... la décrire ; tout ce qui frappait mes sens portait à mon cœur je ne sais quoi de doux et de triste. Les larmes étaient au bord de mes paupières. Combien de sentiments ravissants se sont succédé ! Si je pouvais rendre cet état permanent, que... Causeries du Lundi - Page 239de Charles Augustin Sainte-Beuve - 1858Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Académie des sciences morales et politiques (France) - 1851 - 454 pages
...le temps était très-beau ; la fraîcheur des objets, le charme qu'offre leur ensemble, dans cette brillante époque du printemps, qui se fait si bien...l'âme, mais qu'on affaiblit toujours en cherchant à le décrire, tout ce qui frappait mes sens portait à mon cœur je ne sais quoi de doux et de triste.... | |
| Académie des sciences morales et politiques (France) - 1851 - 500 pages
...était très-beau; la fraîcheur des objets, le charme qu'offre leur ensemble, dans cette bril lante époque du printemps, qui se fait si bien sentir à...l'âme, mais qu'on affaiblit toujours en cherchant à le décrire, tout ce qui frappait mes sens portait à mon cœur je ne sais quoi de doux et de triste.... | |
| Ernest Naville - 1857 - 550 pages
...le temps était très-beau ; la fraîcheur des objets, le charme qu'offre leur ensemble, dans cette brillante époque du printemps, qui se fait si bien...ravissants se sont succédé! Si je pouvais rendre cet état permanent, que manquerait-il à mon bonheur? J'aurais trouvé sur cette terre les joies du Ciel.... | |
| Ernest Naville - 1857 - 508 pages
...le temps était très-beau ; la fraîcheur des objets, le charme qu'offre leur ensemble, dans cette brillante époque du printemps, qui se fait si bien...Combien de sentiments ravissants se sont succédé l Si je pouvais rendre cet état permanent, que manquerait-il à mon bonheur? J'aurais trouvé sur... | |
| Pierre Maine de Biran, Ernest Naville - 1874 - 482 pages
...le temps était très-beau ; la fraîcheur des objets, le charme qu'offre leur ensemble, dans cette brillante époque du printemps, qui se fait si bien...décrire; tout ce qui frappait mes sens portait à mou cœur je ne sais quoi de doux et de triste. Les larmes étaient au bord de mes paupières. Combien... | |
| Ernest Naville - 1877 - 492 pages
...le temps était très-beau ; la fraîcheur des objets, le charme qu'offre leur ensemble, dans cette brillante époque du printemps, qui se fait si bien...étaient au bord de mes paupières. Combien de sentiments ni vissants se sont succédé! Si je pouvais rendre cet état permanent, que manquerait-il à mon bonheur... | |
| Ernest Naville - 1877 - 480 pages
...était très-beau; la fraîcheur des objets, le charme qu'offre leur ensemble, dans cette brillai] le époque du printemps, qui se fait si bien sentir à...étaient au bord de mes paupières. Combien de sentiments revissants se sont succédé! Si je pouvais rendre cet état permanent, que manquerait-il à mon bonheur... | |
| Pierre Maine de Biran - 1920 - 406 pages
...le temps était très beau ; la fraîcheur des objets, le charme qu'offre leur ensemble, (lans cette brillante époque du printemps, qui se fait si bien...l'âme, mais qu'on affaiblit toujours en cherchant à le décrire, tout ce qui frappait mes sens portait à mon cœur je ne sais quoi de doux et de triste.... | |
| Pierre Maine de Biran - 1927 - 368 pages
...des objets, le charme qu'offre leur ensemble dans cette brillante époque du printemps, qui se fait bien sentir à l'âme, mais , qu'on affaiblit toujours...ravissants se sont succédé! Si je pouvais rendre cet état permanent, que manquerait-il à mon (1) Les page', précédées d'un astérique, ont déjà été... | |
| Pierre Maine de Biran, Bernard Baertschi - 1998 - 330 pages
...; le temps était très beau, la fraîcheur des objets, le charme qu'offre leur ensemble dans cette brillante époque du printemps qui se fait si bien...l'âme, mais qu'on affaiblit toujours en cherchant à le décrire, tout ce qui frappait mes 46sens portait à mon cœur je ne sais quoi de doux et de triste;... | |
| |