et suiv.
ZACHARIE. Ses prophéties. X, 213 et suiv.
ZACHARIE, père de saint Jean-Baptiste. Son incrédulité. III, 81.- Son cantique. 102 et suiv. Ce cantique réunit la dọc- trine à la beauté du style. I, 174. — - Il est expliqué. 172. ZACHARIE, pape, ne déposa pas Childéric, mais répondit à la consultation des seigneurs françois. IX, 64, 69.-Grégoire VII est le premier qui parle de cette déposition. 454.- Histoire abrégée de ce qui prépara l'élévation de Pepin et la chute de Childeric. 455 et suiv.-Ce pape persista dans l'obéissance des empereurs,
ZELEPECHIMI (Georges), archevêque de Strigonie et primat de Hongrie, proscrit les Articles du clergé de France avec des qualifications odieuses. IX, 2, 40, 527. On le réfute. 370,371, 386.-Son décret censuré par la Sorbonne. 327.
ZENOBIE, reine de Palmyre, se rend célèbre; elle est vaincue par Aurélien. X, 170.
ZÉNON, empereur d'Orient, se mêle le premier de régler la foi: son Hénotique est condamné. X, 177.
ZISCA (Jean), chef des taborites, l'une des sectes descendues de Jean Hus, excite des révoltes, et commet des cruautés inouïes, surtout à l'égard des moines et des ecclésiastiques. Les Frères de Bohême en descendent, selon Rudiger, l'un des Fre- res. Ils refusent les quatre articles accordés par le concile de Båle. VI, 64.
ZONARE et les historiens grecs accusent à tort les papes Gré- goire II et III d'avoir manqué de fidélité à Léon l'Isaurien. IX, 134.
ZOROASTRE. Ses sentiments sur la Divinité, convenables en un certain sens au soleil. XI, 256.
ZOROBABEL ramène les Juifs captifs, et pose les fondements du second temple. X, 148, 211.
ZOZIME (S.), pape, est accusé d'avoir approuvé la Confession de foi de Célestius, hérétique. IX, 426. On discute cette imputation. Ibid., note. — - Sa doctrine sur l'observation des canons. 492. Voy. SARDIQUE.
ZUINGLE (Ulric). Son caractère hardi. Il prend parti pour Carlostad dans la querelle sacramentaire. V, 540. Il accorde le salut aux paiens; Luther désespère de son salut à cause de cette erreur, que ceux de Zurich défendent mal. Ibid. et suiv. Il nie le péché, originel qu'il appelle un vice, un malheur, une maladie, et non un crime. Ses erreurs sur le baptême. 541. Voy. BAPTÊME. - Songe de Zuingle, dans lequel un fantôme blanc ou noir lui apprend que le signe, dans l'Écriture, reçoit le nom de la chose : l'Agneau est la Páque, pour dire qu'il en est le signe. Ignorance de cette explication. 543, 544. - Sa confession de foi, appelée Helvétique, envoyée à Augsbourg. 552. Voy. CONFESSION D'AUGSBOURG. - Il est tué dans une bataille donnée en Suisse entre les cantons catholiques et les cantons protestants, où les derniers, quoique plus forts, sont vaincus. 574.
ZUINGLIENS (les) se moquent des équivoques de Bucer, et ne veulent point entendre parler de miracles et de toute-puissance de Dieu dans l'Eucharistie. V, 582.- Ceux de Pologne disent, dans leur accord avec les luthériens et les bohémiens, que le corps de J.-C. est substantiellement présent dans l'Eucharistie. VI, 70.
FIN DE LA TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.
II. De madame Guyon à dom Grégoire Bouvier, chartreux, son frère. Sur les prétendus effets mer- veilleux que Dieu produit en elle et par elle; ses sentiments sur l'abandon. ...
III. De madame Guyon à Bossuet. Elle lui témoi- gne une grande opposition à toute erreur, et une parfaite soumission au jugement qu'il portoit de ses écrits....
IV. De madame Guyon à Bossuet. Elle lui demande qu'il ne prenne conseil que de Dieu dans l'examen de ses écrits. Ecrit de madame Guyon, qui accompagnoit sa let- tre. La main du Seigneur n'est pas accourcie! . V. De madame Guyon à Bossuet. Tout en montrant une grande déférence pour le prélat, elle tâche de le faire entrer dans ses sentiments. . . . . ibid. VI. De madame Guyon à Bossuet. Elle s'assure de
son desir de connoître la vérité par son canal; et lui demande de conférer avec lui.
VII. De madame Guyon à Bossuet. Sur son desir sincère d'être éclairée, et sa pleine confiance aux lumières du prélat.
VIII. De madame Guyon à Bossuet, écrite le soir même du jour de l'entrevue. Elle manifeste ses dis- positions, et aime à se persuader que le prélat en- trera dans ses sentiments.
XIII. De madame Guyon à Bossuet. Elle répond à la lettre du prélat; et en affectant une grande soumission à sa décision, elle cherche à justifier tous ses sentiments.
XIV. De madame Guyon à madame de Maintenon. Elle la pris de lui faire donner des commissaires pour juger de sa vie et de ses mœurs. Mémoire de madame Guyon, envoyé par elle à Bos- suet, avec la copie de la lettre précédente. . . . ibid. XV. De madame Guyon à MM. Bossuet, évêque de Meaux; de Noailles, évêque de Chalons, et Tron- supérieur du séminaire de Saint-Sulpice, choisis pour examiner les livres et les états de madame Guyon. Elle les sollicite d'entrer dans l'examen de ses mœurs, et s'étend sur les préven- tions qu'on avoit, disoit-elle, contre sa per-
XVI. De madame Guyon à Bossuet. Elle lui de- mande que les droits de l'oraison soient conservés. XVII. De madame Guyon à Bossuet. Elle lui envoie la justification de ses écrits, et le prie d'en juger plutôt par les sentiments du cœur que par les lu- mières de l'esprit. . .
XVIII. De l'abbé de Fénelon à Bossuet. Sur les écrits qu'il préparoit pour justifier madame Guyon... XIX. De l'abbé de Fénelon à Bossuet. Il lui témoigne la soumission la plus aveugle à tout ce qu'il déci- dera...
12 XX. De l'abbé de Fénelon à Bossuet. Il lui parle de l'affaire qu'il avoit avec l'abbaye de Rebais, et le presse de lui déclarer tout ce qu'il croiroit devoir exiger de lui touchant le quiétisme. . . . . ... . ibid. XXI. De l'abbé de Fénelon à Bossuet. Il le presse de lui faire counoître ses erreurs, s'il s'est égaré; et lui proteste de se soumettre, sans hésiter, à tout ce qu'il décidera..
XXII. De madame Guyon à Bossuet. Sur son dé- part pour le monastère de la Visitation à Meaux, où elle devoit se retirer. 14 XXIII. De madame Guyon à Bossuet. Elle accepte les offres du prélat, relatives à son entrée dans un monastère de la ville de Meaux, et lui propose de se charger de la confesser XXIV. De l'abbé de Fénelon à Bossuet. Il lui témoi- gne le plus grand empressement pour être instruit, s'il s'est trompé, et le prie de ne s'arrêter à au- cunes considérations humaines. . XXV. De l'abbé de Fénelon à Bossuet. Il le prie de retrancher de l'un des Articles dressés à Issy une assertion qu'il ne croit pas pouvoir souscrire par persuasion.
XI. De madame Guyon à Bossuet. Sur une certaine union qu'elle se sentoit, disoit-elle, portée à avoir avec l'ame du prélat. . . . XII. De Bossuet à madame Guyon. Il lui marque tout ce qu'il pense de ses états et de ses écrits, lui en fait sentir l'illusion, combat ses fausses maximes sur la prière et les actes réfléchis, et travaille avec beaucoup de charité à la désabuser de ses erreurs. ibid.
XXVI. De l'abbé de Fénelon à Bossuet. Sur quel-
53 XLIII. Des religieuses de la Visitation de Meaux, à madame Guyon. Elles lui témoignent leur es- time, et se recommandent à ses prières. . . . . .
34 XLIV. Du P. Lacombe à madame Guyon. Il lui
témoigne le plus grand empressement de la voir,
lui marque les moyens qu'elle pourroit prendre
pour cacher sa marche, et rester inconnue dans
le lieu qu'il habitoit.
... ibid.
XLV. Du P. La Combe à madame Guyon. Sur les délais de son voyage, le desir qu'auroient de la voir toutes les personnes qui lui étoient attachées; et sur son explication de l'Apocalypse.
ques passages des mystiques dont il s'autorisoit, et sur l'excitation qu'il excluoit dans l'état de quiétude... XXVII. De l'abbé de Fenelon à Bossuet. Sur son affaire avec l'archevêque de Reims, et sa profes- sion de foi pour obtenir ses bulles. . . . Déclaration de madame Guyon, où elle proteste ètre innocente des abominations dont on l'accuse. . . ibid. XXVIII. Extrait d'une lettre du cardinal Le Camus. Sur la conduite de madame Guyon dans son dio- cèse et dans les environs.. . . . . ibid. XXIX. De dom Richebraque, bénédictin, au duc de Chevreuse. Il assure qu'il n'a jamais fait de plaintes de madame Guyon, et qu'il n'a entendu dire que du bien de sa conduite. . . . XXX. Du même à madame Guyon. Sur le même sujet. . . .
XXXI. Du duc de Cherreuse à dom Richebraque. Il demande à ce religieux de nouveaux éclaircisse- ments sur divers faits concernant madame Guyon. ibid. XXXII. De dom Richebraque au duc de Chevreuse. Il donne au duc les détails qu'il lui demandoit sur la conduite de madame Guyon. . . XXXIII. De Bossuet à M. Tronson, supérieur du séminaire de Saint-Sulpice. Il lui envoie son Or- donnance pour la publication des Articles d'Issy, et lui parle de madame Guyon. XXXIV. De Bossuet à M. de La Broue, évêque de Mirepoix. Il lui marque combien il est peu sensi- ble aux mécontentements de M. de Harlay, arche- vèque de Paris; et parle de son Instruction sur les États d'oraison.. . .
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