Oeuvres de M. Gresset, Volume 1Libraires associés, 1805 |
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... l'amour de l'in- térêt commun , n'aient heureusement contribué aux progrès particuliers de tant de grands hommes qui ont illustré le dernier règne et la Nation , et porté à un si haut degré de splendeur l'Eloquence et la Poésie , ainsi ...
... l'amour de l'in- térêt commun , n'aient heureusement contribué aux progrès particuliers de tant de grands hommes qui ont illustré le dernier règne et la Nation , et porté à un si haut degré de splendeur l'Eloquence et la Poésie , ainsi ...
Page xiii
... l'augure et l'honneur de le justifier . Quelle époque plus favorable pour former cet heureux présage , qui m'est bien moins suggéré par le téméraire espoir de le remplir que par mon amour pour les Arts , et par ceux qui m'écoutent , et ...
... l'augure et l'honneur de le justifier . Quelle époque plus favorable pour former cet heureux présage , qui m'est bien moins suggéré par le téméraire espoir de le remplir que par mon amour pour les Arts , et par ceux qui m'écoutent , et ...
Page xiv
... amour dont nous sommes pénétrés pour notre Monarque auguste ! La postérité célébra comme nous ses vertus : et dans les siècles suivans , tous ceux qui , dans un jour semblable , rendront ici , comme moi , premier hommage à l'Académie ...
... amour dont nous sommes pénétrés pour notre Monarque auguste ! La postérité célébra comme nous ses vertus : et dans les siècles suivans , tous ceux qui , dans un jour semblable , rendront ici , comme moi , premier hommage à l'Académie ...
Page xxiii
... Epître à ma Sour 7136 Epître à M. Orry , 146 Vers sur la Tragédie d'Alzire , 149 Vers sur des Tableaux , 150 Le Siècle Pastoral , Idylle , 154 Ode I. au Roi , sur la guerre , 160 Ode II . sur l'amour de la Patrie , Ode TABLE.
... Epître à ma Sour 7136 Epître à M. Orry , 146 Vers sur la Tragédie d'Alzire , 149 Vers sur des Tableaux , 150 Le Siècle Pastoral , Idylle , 154 Ode I. au Roi , sur la guerre , 160 Ode II . sur l'amour de la Patrie , Ode TABLE.
Page xxiv
Gresset. Ode II . sur l'amour de la Patrie , Ode III . à M. le Duc de S. Aignan , Ode IV . à M. l'Archevêque de Tours , Ode V. sur la Canonisation des SS . Kostka , et Louis de Gonzague , 169 176 182 Stanislas 186 Ode VI . à une Dame sur ...
Gresset. Ode II . sur l'amour de la Patrie , Ode III . à M. le Duc de S. Aignan , Ode IV . à M. l'Archevêque de Tours , Ode V. sur la Canonisation des SS . Kostka , et Louis de Gonzague , 169 176 182 Stanislas 186 Ode VI . à une Dame sur ...
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Expressions et termes fréquents
accens aimable airs Amours Anacréon Apollon Arts asyle auroit Autels avoit beauté beaux jours Bergers bois bonheur bords brillant Cagots champêtre champs chansons chanter chassez ma tendresse cher Ciel Cieux cœur CORYDON DAMETE Daphnis destin Dieu Dieux disgrace douceur doux Eglogue encens ennuyeux esprit étoient étoit fêtes fidèle fleurs foible fuit Gallus gloire goût hameaux hautbois Hélicon Héros hêtres heureux immortelle j'ai jeune jeux l'aimable l'ame l'Amour l'art l'Univers lauriers lieux loin long-tems Lycoris lyre malheurs Mantoue MÉLIBÉE MÉNALQUE MOPSUS mortels Muse myrthes n'étoit nouveaux Nymphes Oiseau ombres paisible par-tout Parnasse Pasteurs Perroquet Phébus plaisir plaisirs pleurs Poésie Poëte printems Puissance enchanteresse qu'un Ramenez mon Berger regrets rien rimes rivage rives Sage sang des Héros séjour sentimens seul silence Silène Sœurs soins sombres sort soupirs Styx Syrinx talens Temple tems tendre Thrace TITYRE tombeau tranquille triste Trône Troupeaux TYRSIS vainqueur vallons VER-VERT vertu Virgile vœux vois voix yeux Zéphyrs
Fréquemment cités
Page 6 - Qu'aux fronts ornés de pompons et dentelles. Ainsi qu'il est pour le monde et les cours Un art , un goût de modes et d'atours , II est aussi des modes pour le voile ; II est un art de donner d'heureux tours A l'étamine, à la plus simple toile.
Page 49 - S'élève un antre aérien , Un astrologique ermitage , Qui paroît mieux, dans le lointain. Le nid de quelque oiseau sauvage Que la retraite d'un humain. C'est pourtant de cette guérite , C'est de ce céleste tombeau , Que votre ami, nouveau stylite, A la lueur d'un noir flambeau , Penché sur un lit sans rideau , Dans un déshabillé d'ermite, Vous griffonne aujourd'hui sans fard...
Page 4 - Pas n'est besoin, je pense, de décrire Les soins des sœurs, des nonnes , c'est tout dire ; Et chaque mère, après son directeur, N'aimait rien tant : même dans plus d'un cœur, Ainsi l'écrit un chroniqueur sincère , Souvent l'oiseau l'emporta sur le père.
Page 19 - D'un air auguste , en fille intérieure , Voulut parler à l'oiseau libertin , Pour premiers mots et pour toute réponse , Nonchalamment, et d'un air de dédain , Sans bien songer aux horreurs qu'il prononce, Mon gars répond, avec un ton faquin : « Par la corbleu ! que les nonnes sont folles ! » L'histoire dit qu'il avait en chemin , D'un de la troupe entendu ces paroles.
Page 134 - Tout nous appelle aux champs ; le printemps va renaître, Et j'y vais renaître avec lui. Dans cette retraite chérie De la Sagesse et du Plaisir, Avec quel goût je vais cueillir La première épine fleurie...
Page 1 - D'un noble oiseau la touchante disgrâce, Soyez ma muse, échauffez mes accents, Et prêtez-moi ces sons intéressants, Ces tendres sons que forma votre lyre Lorsque Sultane, au printemps de ses jours. Fut enlevée à vos tristes amours, Et descendit au ténébreux empire. De mon héros les illustres malheurs Peuvent aussi se promettre vos pleurs. Sur sa vertu par le sort traversée, Sur son voyage et ses longues erreurs, On...
Page 133 - Quand, revenant au jour, je me vis délivré ! Je trompai le trépas , ainsi qu'une victime Que frappe un bras mal assuré; Inutilement poursuivie , Et plus forte par la douleur, Elle arrache , en fuyant , les restes de sa vie Aux coups du sacrificateur.
Page 135 - Les plus simples objets, le chant d'une fauvette, Le matin d'un beau jour, la verdure des bois, La fraîcheur d'une violette, Mille spectacles, qu'autrefois Ou voyoit avec nonchalance, Transportent aujourd'hui ; présentent des appas Inconnus à l'indifférence, Et que la foule ne voit pas.
Page 49 - II est un édifice immense Où dans un loisir studieux Les doctes arts forment l'enfance Des fils des héros et des dieux : Là , du toit d'un cinquième étage Qui domine avec avantage Tout le climat grammairien , S'élève un antre aérien , Un astrologique ermitage , Qui paroît mieux, dans le lointain.
Page 2 - Non moins dévot, plus malheureux que lui : Mais trop de vers entraînent trop d'ennui. Les muses sont des abeilles volages ; Leur goût voltige , il fuit les longs ouvrages, Et, ne prenant que la fleur d'un sujet, Vole bientôt sur un nouvel objet.