Revue des cours et conférences, Volume 1Boivin., 1908 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 72
Page 5
... coup de m'écrire , il y a deux mois . Cela m'a causé une peine mortelle , et cependant je crois n'avoir aucun tort à me reprocher envers elle . Mais , quoi qu'elle fasse , elle ne pourra m'ôter l'amitié tendre et respectueuse que je lui ...
... coup de m'écrire , il y a deux mois . Cela m'a causé une peine mortelle , et cependant je crois n'avoir aucun tort à me reprocher envers elle . Mais , quoi qu'elle fasse , elle ne pourra m'ôter l'amitié tendre et respectueuse que je lui ...
Page 6
... coup et me causa une angoisse de désespoir absolument insupportable . Quand je fus dans la rue ( il pleuvait beaucoup ) , je fus saisi encore par je ne sais quoi de plus poignant et de plus déchirant que je ne puis l'exprimer . Devais ...
... coup et me causa une angoisse de désespoir absolument insupportable . Quand je fus dans la rue ( il pleuvait beaucoup ) , je fus saisi encore par je ne sais quoi de plus poignant et de plus déchirant que je ne puis l'exprimer . Devais ...
Page 15
... coup . L'amour a toujours le bien pour fin ; nous ne pouvons aimer le mal ; la haine a toujours pour principe un amour contrarié ; le beau c'est le bien dont la connaissance plaît » . Il met au nombre des vertus l'amitié , la vérité ...
... coup . L'amour a toujours le bien pour fin ; nous ne pouvons aimer le mal ; la haine a toujours pour principe un amour contrarié ; le beau c'est le bien dont la connaissance plaît » . Il met au nombre des vertus l'amitié , la vérité ...
Page 22
... coup de poignard donné à Thésée en plein cœur : O soins tardifs et superflus ! Inutile tendresse ! Hippolyte n'est plus . Voilà tout le récit en deux mots : « Hippolyte n'est plus . >> Théramène se garde bien de jeter , tout d'abord ...
... coup de poignard donné à Thésée en plein cœur : O soins tardifs et superflus ! Inutile tendresse ! Hippolyte n'est plus . Voilà tout le récit en deux mots : « Hippolyte n'est plus . >> Théramène se garde bien de jeter , tout d'abord ...
Page 23
... coup par coup , l'infortuné Thésée dont le dieu a trop tôt , hélas ! exaucé la prière . Voilà le sens général et la portée de ce morceau fameux , que je ne puis songer à étudier ici vers par vers . Le récit de Théramène n'est point une ...
... coup par coup , l'infortuné Thésée dont le dieu a trop tôt , hélas ! exaucé la prière . Voilà le sens général et la portée de ce morceau fameux , que je ne puis songer à étudier ici vers par vers . Le récit de Théramène n'est point une ...
Table des matières
7 | |
97 | |
104 | |
113 | |
123 | |
161 | |
169 | |
171 | |
354 | |
362 | |
369 | |
376 | |
402 | |
425 | |
433 | |
442 | |
203 | |
264 | |
312 | |
320 | |
329 | |
337 | |
481 | |
547 | |
557 | |
582 | |
743 | |
786 | |
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
acte assez Boileau bonheur bouchers candidat chant Charles Chênedollé chose classique clubs cœur comédie Composition Corneille cours critique devoir Dieu dire donner ÉMILE FAGUET Esménard esprit Faust française Garnier-Pagès général Génie de l'Homme gouvernement provisoire Histoire homme Homunculus j'ai Jacques Cœur jalousie jour journaux l'amour l'Ecole des Femmes l'Ecole des Maris l'Eglise l'histoire laisse Lamartine latine Ledru-Rollin lettres liberté LICENCE littéraire littérature livre London Louis Blanc Louis Racine Louis XIV lui-même maître Marcel Dieulafoy ment Molière monde morale mort moyens nationale non-bien non-mal œuvres ouvrage ouvriers pape parler Parseval passé passion pensée peuple Phèdre philosophie Pie IX pièce poème poète politique Pradon premier Professeur à l'Université public qu'un question Racine raison République reste Révolution rien Rome saint scène Sénèque sens commun sentiment sera seulement Sganarelle sociale Solon sorte sujet surtout Tartuffe théâtre Théramène Thésée tion Tirso de Molina tragédie trouve véritable veut volonté XVIIe siècle
Fréquemment cités
Page 267 - Cela est vrai, elle a les yeux petits ; mais elle les a pleins de feu, les plus brillants, les plus perçants du monde, les plus touchants qu'on puisse voir.
Page 119 - Ce que je puis assurer, c'est que je n'en ai point fait où la vertu soit plus mise en jour que dans celle-ci. Les moindres fautes y sont sévèrement punies...
Page 23 - L'œil morne maintenant, et la tête baissée, Semblaient se conformer à sa triste pensée. Un effroyable cri, sorti du fond des flots, Des airs en ce moment a troublé le repos ; Et du sein de la terre une voix formidable Répond en gémissant à ce cri redoutable.
Page 119 - Phèdre n'est ni tout à fait coupable, ni tout à fait innocente. Elle est engagée par sa destinée, et par la colère des Dieux , dans une passion illégitime, dont elle a horreur toute la première.
Page 580 - Il disait que rien ne lui donnait du déplaisir comme d'être accusé de regarder quelqu'un dans les portraits qu'il fait; que son dessein est de peindre les mçeurs sans vouloir toucher aux personnes; et que tous les personnages qu'il représente sont des personnages en l'air, et des fantômes proprement, qu'il habille à sa fantaisie pour réjouir les spectateurs; qu'il serait bien fâché...
Page 689 - Le droit consiste dans le fait matériel; tous les devoirs des hommes sont un mot vide de sens, et tous les faits humains ont force de droit. Alloc. Maxima quidem, du 9 juin 1862. LX. L'autorité n'est autre chose que la somme du nombre et des forces matérielles.
Page 539 - Mais, monsieur, aurait répondu le comédien, il me semble qu'un roi qui s'entretient tout seul avec son capitaine des gardes, parle un peu plus humainement, et ne prend guère ce ton de démoniaque.
Page 397 - Rome pour y étouffer la liberté italienne, mais, au contraire, pour la régler, en la préservant contre ses propres excès, et pour lui donner une base solide, en remettant sur le trône pontifical le prince qui, le premier, s'était placé hardiment à la tête de toutes les réformes utiles.
Page 260 - Oui, toujours des marquis. Que diable voulez-vous qu'on prenne pour un caractère agréable de théâtre ? Le marquis aujourd'hui est le plaisant de la comédie; et comme, dans toutes les comédies anciennes, on voit toujours un valet bouffon qui fait rire les auditeurs, de même , dans tontes nos pièces de maintenant , il faut toujours un marquis ridicule qui divertisse la compagnie '. MADEMOISELLE BÉJART.
Page 163 - Leur sexe aime à jouir d'un peu de liberté; On le retient fort mal par tant d'austérité; Et les soins défiants , les verrous et les grilles , Ne font pas la vertu des femmes ni des tilles : C'est l'honneur qui les doit tenir dans le devoir, Non la sévérité que nous leur faisons voir.