CorrespondanceDeterville et Lefévre, 1817 |
Expressions et termes fréquents
affaire aime aise amis amitié Angleterre assez auroit avez avois avoit besoin bontés c'étoit cepté cher hôte chose cœur connois connoître conseil d'état consistoire consolation Couvet crire crois d'Alembert D'IVERNOIS daignez David Hume déja Deluc desirer devoir digne dire dois DUPEYROU écrire écrit embrasse état êtes étoit fâché faudroit Genève gens grace homme honnête Hume j'ai j'aurois j'avois j'en j'espère j'étois jamais jours juger là-dessus laisser lettre Londres long-temps m'avez m'en m'est m'honorez m'ont madame mademoiselle Le Vasseur malheurs MARÉCHAL DE LUXEMBOURG ment mérite messieurs mieux milord milord-maréchal monsieur Montmollin Motiers MOULTOU n'ai n'en Neuchatel parceque parler paroît passer pays peine penser personne peut-être plaisir pourroit pouvoit prendre Prusse public qu'à raison reconnoissance remerciements réponse respect reste rien s'il sais sentiments sera seroit seul sieur soins sort Suisse supplie sûr sur-tout tion tort trouve Val-de-Travers veux Voilà vois Voltaire voudrois voulez vouloir vous-même voyage Wootton
Fréquemment cités
Page 617 - voudrois pour rien au monde avoir trempé dans la conspiration la plus légitime ; parceque enfin ces sortes d'entreprises ne peuvent s'exécuter sans troubles, sans désordres, sans violences, quelquefois sans effusion de sang, et qu'à mon avis le sang d'un seul homme est d'un plus grand prix que la liberté de tout le genre humain. Ceux 17.
Page 88 - déclare donc, monsieur, et je vous prie de déclarer au magnifique conseil que j'abdique à perpétuité mon droit de bourgeoisie et de cité dans la ville et république de Genève, Ayant rempli de mon mieux les devoirs attachés à, ce titre sa,ns jouir d'aucun de ses
Page 88 - le 12 mai 1763. Revenu du long étonnement où m'a jeté de la. part du magnifique conseil le procédé que j'en devois le moins attendre, je prends enfin le parti que l'honneur et la raison me prescrivent, quelque cher qu'il en coûte à mon cœur. Je
Page 4 - que ce pays a faites sur moi à différents âges me font conclure que nos relations se rapportent toujours plus à nous qu'aux choses , et que, comme nous décrivons bien plus ce que nous sentons que ce qui est, il faudroit savoir comment- étoit affecté, l'auteur d'un voyage en l'écrivant, pour juger
Page 398 - je ne lui dois plus que la vérité, je me la dois à moi-même ; et, puisqu'il me force à la dire, je la dirai. Vous voulez savoir au vrai ce qui s'est passé entre nous dans cette affaire. M. de Montmollin a fait au public sa relation en homme d'église , et trempant sa plume
Page 466 - travaillé huit jours, madame, c'est-à dire huit matinées. Pour vivre , il faut que je gagne quarante sous par jour: ce sont donc seize francs qui me sont dus , et dont je prie votre exactitude de différer le paiement jusqu'à mon retour de la campagne. Je n'ai point oublié votre ordre ; mais monsieur l'ambassadeur
Page 279 - en état d'en gagner. Quant aux mémoires de ma vie , dont vous parlez, ils sont trop difficiles à faire sans compromettre personne; pour y songer il faut plus de tranquillité qu'on ne m'en laisse, et que je n'en aurai probablement jamais : si je vis toutefois , je n'y renonce pas. Vous avez toute
Page 576 - un état d'épanouissement et de joie après l'état d'étouffement et de mort où vous l'avez mis. Il ne me reste qu'un mot à vous dire. Si vous êtes coupable, ne m'écrivez" plus ; cela serait inutile, et sûrement vous ne me tromperez pas. Si vous êtes innocent, daignez vous justifier. Je
Page 576 - mon devoir, je l'aime et l'aimerai toujours, quelque rude qu'il puisse être. Il n'ya point d'abjection dont un cœur qui n'est pas né pour elle ne puisse revenir. Encore un coup, si vous êtes innocent, daignez vous justifier: si vous ne l'êtes pas, adieu pour jamais. A
Page 304 - se dire, je suis meilleur que ne fut cet homme-là. Cher ami, j'ai le cœur oppressé, j'ai les yeux gonflés de larmes; jamais être humain n'éprouva tant de maux à-la-fois. Je me tais, je souffre, et j'étouffe. Que ne suis-je auprès de vous! du moins je respirerois. Je vous emhrasse. A M. D'IVERNOIS.