Roi vint donc chez madame de Montespan, comme il avoit été décidé : mais insensiblement il la tira dans une fenêtre ; ils se parlèrent bas assez long-temps, pleurèrent, et se dirent ce qu'on a accoutumé de dire en pareil cas; ils firent ensuite... Nouveau siècle de Louis XIV - Page 45de Claude-Sixte Sautreau de Marsy - 1793Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Madame de Maintenon - 1789 - 240 pages
...une fenêtre ; ils se parlerent bas assez long-tems , pleurerent et se dirent ce qu'on a accoutumé de dire en pareil cas ; ils firent ensuite une profonde révérence à ces vénérables matrones , passerent dans une autre chambre , et il en avint mad. la duchesse d'Orléans , et ensuite M. le... | |
| Claude Sixte Sautreau de Marsy - 1793 - 490 pages
...Montespan dans l'embrasure d'une fenêtre ; ils se parlèrent bas assez long-tems , et se dirent ce qu'on a coutume de dire en pareil cas ; ils firent...matrones , passèrent dans une autre chambre, et il en avint madame la duchesse d'Orléans , et ensuite M. le comte de Toulouse. Je ne puis , continue assez... | |
| Pierre Jean-Baptiste Chaussard - 1806 - 572 pages
...s'écartèrent de la compagnie , se parlèrent à voix basse dans une embrâsure , pleurèrent et se dirent ce qu'on a coutume de dire en pareil cas ; ils firent...profonde révérence à ces vénérables matrones, et passèrent dans une autre chambre où ils demeurèrent fort long-temps : de cette conversation advint... | |
| Madame de Caylus (Marthe-Marguerite) - 1806 - 290 pages
...une fenêtre ; ils se parlerent bas assez long temps, pleurerent, et se dirent ce qu'on a accoutumé de dire en pareil cas; ils firent ensuite une profonde révérence à ces vénérables matrones , passerent dans une autre chambre; et il en avint madame la duchesse d'Orléans , et ensuite M. le... | |
| Madame de Caylus (Marthe-Marguerite) - 1806 - 298 pages
...une fenêtre ; ils se parlerent bas assez long temps, pleurerent, et se dirent ce qu'on a accoutumé de dire en pareil cas ; ils firent ensuite une profonde révérence à ces vénérables matrones, passerent dans une autre chambre; et il en avint madame la duchesse d'Orléans , et ensuite M. le comte... | |
| Claude Carloman de Rulhière - 1819 - 582 pages
...Ils se » parlèrent bas assez long-temps , pleurèrent, » et se dirent ce qu'on a accoutumé de se dire » en pareil cas. Ils firent ensuite une profonde » révérence à ces vénérables matrones, pas» sèrent dans une autre chambre , et il en ad» vint mademoiselle de Blois , et ensuite M. le... | |
| Claude Carloman de Rulhière - 1819 - 588 pages
...Ils se » parlèrent bas assez long-temps , pleurèrent, » et se dirent ce qu'on a accoutumé de se dire « en pareil cas. Ils firent ensuite une profonde » révérence à ces vénérables matrones, pas» sèrent dans une autre chambre , et il en ad» vint mademoiselle de Blois, et ensuite M. le »... | |
| Claude Bernard Petitot - 1828 - 536 pages
...fenêtre ; ils se parlèrent bas assez long-temps, pleurèrent, et se dirent ce qu'on a accoutumé de dire en pareil cas; ils firent ensuite une profonde...matrones, passèrent dans une autre chambre; et il en avint madame la duchesse d'Orléans, 'et ensuite M. le comte de Toulouse. Je ne puis me refuser de... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1828 - 504 pages
...fenêtre ; ils se parlèrent Las assez long-temps, pleurèrent, et se dirent ce qu'on a accoutumé de dire en pareil cas ; ils firent ensuite une profonde...matrones , passèrent dans une autre chambre ; et il en avint madame la duchesse d'Orléans, et ensuite M. le comte de Toulouse. Je ne puis me refuser de dire... | |
| James Fitzjames Duke of Berwick - 1828 - 504 pages
...fenêtre ; ils se parlèrent bas assez long-temps, pleurèrent, et se dirent ce qu'on a accoutumé de dire en pareil cas; ils firent ensuite une profonde...matrones, passèrent dans une autre chambre; et il en avint madame la duchesse d'Orléans, et ensuite M. le comte de Toulouse. Je ne puis me refuser de dire... | |
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