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HISTOIRE

LITTÉRAIRE

DE LA FRANCE.

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LITTÉRAIRE

DE LA FRANCE,

OU L'ON TRAITE

De l'Origine et du Progrès, de la Décadence et du Rétablissement des Sciences parmi les Gaulois
et parmi les François; Du goût et du génie des uns et des autres pour les Lettres en chaque
siècle; De leurs anciennes Ecoles; De l'établissement des Universités en France; Des princi-
paux Colléges; Des Académies des Sciences et Belles-Lettres; Des meilleures Bibliothèques
anciennes et modernes; Des plus célèbres Imprimeries; Et de tout ce qui a un rapport particu-
lier à la Littérature.

AVEC

Les Eloges historiques des Gaulois et des François qui s'y sont fait quelque réputation; le
Catalogue et la Chronologie de leurs Écrits; des Remarques historiques et critiques sur les
principaux Ouvrages; le Dénombrement des différentes Éditions: Le tout justifié par les ci-
tations des Auteurs originaux.

PAR DES RELIGIEUX BÉNÉDICTINS DE LA CONGRÉGATION DE SAINT-MAUR.

TOME XI,

QUI COMPREND LA SUITE DU XIIe siècle de l'églISE JUSQU'A L'AN 1141.

Volume publié à Paris chez Nyon, etc., en 1759.)

Nouvelle édition conforme à la première, et donnée par les continuateurs de l'ouvrage,
membres de l'Institut (Académie royale des Inscriptions et Belles-Lettres).

CHEZ

A PARIS,

FIRMIN DIDOT FRÈRES, Libraires, rue Jacob, no 56;
TREUTTEL ET WURTZ, Libraires, rue de Lille, n° 17.

M. DCCC. XLI.

AVIS

DES

NOUVEAUX ÉDITEURS.

La commission chargée par l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres de continuer l'Histoire littéraire de la France, que les Bénédictins de la congrégation de Saint-Maur avaient promise dès l'année 1728, et dont ils firent paraître le premier volume en 1733; cette commission, presque entièrement renouvelée depuis quelque temps par des pertes aussi fréquentes que douloureuses, ne pouvait mieux se préparer à la publication de ses travaux sur l'histoire des lettres en France à la fin du XIIIe siècle et pendant le ‚ XIV, qu'en s'occupant d'abord de faire réimprimer le onzième volume, daté de 1759, et aujourd'hui si rare, qu'il manque même à de riches bibliothèques. Déjà nos prédécesseurs, en 1830, avaient donné pour même raison une nouvelle édition du tome douzième, le dernier que les Bénédictins eussent publié. La réimpression du onzième a été unanimement décidée par l'Académie, dans sa séance du 20 décembre 1839. C'est, en effet, un devoir pour l'Institut, continuateur de plusieurs des monuments commencés par les membres T. XI.

I

la

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