Études sur l'histoire de l'humanité: Le christianisme

Couverture
Meline, Cans et compagnie, 1863
 

Autres éditions - Tout afficher

Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page 234 - Gengiskan, qui ont dévasté l'Asie; et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens que la nature humaine ne sauroit assez reconnoître.
Page 100 - Venez, les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ; j'étais nu, et vous m'avez revêtu ; j'étais malade , et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venu à moi.
Page 183 - Mais s'ils ne peuvent pas garder la continence, qu'ils se marient; car il vaut mieux se marier que de brûler.
Page 151 - Fils de l'homme, qui viendra sur les nuées du ciel avec une grande puissance et une grande majesté.
Page 95 - Mais moi je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent ; faites du bien à ceux qui vous haïssent...
Page 62 - Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent ; faites du bien à ceux qui vous haïssent et priez pour ceux qui vous outragent et qui vous persécutent...
Page 139 - Si tout le corps était œil, où serait l'ouïe? S'il était tout ouïe, où serait l'odorat?
Page 407 - Si l'on veut lire l'admirable ouvrage de Tacite sur les mœurs des Germains ' , on verra que c'est d'eux que les Anglais ont tiré l'idée de leur gouvernement politique. Ce beau système a été trouvé dans les bois.
Page 100 - Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume qui vous a été préparé depuis la fondation du monde. Car j'ai eu faim et vous m'avez donné à manger, j'ai eu soif et vous m'avez donné à boire, j'étais un étranger et vous m'avez accueilli, nu et vous m'avez vêtu, malade et vous m'avez visité, prisonnier et vous êtes venus me voir».
Page 91 - ... du reste des hommes. Ils n'ont jamais développé ni le bienfait de la création, ni la puissance du Créateur, ni l'amour de préférence sur nous-mêmes qui lui est dû. Ainsi , en parcourant toutes les nations de la terre dans les anciens temps...

Informations bibliographiques