Cela me ravit et me confond : je parle , et elle fait; j'ai les discours, elle a les œuvres. Quand je considère ces choses , j'entre dans le désir de me taire et de me cacher; et je ne prononce pas un seul mot, où je ne croie prononcer ma condamnation. Histoire de la littérature dramatique - Page 199de Jules Gabriel Janin - 1853Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Louis François de Bausset - 1814 - 494 pages
...être effrayée de l'austérité de la vie qu'elle est » prête d'embrasser, elle en regarde la fin avec » une consolation qui ne lui permet pas d'en »•craindre la peine. Cela me ravit et me con» fond. Je parle , et elle fait. J'ai les discours, » et elle a les œuvres.... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1818 - 666 pages
...sans être effrayée de l'austérité de la vie qu'elle est prête d'embrasser, elle en regarde la fin avec une consolation qui ne lui permet pas d'en craindre la peine. Cela me ravit et me confond : je parle , et elle fait; j'ai les discours, elle a les œuvres. Quand... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1818 - 662 pages
...sans être effrayée de l'austérité de la vie qu'elle est prête d'embrasser, elle en regarde la fin avec une consolation qui ne lui permet pas d'en craindre la peine. Cela me ravit et me confond : je parle, et elle fait; j'ai les discours, elle a les œuvres. Quand... | |
| Stéphanie Félicité Brulart comtesse de Genlis - 1825 - 422 pages
...être effrayée de l'austérité » de la vie qu'elle est près d'emhrasser , elle » en regarde la fin avec une consolation qui » ne lui permet pas d'en craindre la peine; » cela me ravit et me confond : je parle , et elle >> fait ; j'ai les discours , elle a les œuvres.... | |
| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1826 - 338 pages
...être effrayée de l'austérité de la vie qu'elle est " près d'embrasser, elle en regarde la fin avec une " consolation qui ne lui permet pas d'en craindre la " peine ; cela me ravit et me confond : je parle, et " elle fait; j'ai les discours, elle a les œuvres. Quand... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1841 - 816 pages
...être effrayée de l'austérité de la vie qu'elle est prête d'embrasser, elle en '«Sarde la fin avec une consolation qui ne lui permet pas d'en craindre la peine. Cela me ravit et me confond : je parle , et elle fait ; j'ai l« discours, elle a les œuvres. Quand... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1846 - 428 pages
...être effrayée de l'austérité de la vie qu'elle est prête d'embrasser , elle en regarde la fin avec une consolation qui ne lui permet pas d'en craindre la peine. Cela me ravit et me confond : je parle, et elle fait; j'ai les discours, elle a les œuvres. Quand... | |
| cardinal Louis François de Bausset - 1846 - 442 pages
...être effrayée de l'aus» térité de la vie qu'elle est près d'embrasser, elle en » regarde la fin avec une consolation qui ne lui permet » pas d'en craindre la peine. Cela me ravit et me con» fond. Je parle, et elle fait. J'ai les discours, et elle a a les œuvres.... | |
| Charles Athanase Walckenaer - 1852 - 484 pages
...être effrayée de l'austérité de la vie qu'elle est prête à embrasser , elle en regarde la fin avec une consolation qui ne lui permet pas d'en craindre la peine. Cela me ravit et me confond : je parle , et elle fait; j'ai les discours, elle a les œuvres. Quand... | |
| Jules Janin - 1853 - 452 pages
...être ef« frayée de l'austérité de la vie qu'elle est prête d'embrasser, elle « en regarde la fin avec une consolation qui ne lui permet pas « d'en...femme, en ce moment couverte de la cendre des morts! (4 juin 1675.) Soyons charitables, épargnons cette humiliante comparaison à M. Bulwer, détournons... | |
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