| Jacques Bénigne Bossuet - 1748 - 588 pages
...ces vieilles troupes & de leurs braves Officiers , lorfqu'ils virent qu'il n'y avoit plus de falut pour eux qu'entre les bras du vainqueur ? De quels yeux regardèrent-ils le jeune Prince, dont la vi&oire avoit relevé la haute contenance, à qui la clémence ajoûtoit de nouvelles grâces ? Qu'il... | |
| Jacques Bénigne Bossuet (évêque.) - 1754 - 530 pages
...voir égorger ces lions comme de timides brebis , calma; les courages émus ; & joignit au plaifir de vaincre celui de pardonner. Quel fut alors l'étonnement de ces vieilles troupes & de leurs -braves officiers , lorfqulik virent qu'il n'y avoit plus de falut pour de Louis' de Bourbon.... | |
| 1786 - 752 pages
...» égorger ces lions comme de timides brebis . » calma les courages émue, & joignit au plaifir » de vaincre celui de pardonner. Quel fut alors » l'étonnement de ces vieilles troupes Se de leurs » braves officiers , lorfqu'ils virent qu'il n'y avoit » plus de falut pour eux qu'entre... | |
| 1786 - 748 pages
...égorger ces lions comme de timides brebis , « calma les courages émus , & joignit au plaifir » de vaincre celui de pardonner. Quel fut alors » l'étonnement de ces vieilles troupes & de leurs » braves officiers , lorfqu'ils virent qu'il n'y avoit » plus de falut pour eux qu'entre... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1802 - 320 pages
..., qui ne put voir égorger ces lious cemme de timides brebis , calma les conrages émus, et joiguit au plaisir de vaincre celui de pardonner. Quel fut alors l'étonnement de ces vieilles tronpes et de leurs braves officiers, lorsqu'ils virent qu'il n'y avoit plus de salut ponr eux qu'entre... | |
| Louis Joseph de Bourbon prince de Condé - 1806 - 422 pages
...Soldat, jusqu'à ce que le Grand Prinçp, qui ne put voir égorger ces lions comme de timides bi-ebis , calma les courages émus, et joignit au plaisir de...quels yeux regardèrent-ils le jeune Prince, dont la Vic1oire avait relevé la haute contenance, à qui la clémence ajoutait de nouvelles grâces ! Qu'il... | |
| François-Joseph-Marie Fayolle - 1807 - 346 pages
...; le sang enivre le soldat, jusqu'à ce que le vainqueur , qui ne put voir égorger ces lions comme de timides brebis, calma les courages émus, et joignit au plaisir de vaincre celui de pardonner .... Le prince fléchit le genou, et, dans le champ de bataille, il rend au Dieu des armées la gloire... | |
| Jean François Michel Noël - 1808 - 624 pages
...le sang enivre le soldat, jusqu'à ce que ce grand prince , qui ne put voir égorger ces lions comme de timides brebis, calma les courages émus, et joignit...lorsqu'ils virent qu'il n'y avait plus de salut pour eux que dans les bras du vainqueur ! De quels yeux regardèrent-ils le jeune prince , dont la victoire... | |
| Moustalon - 1810 - 512 pages
...enivre le soldat, jusqu'à ce » que ce grand prince , qui ne put voir égor» ger ces lions comme de timides brebis, calma » les courages émus , et...leurs braves officiers, lorsqu'ils virent qu'il » n'y avoit plus de salut pour eux qu'entre les » bras de leur vainqueur î De quels yeux re» gardèrent-ils... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1810 - 386 pages
...le. sang enivre le soldat, jusqu'à ce que le grand prince, qui ne put voir égorger ces lions comme de timides brebis, calma les courages émus., et joignit...plaisir de vaincre celui de pardonner. Quel fut alors Pétonnement de ces vieilles troupes et de leurs braves officiers , lorsqu'ils virent qu'il n'y avoit... | |
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