Les chefs-d'oeuvre lyriques de Pierre de Ronsard et de son écoleA. Perche, 1907 - 131 pages |
Expressions et termes fréquents
Adieu Agrippa d'Aubigné alouette Amadis Jamyn âme amoureux avecques Baïf baiser Bartas beauté Bellay belle Belleau Boileau bois Bonport bouche Cassandre Catherine de Médicis Catherine des Roches chanson chante cher ciel cieux cœur déesse Desportes Diane Dieu dieux divin donne Dorat douce douceur doux écrivit enfant esprit Estienne Estienne Pasquier fais fleurettes fleurs fontaine forêts fureur gloire Henri heureux hommes honneur J'ai jamais JEAN PASSERAT Jean Salviati jeune jeunesse Joachim du Bellay Jodelle jour l'amour l'un langue laurier lierre lyre lyrique main maître maîtresse Malherbe Mathurin Régnier mignonne mille misérable monde mort mourir Muses nymphes Odes œuvre oiseaux Olivier de Magny Ores passer pense père Philippe Desportes Pierre de Ronsard plaisir plein pleurs poèmes poésie poète poétique pré printemps qu'un raison Remy Belleau rime Robert Garnier rois roses sainte sens sera seul siècle sinon soleil sommeil sonnet souci soupirs Symbole d'Athanase terre Vénus verdure verts veux vois voix Zéphire
Fréquemment cités
Page 6 - Heureux qui, comme Ulysse*, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy là qui conquit la toison*, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge...
Page 1 - A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vostre pareil. Las ! voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place Las, las, ses...
Page 1 - SI notre vie est moins qu'une journée En l'éternel, si l'an qui fait le tour Chasse nos jours sans espoir de retour, Si périssable est toute chose née, Que songes-tu, mon âme emprisonnée ? Pourquoi te plaît l'obscur de notre jour, Si pour voler en un plus clair séjour Tu as au dos l'aile bien empennée...
Page 1 - Au futur importun, qui les talons luy trace. Ce qui fut, se refait ; tout coule, comme une eau, Et rien dessous le Ciel ne se voit de nouveau, Mais la forme se change en une autre nouvelle, Et ce changement-là, Vivre, au monde s'appelle. Et Mourir, quand la forme en une autre s'en-va. Ainsi, avec Vénus, la Nature trouva Moyen de r'animer, par longs et divers changes, La matière restant, tout cela que tu manges...
Page 7 - Cheutes à terre elles fussent demain. Cela vous soit un exemple certain Que vos beautez bien qu'elles soient fleuries, En peu de temps seront toutes flaitries, Et, comme fleurs, périront tout soudain.
Page 2 - Tu m'as nourry long temps du laict de ta mamelle: Ores, comme un aigneau qui sa nourrice appelle, Je remplis de ton nom les antres et les bois.