Œuvres, Volume 2Compagnie des Libraires, 1767 |
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Page 12
... fans vonuloir te charger d'autres foins , Voi fi je puis bientôt lui parler fans témoins . SCENE I I I. ANTIOCHUS feul . HE bien , Antiochus , es - tu toujours le même ? Pourrai - je . fans trembler , lui dire , je vous aime ? Mais quoi ...
... fans vonuloir te charger d'autres foins , Voi fi je puis bientôt lui parler fans témoins . SCENE I I I. ANTIOCHUS feul . HE bien , Antiochus , es - tu toujours le même ? Pourrai - je . fans trembler , lui dire , je vous aime ? Mais quoi ...
Page 13
... fans lui déplaire ! Retirons - nous , fortons ; & , fans nous découvrir , Allons loin de fes yeux l'oublier , ou mourir .... Hé quoi , fouffrir toujours un tourment qu'elle ignore ? Toujours verfer des pleurs qu'il faut que je dévore ...
... fans lui déplaire ! Retirons - nous , fortons ; & , fans nous découvrir , Allons loin de fes yeux l'oublier , ou mourir .... Hé quoi , fouffrir toujours un tourment qu'elle ignore ? Toujours verfer des pleurs qu'il faut que je dévore ...
Page 14
... fans témoins , je ne lui puis parler ? ARSAC E. Vous la verrez , Seigneur ; Bérénice est instruite Que vous voulez ici la voir feule , & fans suite . La Reine , d'un regard , a daigné m'avertir Qu'à votre empreffement elle alloit ...
... fans témoins , je ne lui puis parler ? ARSAC E. Vous la verrez , Seigneur ; Bérénice est instruite Que vous voulez ici la voir feule , & fans suite . La Reine , d'un regard , a daigné m'avertir Qu'à votre empreffement elle alloit ...
Page 15
... fans doute , & c'est avec justice . Quoi ! depuis fi long - temps la Reine Bérénice Vous arrache , Seigneur , du sein de vos Etats , Depuis trois ans dans Rome elle arrête vos pas Et lorfque cette Reine , affurant fa conquête , Vous ...
... fans doute , & c'est avec justice . Quoi ! depuis fi long - temps la Reine Bérénice Vous arrache , Seigneur , du sein de vos Etats , Depuis trois ans dans Rome elle arrête vos pas Et lorfque cette Reine , affurant fa conquête , Vous ...
Page 17
... fans péril , nos affauts inutiles . Le bélier impuiffant les menaçoit en vain . Vous feul , Seigneur , vous feui , une échelle à la main , Vous portâtes la mort jufques fur leurs murailles . Ce jour prefque éclaira vos propres ...
... fans péril , nos affauts inutiles . Le bélier impuiffant les menaçoit en vain . Vous feul , Seigneur , vous feui , une échelle à la main , Vous portâtes la mort jufques fur leurs murailles . Ce jour prefque éclaira vos propres ...
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Expressions et termes fréquents
Achille Acomat affez AGAMEMNON Ainfi amant Amurat ANTIOCH ANTIOCH US ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARICIE ARSACE ATALID auffi avoit BAJAZE Bajazet Bérénice c'eft c'eſt Calchas ceffe cher Ciel CLYTEM NESTRE crime cruel deffein déja Dieux difcours dis-je diſcours douleur enfin époux ERIPHILE eſt étoit fang fans favez fecours fecret feul filence fille fils foible foins foit fon amour fon cœur fon père foupirs fuis fuite fuivi funefte funeſte fureur gloire grace Grecs haine Hélas Hippolyte hymen IPHIGÉNIE j'ai jour jufte l'amour laiffe larmes lieux loix long-temps m'en Madame main malheur MITHRIDATE moi-même MONIM mort Mycène n'eft n'eſt OSMIN paffé PAULIN penſée perfide Pharnace Phédre Phénice plaifir pleurs préfente preffe préſence Prince puiffe puis-je raiſon refpect refte Reine reſte Romains Rome ROXAN s'eft Seigneur ſes ſon Sultan Théfée TITUS Tragédie Trézène trifte trouble vaiffeaux vais veux vœux vois vous-même Xipharès yeux ZAÏRE ZATIM
Fréquemment cités
Page 333 - Il sait votre dessein; jugez de ses alarmes. Ma mère est devant vous ; et vous voyez ses larmes. Pardonnez aux efforts que je viens de tenter Pour prévenir les pleurs que je leur vais coûter.
Page 399 - Oui, Prince, je languis, je brûle pour Thésée. Je l'aime, non point tel que l'ont vu les enfers. Volage adorateur de mille objets divers, Qui va du Dieu des morts déshonorer la couche"; Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche.
Page 194 - Prêts à vous recevoir, mes vaisseaux vous attendent ; Et du pied de l'autel vous y pouvez monter, ' Souveraine des mers qui vous doivent porter.
Page 443 - Cependant sur le dos de la plaine liquide S'élève à gros bouillons une montagne humide: L'onde approche, se brise et vomit à nos yeux Parmi des flots d'écume un monstre furieux Son front large est armé de cornes menaçantes Tout son corps est couvert d'écaillés jaunissantes, Indomptable taureau, dragon impétueux...
Page 394 - La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite; Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte.
Page 431 - Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Page 249 - J'ai pris soin de m'armer contre tous les poisons; J'ai su, par une longue et pénible industrie, Des plus mortels venins prévenir la furie : Ah ! qu'il eût mieux valu, plus sage et plus heureux, Et repoussant les traits d'un amour dangereux, Ne pas laisser remplir d'ardeurs empoisonnées Un cœur déjà glacé par le froid des années ! De ce trouble fatal par où dois-je sortir?
Page 222 - Capitole où j'étais attendu : Détruisons ses honneurs , et faisons disparaître La honte de cent rois , et la mienne peut-être ; Et , la flamme à la main , effaçons tous ces noms Que Rome y consacrait à d'éternels affronts.
Page 335 - Voilà par quels témoins il fallait me prouver, Cruel, que votre amour a voulu la sauver. Un oracle fatal ordonne qu'elle expire. Un oracle dit-il tout ce qu'il semble dire? Le ciel, le juste ciel, par le meurtre honoré, Du sang de l'innocence est-il donc altéré?
Page 36 - Beauté, gloire, vertu , je trouve tout en elle. Depuis cinq ans entiers chaque jour je la vois , Et crois toujours la voir pour la première fois.