Recueil périodique de la Société de médecine de Paris

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1797
 

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Page 124 - ou des courbures de la colonne vertébrale et de celles des extrémités supérieures et inférieures ; par ANTOINE PORTAI. , Professeur de Médecine au Collège de France, d'Anatomie au Muséum d'Histoire Naturelle, Membre
Page 6 - l'état de siccité, il faut faire évaporer la dissolution dans une bassine d'argent et non dans un vase de verre, car souvent la potasse dissout une portion de silice qui en altère la pureté. On voit par cette opération dont les
Page 322 - instruction sur les soins à donner aux chevaux pour les conserver en santé sur les routes et dans les camps
Page 5 - l'on emploie une forte ébullition. Lorsqu'elle est concentrée jusqu'à un certain point, le sulfate de potasse cristallise et se précipite. On peut aisément le recueillir en plaçant au fond de la marmite une cuiller de fer creuse dans laquelle le sel vient se rendre de lui-même. La forte ébullition est nécessaire pour tenir éloigné l'air
Page 4 - sur la matière qu'elle ne fasse des trous, on y place une petite planche qui s'élève avec l'eau. Il faut avoir soin de placer des cruches ou autres vases pour recevoir la liqueur qui s'écoule par le tube ; et pour que la lessive n'absorbe pas l'acide carbonique contenu dans
Page 4 - on doit boucher légèrement les vases, de manière à empêcher la circulation de l'air extérieur. Il est aussi nécessaire de tenir toujours de l'eau sur le mélange, et on cesse de recueillir lorsqu'elle sort insipide par le tube. Les liqueurs qu'on obtient sont jusqu'à la fin àpeu-près au même degré, car elles s'affoiblissent tout d'un coup, ce qui
Page 4 - alors on ajoute la chaux qui, par son extinction, la porte à cet état ; lorsqu'elle est éteinte, on y mêle la potasse et on forme du tout une bouillie épaisse , qu'on laisse un peu refroidir. On verse ensuite le mélange dans les baquets que l'on recouvre d'eau sur-le-champ, et pour éviter en la
Page 5 - et à la fin elle sert à transporter le sulfate de potasse dans la cuiller. Si l'on veut obtenir la pierre à cautère, on verse la liqueur rapprochée dans une plus petite marmite;, on achève ensuite de
Page 4 - d'avoir des liqueurs foibles. Pour évaporer les eaux, on peut se servir de marmites de fer. On commence par les dernières qui sont un peu plus foibles, pour éviter de tenir les plus
Page 6 - sur la matière encore chaude, et si l'on n'a pas employé une plus grande quantité de ce réactif qu'il n'en faut pour dissoudre la potasse, elle

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