Étude critique sur le XVIIIe siècle à BordeauxFeret, 1921 - 416 pages |
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Fréquemment cités
Page 323 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 152 - Voltaire', la nation, rassasiée de vers, de tragédies, de comédies, d'opéras, de romans, d'histoires romanesques, de réflexions morales plus romanesques encore, et de disputes théologiques sur la grâce et sur les convulsions, se mit enfin à raisonner sur les blés.
Page 337 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 128 - Chose admirable! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie , fait encore notre bonheur dans celle-ci.
Page 189 - La force ne peut jamais persuader les hommes, elle ne fait que des hypocrites. Quand les rois se mêlent de religion, au lieu de la protéger ils la mettent en servitude.
Page 189 - Accordez à tous la tolérance civile , non en approuvant tout comme indifférent , mais en souffrant avec patience tout ce que Dieu souffre , et en tâchant de ramener les hommes par une douce persuasion.
Page 180 - Généraux un nouveau plan d'éducation nationale; qu'au lieu de cette ancienne méthode pratiquée dans nos collèges, qui consume les premières années de l'homme dans l'étude aride d'une langue morte, il soit établi des maisons d'instruction où la religion, la morale, les...
Page 55 - Roy et plus encore ses ministres de la mesme espèce que les Intendants, peu à peu les multiplièrent, fixèrent leurs généralités, augmentèrent leur pouvoir. Ils s'en servirent peu à peu à balancer, puis à obscurcir, enfin à anéantir celuy des gouverneurs des Provinces, des Commandants en chef et des Lieutenants généraux des Provinces ; à plus forte raison, celui que les Seigneurs considérables par leur naissance et leurs dignités avoient dans leurs terres, et s'estoient acquise dans...
Page 122 - Presque tous les peuples policés habitent dans des maisons. De là est venue naturellement l'idée de bâtir à Dieu une maison où ils puissent l'adorer, et l'aller chercher dans leurs craintes ou leurs espérances. En effet , rien n'est plus consolant pour les hommes qu'un lieu où ils trouvent la Divinité plus présente , et où tous ensemble ils font parler leur foiblesse et leur misère.
Page 55 - Intendants pour en avoir leur avis, qui toujours était suivi à moins d'un miracle fort rare. Ils attirèrent ainsi à eux une autorité sur toutes sortes de matières, qui n'en laissa plus aux seigneurs...