Oeuvres de M. Gresset, Volume 1Libraires associés, 1805 |
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... dernier règne et la Nation , et porté à un si haut degré de splendeur l'Eloquence et la Poésie , ainsi que la pureté , l'énergie , et l'élégance de la Langue Française , devenue par eux la Langue de l'Europe . Différens dans leurs ...
... dernier règne et la Nation , et porté à un si haut degré de splendeur l'Eloquence et la Poésie , ainsi que la pureté , l'énergie , et l'élégance de la Langue Française , devenue par eux la Langue de l'Europe . Différens dans leurs ...
Page 27
... dernier soupir ; Ce doux excès hâtant sa destinée , Du tendre Amour victime fortunée , Il expira dans le sein du plaisir . On admiroit ses paroles dernières . Vénus enfin , lui fermant les paupières . Dans l'Elysée , et les sacrés ...
... dernier soupir ; Ce doux excès hâtant sa destinée , Du tendre Amour victime fortunée , Il expira dans le sein du plaisir . On admiroit ses paroles dernières . Vénus enfin , lui fermant les paupières . Dans l'Elysée , et les sacrés ...
Page 43
... dernier ; l'aventure est notoire . Par cas fortuit , l'Enfant de Choeur Luca Avoit usé l'étui du Pays - bas : Vous m'entendez , sa culotte trop mûre Le trahissoit par mainte découpure ; Déjà la breche augmentant tous les jours ...
... dernier ; l'aventure est notoire . Par cas fortuit , l'Enfant de Choeur Luca Avoit usé l'étui du Pays - bas : Vous m'entendez , sa culotte trop mûre Le trahissoit par mainte découpure ; Déjà la breche augmentant tous les jours ...
Page 98
... dernier mérite : Que de dégoûts l'investiront ailleurs ! Dans tous les lieux où l'errante fortune L'entraînera sous ses pénibles fers , Il essuîra la contrainte importune De l'entretien de mille sots divers , Qui , prévenus de cette ...
... dernier mérite : Que de dégoûts l'investiront ailleurs ! Dans tous les lieux où l'errante fortune L'entraînera sous ses pénibles fers , Il essuîra la contrainte importune De l'entretien de mille sots divers , Qui , prévenus de cette ...
Page 125
... dernier printems , Et dure autant que ces rivages : Au chêne , au cèdre fastueux Laisse les tristes avantages D'orner des palais somptueux : Les lambris couvrent les faux sages , Tes rameaux couvrent les heureux . Tandis qu'instruit par ...
... dernier printems , Et dure autant que ces rivages : Au chêne , au cèdre fastueux Laisse les tristes avantages D'orner des palais somptueux : Les lambris couvrent les faux sages , Tes rameaux couvrent les heureux . Tandis qu'instruit par ...
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Expressions et termes fréquents
accens aimable airs Amours Anacréon Apollon Arts asyle auroit Autels avoit beauté beaux jours Bergers bois bonheur bords brillant Cagots champêtre champs chansons chanter chassez ma tendresse cher Ciel Cieux cœur CORYDON DAMETE Daphnis destin Dieu Dieux disgrace douceur doux Eglogue encens ennuyeux esprit étoient étoit fêtes fidèle fleurs foible fuit Gallus gloire goût hameaux hautbois Hélicon Héros hêtres heureux immortelle j'ai jeune jeux l'aimable l'ame l'Amour l'art l'Univers lauriers lieux loin long-tems Lycoris lyre malheurs Mantoue MÉLIBÉE MÉNALQUE MOPSUS mortels Muse myrthes n'étoit nouveaux Nymphes Oiseau ombres paisible par-tout Parnasse Pasteurs Perroquet Phébus plaisir plaisirs pleurs Poésie Poëte printems Puissance enchanteresse qu'un Ramenez mon Berger regrets rien rimes rivage rives Sage sang des Héros séjour sentimens seul silence Silène Sœurs soins sombres sort soupirs Styx Syrinx talens Temple tems tendre Thrace TITYRE tombeau tranquille triste Trône Troupeaux TYRSIS vainqueur vallons VER-VERT vertu Virgile vœux vois voix yeux Zéphyrs
Fréquemment cités
Page 6 - Qu'aux fronts ornés de pompons et dentelles. Ainsi qu'il est pour le monde et les cours Un art , un goût de modes et d'atours , II est aussi des modes pour le voile ; II est un art de donner d'heureux tours A l'étamine, à la plus simple toile.
Page 49 - S'élève un antre aérien , Un astrologique ermitage , Qui paroît mieux, dans le lointain. Le nid de quelque oiseau sauvage Que la retraite d'un humain. C'est pourtant de cette guérite , C'est de ce céleste tombeau , Que votre ami, nouveau stylite, A la lueur d'un noir flambeau , Penché sur un lit sans rideau , Dans un déshabillé d'ermite, Vous griffonne aujourd'hui sans fard...
Page 4 - Pas n'est besoin, je pense, de décrire Les soins des sœurs, des nonnes , c'est tout dire ; Et chaque mère, après son directeur, N'aimait rien tant : même dans plus d'un cœur, Ainsi l'écrit un chroniqueur sincère , Souvent l'oiseau l'emporta sur le père.
Page 19 - D'un air auguste , en fille intérieure , Voulut parler à l'oiseau libertin , Pour premiers mots et pour toute réponse , Nonchalamment, et d'un air de dédain , Sans bien songer aux horreurs qu'il prononce, Mon gars répond, avec un ton faquin : « Par la corbleu ! que les nonnes sont folles ! » L'histoire dit qu'il avait en chemin , D'un de la troupe entendu ces paroles.
Page 134 - Tout nous appelle aux champs ; le printemps va renaître, Et j'y vais renaître avec lui. Dans cette retraite chérie De la Sagesse et du Plaisir, Avec quel goût je vais cueillir La première épine fleurie...
Page 1 - D'un noble oiseau la touchante disgrâce, Soyez ma muse, échauffez mes accents, Et prêtez-moi ces sons intéressants, Ces tendres sons que forma votre lyre Lorsque Sultane, au printemps de ses jours. Fut enlevée à vos tristes amours, Et descendit au ténébreux empire. De mon héros les illustres malheurs Peuvent aussi se promettre vos pleurs. Sur sa vertu par le sort traversée, Sur son voyage et ses longues erreurs, On...
Page 133 - Quand, revenant au jour, je me vis délivré ! Je trompai le trépas , ainsi qu'une victime Que frappe un bras mal assuré; Inutilement poursuivie , Et plus forte par la douleur, Elle arrache , en fuyant , les restes de sa vie Aux coups du sacrificateur.
Page 135 - Les plus simples objets, le chant d'une fauvette, Le matin d'un beau jour, la verdure des bois, La fraîcheur d'une violette, Mille spectacles, qu'autrefois Ou voyoit avec nonchalance, Transportent aujourd'hui ; présentent des appas Inconnus à l'indifférence, Et que la foule ne voit pas.
Page 49 - II est un édifice immense Où dans un loisir studieux Les doctes arts forment l'enfance Des fils des héros et des dieux : Là , du toit d'un cinquième étage Qui domine avec avantage Tout le climat grammairien , S'élève un antre aérien , Un astrologique ermitage , Qui paroît mieux, dans le lointain.
Page 2 - Non moins dévot, plus malheureux que lui : Mais trop de vers entraînent trop d'ennui. Les muses sont des abeilles volages ; Leur goût voltige , il fuit les longs ouvrages, Et, ne prenant que la fleur d'un sujet, Vole bientôt sur un nouvel objet.