Descartes: Discours de la méthode et première MeditationHachette et cie, 1881 - 156 pages |
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... pouvoir contrôler , et les éléments d'un contrôle efficace font défaut . Le Discours de la méthode nous fournit heu- reusement des renseignements , trop peu détaillés sans doute , mais du moins très précis et parfaitement cer- tains : 1 ...
... pouvoir contrôler , et les éléments d'un contrôle efficace font défaut . Le Discours de la méthode nous fournit heu- reusement des renseignements , trop peu détaillés sans doute , mais du moins très précis et parfaitement cer- tains : 1 ...
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... pouvoir affirmer que le Discours de la méthode a été pour la prose française ce qu'a été le Cid pour notre poésie . C'est une exagération . Le livre qui a vraiment transformé la prose française au dix - septième siècle , ce n'est pas le ...
... pouvoir affirmer que le Discours de la méthode a été pour la prose française ce qu'a été le Cid pour notre poésie . C'est une exagération . Le livre qui a vraiment transformé la prose française au dix - septième siècle , ce n'est pas le ...
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... na- turel ou acquis de découvrir la vérité cachée , c'est le pouvoir de distinguer le vrai d'avec le faux . 2. Sorte de définition de la mé- thode . vent souhaité d'avoir la pensée aussi prompte , ou l'ima- 44 DISCOURS DE LA MÉTHODE .
... na- turel ou acquis de découvrir la vérité cachée , c'est le pouvoir de distinguer le vrai d'avec le faux . 2. Sorte de définition de la mé- thode . vent souhaité d'avoir la pensée aussi prompte , ou l'ima- 44 DISCOURS DE LA MÉTHODE .
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... pouvoir acquérir qu'à faux titres ( hoc est ob scientiarum non verarum co- gnitionem ) . Et enfin , pour les mauvaises doctrines , je pensais déjà connaître assez ce qu'elles valaient , pour n'être plus sujet à être trompé , ni par les ...
... pouvoir acquérir qu'à faux titres ( hoc est ob scientiarum non verarum co- gnitionem ) . Et enfin , pour les mauvaises doctrines , je pensais déjà connaître assez ce qu'elles valaient , pour n'être plus sujet à être trompé , ni par les ...
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... pouvoir affirmer que le Discours de la méthode a été pour la prose française ce qu'a été le Cid pour notre poésie . C'est une exagération . Le livre qui a vraiment transformé la prose française au dix - septième siècle , ce n'est pas le ...
... pouvoir affirmer que le Discours de la méthode a été pour la prose française ce qu'a été le Cid pour notre poésie . C'est une exagération . Le livre qui a vraiment transformé la prose française au dix - septième siècle , ce n'est pas le ...
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Expressions et termes fréquents
absolument adventices animaux artères assez assuré c'est-à-dire cartes cause chercher choses cœur Cogito concavité connaissance considérer corps coutume d'aucune d'autres d'être démonstrations Descartes dessein difficultés dire Discours distincte diverses doctes doute esprit examiner existe explique façon fusse fût Galilée général géométrique Hollande hommes idées infiniment intelli j'ai j'avais j'étais jamais jugement l'algèbre l'âme l'artère veineuse l'esprit l'exis l'existence de Dieu l'expérience seule lois lycée Louis-le-Grand mathéma mathématiques matière Maurice de Nassau ment métaphysique méthode mieux moi-même monde mouvement n'eusse nature objections opinions parfait parfaitement particulier passions pensée perfection peut-être peuvent phénomènes philosophie cartésienne physique Pierre de Bérulle poumons pouvait PREMIÈRE MÉDITATION principes priori problème puisse qu'un quantité de mouvement question raison réfraction règles remarqué René Descartes renfer reste rien s'il sang saurait scep sciences semble sens serait simple sinon solution sorte suppose système tâcher tence tion tiques toutefois trouver veine artérieuse veine cave vérité vitesse vrai
Fréquemment cités
Page 49 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle ; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention , et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 32 - Car ce n'est pas assez d'avoir l'esprit bon , mais le principal est de l'appliquer bien. Les plus grandes âmes sont capables des plus grands vices aussi bien que des plus grandes vertus ; et ceux qui ne marchent que fort lentement peuvent avancer beaucoup davantage , s'ils suivent toujours le droit chemin, que ne font ceux qui courent et qui s'en éloignent.
Page 50 - Ces longues chaînes de raisons, toutes simples et faciles, dont les géomètres ont coutume de se servir pour parvenir à leurs plus difficiles démonstrations, m'avaient donné occasion de m'imaginer que toutes les choses qui peuvent tomber sous la connaissance des hommes s'entre-suivent en même façon, et que, pourvu seulement qu'on s'abstienne d'en recevoir aucune pour vraie qui ne le soit, et qu'on garde toujours l'ordre qu'il faut pour les déduire les unes des autres, il n'y en peut avoir...
Page 53 - La première était d'obéir aux lois et aux coutumes de mon pays, retenant constamment la religion en laquelle Dieu m'a fait la grâce d'être instruit dès mon enfance, et me gouvernant, en toute autre chose, suivant les opinions les plus modérées, et les plus éloignées de l'excès, qui fussent communément reçues en pratique par les mieux sensés de ceux avec lesquels j'aurais à vivre.
Page 65 - ... je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser, et qui pour être n'a besoin d'aucun lieu ni ne dépend d'aucune chose matérielle...
Page 33 - Pour moi, je n'ai jamais présumé que mon esprit fût en rien plus parfait que ceux du commun; même j'ai souvent souhaité d'avoir la pensée aussi prompte, ou l'imagination aussi nette et distincte , ou la mémoire aussi ample ou aussi présente, que quelques autres.
Page 34 - ... la lecture de tous les bons livres est comme une conversation avec les plus honnêtes gens des siècles passés, qui en ont été les auteurs...
Page 45 - C'est pourquoi je ne saurais aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes qui, n'étant appelées, ni par leur naissance, ni par leur fortune, au maniement des affaires publiques, ne laissent pas d'y faire toujours, en idée, quelque nouvelle réformation...
Page 55 - Ma seconde maxime était d'être le plus ferme et le plus résolu en mes actions que je pourrais ; et de ne suivre pas moins constamment les opinions les plus douteuses, lorsque je m'y serais une fois déterminé, que si elles eussent été très assurées.
Page 39 - Car il me semblait que je pourrais rencontrer beaucoup plus de vérité dans les raisonnements que chacun fait touchant les affaires qui lui importent, et dont l'événement le doit punir bientôt après s'il a mal. jugé, que dans ceux que fait un homme de lettres dans son cabinet touchant des spéculations qui ne produisent aucun effet...