 | Louis Mayeul Chaudon, Antoine François Delandine - 1804 - 574 pages
...l'état , prélerablement à toutes choses , même à celui de sa famille , quoiqu'il parût' Taicner trop pour un magistrat: mais il n'eut pas le génie assez élevé pour connoitre d'assez bonne heure le bien qu'il eût pu faire. I! présuma trop de son pouvoir. Il s'imagina... | |
 | Pierre Jean Grosley - 1811 - 424 pages
...l'imagination. Il voulait le bien de l'Etat prcférablement à toutes choses, même à celui de sa famille, quoiqu'il parût l'aimer trop pour un Magistrat ; mais il n'eut pas le génie assez élevé, pour connaître d'assez bonne heure celui qu'il eût pu faire. Il présuma trop de son pouvoir : s'imaginant... | |
 | François Noel - 1812 - 716 pages
...toute chose , même à celui de sa famille, » quoiqu'il parût l'aimer trop pour un magistrat; mais n il n'eut pas le génie assez élevé pour connoître...présuma » trop de son pouvoir. Il s'imagina qu'il modèieroit la » cour et sa compagnie ; il ne réussit ni à l'un ni a » l'autre; il se rendit suspect... | |
 | Jean François Paul de Gondi de Retz - 1817 - 542 pages
...l'imagination. Il voulait le bien de l'Etat préférablement à toutes choses , même à celui de sa famille, quoiqu'il parût l'aimer trop pour un magistrat; mais il n'eut pas le génie assez élevé pour connaître d'assez bonne heure le bien qu'il eût pu faire. Il présuma trop de son pouvoir, il s'imagina... | |
 | 1825 - 464 pages
...l'imagination. Il vouloit le bien de l'Etat préférablement à toutes choses, même à celui de sa famille, quoiqu'il parût l'aimer trop pour un magistrat :...présuma trop de son pouvoir : il s'imagina qu'il modéreroit la cour et sa compagnie. Il ne réussit à l'un ni à l'autre : il se rendit suspect à... | |
 | Jean François Paul de Gondi (card. de Retz.) - 1825 - 458 pages
...l'imagination. Il vouloit le bien de l'Etat préférablement à toutes choses, même à celui de sa famille, quoiqu'il parût l'aimer trop pour un magistrat: mais...présuma trop de son pouvoir : il s'imagina qu'il modéreroit la cour et sa compagnie. Il ne réussit à l'un ni à l'autre : il se rendit suspect à... | |
 | F. Rittiez - 1863 - 480 pages
...l'Etat préférablement à toutes choses, même à celui de sa famille, quoiqu'il parût l'aimer trop; mais il n'eut pas le génie assez élevé pour connoître d'assez bonne heure celui qui eût pu lui en faire. 11 présuma trop de son pouvoir, il s'imagina qu'il modéreroit la... | |
 | Jean François Paul de Gondi de Retz - 1872 - 722 pages
...à toutes choses, même à celui de sa famille, quoiqu'il parût l'aimer trop pour un magistrat 8 ; mais il n'eut pas le génie assez élevé pour connoître d'assez bonne heure celui qu'il eût pu faire. Il présuma trop6 de son pouvoir; il s'imagina qu'il modéreroit la cour... | |
 | Jean François Paul de Gondi de Retz - 1872 - 728 pages
...l'imagination. Il vouloit le bien de l'État préférablement à toutes choses, même à celui de sa famille , quoiqu'il parût l'aimer trop pour un magistrat*;...assez élevé pour connoître d'assez bonne heure celui qu'il eût pu faire. Il présuma trop' de son pouvoir; il s'imagina qu'il modéreroit la cour... | |
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Il présuma trop de son pouvoir; il s'imagina qu'il modérerait la cour et sa compagnie : il ne réussit ni à l'un ni à l'autre. Il se rendit suspect à tous les deux, et ainsi il fit du mal avec de bonnes intentions. La préoccupation... 
