Histoire des campagnes de 1814 et 1815, en France, Volume 2Chez A. de Gastel, 1826 |
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Histoire des campagnes de 1814 et 1815, en France, Volume 2 Frédéric Guillaume de Vaudoncourt Affichage du livre entier - 1826 |
Histoire des Campagnes de 1814 et 1815, en France, Volume 2 Frédéric Baron GUILLAUME DE VAUDONCOURT Affichage du livre entier - 1826 |
Expressions et termes fréquents
Arcis armée arriva attaque ayant bataille bataille de Laon bataillons batteries Bery-au-Bac bouches à feu brigade Bülow cavalerie du général cents hommes Châlons Clacy colonel colonne combat Corbeny corps d'York corps de Giulay corps de Kleist corps de Langeron corps de Rajewski corps de Sacken corps de Wrede cosaques cuirassiers déboucher derrière devait diriger division Boyer division Friant duc de Castiglione duc de Dalmatie duc de Raguse duc de Reggio duc de Tarente duc de Trévise ennemie escadrons Fetieux flanc forces garde nationale gauche général Belliard général Compans général Pacthod général Pahlen Giulay hauteurs Katzler l'Aîne l'armée française l'attaque l'Aube l'avant-garde l'empereur Napoléon l'ennemi l'Ourcq Laon ligne maréchal Blücher Marne Meaux mille hommes Moskowa Napoléon néral occuper Oulchy Pantin passer pont pouvait prince de Schwarzenberg prince royal prit position prussienne reçut l'ordre Reims replia resta retraite réunir route russe s'avança Sezanne soir Soissons tirailleurs troupes Troyes vint Vitry Woronzow
Fréquemment cités
Page 284 - Ce jour-là, l'empereur de Russie, le roi de Prusse et le prince de Schwarzenberg...
Page 97 - Le général Gérard fut chargé de défendre la position de St.-Parre-aux-Tertres, d'abord et la ville de Troyes ensuite, assez de temps pour que le i I e corps ait celui de retirer ses trouves avancées de Maisons-Blanches, et de dépasser la ville.
Page 162 - C'était une injustice, parce que le colonel ne pouvait pas arrêter Beresford, et que le général Picton ne passa la rivière, que lorsque son collègue fut à sa hauteur.
Page 164 - Alors l'armée courait le risque d'être acculée en masse sur la route de Pau, sans pouvoir prendre position nulle part. On dit que le duc de Dalmatie , cédant aux représentations de ses généraux , et notamment du général d'Erlou, avait •résolu de refuser la bataille.
Page 164 - La droite était en l'air et tout-à-fait en dehors de la ligne de retraite. Si cette droite, que l'ennemi pouvait déborder, était forcée, l'armée refoulée de droite à gauche , se trouvait en tassée sur les hauteurs d'Orthez.