Musée des familles: lectures du soir, Volume 21Bureaux du Musée des Familles, 1853 |
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Expressions et termes fréquents
appelait arrive assez aurait avaient avant beau belle Blanche c'était cent Charles charmante cher chercher cheval chose côté coup cour demande dernier Dessin devant Dieu dire disait dit-il donner doute enfants enfin eût faisait famille femme fille fils fleurs force forme garde général gens haut Henri heures homme j'ai jeune jouer jour jusqu'à l'autre l'homme l'un laisser lettre lieu livre Louis lui-même main maison maître malheureux mari ment mère mieux milieu mille mois monde monsieur montre mort n'avait n'en n'était nouvelle nuit parler paroles passer pauvre pays peine pendant pensée père petit petite pieds Pierre place plein porte pouvait premier présent pris qu'à qu'un quatre regard répondit reste rien s'en s'était s'il saint sais savant semble sentiment sera seul siècle soir soleil sorte suivant tenait terre tête tombe tour trouve venait vieille vieux vive voici voilà voix voyant vrai yeux
Fréquemment cités
Page 274 - Ma foi, je n'en sais rien... Des Inquisiteurs, d'eux-mêmes. — Outre que ce Conseil est le plus secret qu'il y ait au monde, cet homme n'est pas fait pour en approcher. — Mais c'est peut-être un des espions qu'ils emploient. — A d'autres ! On prendra pour espion un étranger, et cet espion sera vêtu comme un gueux, en faisant une profession assez vile pour être bien payée, et cet espion trahira ses maîtres pour vous, au hasard d'être étranglé...
Page 107 - Aujourd'hui en linge sale, en culotte déchirée, couvert de lambeaux, presque sans souliers, il va la tête basse, il se dérobe, on serait tenté de l'appeler pour lui donner l'aumône. Demain poudré, chaussé, frisé, bien vêtu, il marche la tête haute, il se montre, et vous le prendriez à peu près pour un honnête homme.
Page 273 - Il n'eut pas de peine à reconnaître le trouble terrible de son ami ; il s'informa de ce qui pouvait lui être arrivé. Le président lui rend compte de la visite qu'il avait eue, des papiers brûlés et de l'ordre qu'il avait donné de tenir prête sa chaise de poste pour trois heures du matin; car son dessein était de s'éloigner sans délai d'un séjour où un moment de plus ou de moins pouvait lui être si funeste.
Page 274 - Président, attendez, mon ami, il me vient une idée. Mais... si... par hasard... cet homme... — Eh bien! cet homme? — Si cet homme... oui, cela pourrait bien être, cela est même, je n'en doute plus. — Mais qu'est-ce que cet homme? Si vous le savez, dépêchez-vous vite de me l'apprendre.
Page 273 - Chesterfield se rencontrèrent faisant l'un et l'autre le voyage d'Italie. Ces hommes étaient faits pour se lier promptement; aussi la liaison entre eux. fut-elle bientôt faite. Ils allaient toujours disputant sur les prérogatives des deux nations. Le lord accordait au président que les Français avaient plus d'esprit que les Anglais ; mais qu'en revanche ils n'avaient pas le sens commun.
Page 122 - Je désire que mes cendres reposent sur les bords de la Seine, au milieu de ce peuple français que j'ai tant aimé.
Page 274 - Mais c'est peut-être un des espions qu'ils emploient. — A d'autres ! On prendra pour espion un étranger, et cet espion sera vêtu comme un gueux, en faisant une profession assez vile pour être bien payée, et cet espion trahira ses maîtres pour vous, au hasard d'être étranglé si l'on vous prend et que vous le défériez ; si vous vous sauvez et que l'on soupçonne qu'il vous ait averti ! Chanson que tout cela, mon ami. — Mais qu'est-ce donc que ce peut être? — Je le cherche, mais inutilement.
Page 317 - GASTON. Ne le dites pas si haut, on finirait par le croire. POIRIER. Qu'on le croie ou non, c'est le cadet de mes soucis. Je n'ai aucune prétention à la gentilhommerie. Dieu merci! je n'en fais pas assez de cas pour cela. GASTON.
Page 111 - Rameau : Distillateurs d'accords baroques, Dont tant d'idiots sont férus, Chez les Thraces et les Iroques Portez vos opéras bourrus, etc. On en retrouve du même goût dans le recueil intitulé Portefeuille de Rousseau1, contre l'abbé d'Olivet, qui avait formé un projet de le faire revenir en France.
Page 318 - Gaston de Presles a pris deux drapeaux à Fontenoy? Pourquoi mon grandpère est mort à Quiberon ? C'était pour que M. Poirier fût un jour pair de France et baron!