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" Je n'entends ni vos cris ni vos soupirs ; à peine Je sens passer sur moi la comédie humaine Qui cherche en vain au ciel ses muets spectateurs. « Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations ; Je ne distingue... "
Revue du Nivernais - Page 317
1897
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Revue nationale et étrangère politique, scientifique et littéraire, Volume 16

1864 - 614 pages
...dédain, sans voir et sans entendre, « À côté des fourmis, des populations ; « Je ne dislingue pas leur terrier de leur cendre, « J'ignore en les portant les noms des nations. « On me dit une mère et je suis une tombe. « Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, « Mon printemps...
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Les destinées: poëmes philosophiques

Alfred de Vigny - 1864 - 214 pages
...sculpteurs. Je n'entends ni vos cris ni vos soupirs ; à peine Je sens passer sur moi la comédie humaine Oui cherche en vain au, ciel ses muets spectateurs. «..., J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe , Mon printemps...
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Revue nationale et étranǵre, politique, scientifique et littéraire, publ ...

Revue nationale et étrangère - 1864 - 604 pages
...muets spectateurs. « Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, « A côté des fourmis, des populations; « Je ne distingue pas leur terrier de...J'ignore en les portant les noms des nations. « On me dit une mère et je suis une tombe. « Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, « Mon printemps...
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Revue nationale et étrangère politique, scientifique et littéraire, Volume 16

1864 - 598 pages
...muets spectateurs. « Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, « A cêté des fourmis, des populations ; « Je ne distingue pas leur terrier...J'ignore en les portant les noms des nations. « On me dit une mère et je suis une tombe. « Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, « Mon printemps...
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Poésies complètes

Alfred de Vigny - 1882 - 358 pages
...roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populatious ; Je ne distingne pas leur terrier de leur cendre, J'ignore en les portant les noms des natious. On me dit une mère et je suis une tombe. Mou biver prend vos morts comme sou hécatombe....
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Les contemporains: sér. Leconte de Lisle. José-María de Heredia. Armand ...

Jules Lemaître - 1886 - 350 pages
...comme -~" Vigny, son maître le plus direct, qui avait fait dire à la Nature dans un langage superbe : Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre,...cendre; J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, Mon printemps...
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Dix-neuvième siècle: études littéraires

Émile Faguet - 1887 - 580 pages
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Etudes Litteraires Sur Le Dixneuvieme Siecle

Émile Faguet - 1887 - 486 pages
...dédaigneuse sérénité de la nature éternelle. C'est bien sa voix puissante qu'on entend dans ces vers : Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre,...leur terrier de leur cendre ; J'ignore en les portant le nom des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe....
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Études littéraires sur le dix-neuvième siècle

Émile Faguet - 1889 - 480 pages
...dédaigneuse sérénité de la nature éternelle. C'est bien sa voix puissante qu'on •entend dans ces vers : Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre,...leur terrier de leur cendre ; J'ignore en les portant le nom des nations . On me dit une mère, et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son...
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L'art au point de vue sociologique

Jean-Marie Guyau - 1889 - 464 pages
...roule avec dé.lain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations; Je ne distinguo pas leur terrier de leur cendre. J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe, Mes printemps...
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